Charlie Adam

Chapitre 7

William se recula comme brûler, quand a moi j'encaissais le choc. Thomas était mort. Ma sœur continuait de pleurer, je me repris afin d'en savoir le Maximum. Je ne savais pas ce que cela allait entraîner, mais a coup sur les changement de serait pas tous pour me plaire !

- Tu n'as rien toi ?

- Non, j'ai dit a Jérémy que tu allais revenir se matin et que tu le laisserais pas me prendre. Il ma rit au nez et ma dit de te transmettre qu'il te verrais ce soir. Il a aussi dit que ton loup était mort.

Oh non, Jérémy voulais tuer William. Je regardais ce dernier, comment l’empêcher de s'en mêler ?  

- Dilane tu vas rentrer a la maison et t'enfermer. Je part immédiatement, si je laisse William conduire nous serons arrivé dans maximum une heure et demi. Surtout tu n'ouvre et ne décroche sous aucun prétexte. Tu t'enferme dans la cave, là ou papa et maman s'enfermaient quand tu étais petite et qu'il ne voulais pas sortir. Je suis la seul a savoir l'ouvrir de l’extérieur. Tu m'as bien compris Dilane ?

- Oui j'y vais immédiatement !

Ma sœur était choqué. Je pouvais parfaitement la comprendre, je n'avais moi-même jamais vu de cadavre, et d'autant plus je n'en avais jamais vu qui était décédé sous mes yeux pour me protéger. J'attendis d'entendre le loquet de la porte blindé et raccrochais. William avait le visage entre ses mains. Il était triste je pouvais le deviner. Je m’approchais de lui et m'agenouillant lui enleva les mains pour le prendre dans mes bras. Il respirait fort.

- Charlène, j'ai quelque chose a te dire.

Encore des révélation, décidément j'y étais abonné ! Je n'étais pas sur de vouloir les entendre, mais apparemment je n'avais pas le choix. Je m'assis donc a coté de lui, et lui caressa les cheveux.

- Je t'écoute Will.

- Je vais devoir prendre la place d'alpha, Tom m'a promu il y a de cela un ans, j'étais son bras droit. Et ça fais de moi le nouvel alpha.

- Et bah maintenant pour le garder a l'écart, je devrais trouver une super astuces.

- Ok et qu'est-ce que ça va changé pour nous ?

- Je … je vais devoir asseoir mon autorité et ne pourrais pas être disponible quand j'en aurais envie.  

- Oh ! Et bien ce n'est rien, je serais là quand tu pourras venir me voir.

- Je ne pourrais pas !

- Pourquoi ?

Une lame glacée s'était fiché dans mon cœur. J'avais un mauvais pressentiment et son expression me disait que je voyais juste. Je venais de le retrouver et j'allais le perdre.

- Pourquoi Will ?

- Étant l'alpha, je dois choisir une femme pouvant me donner des descendant loups. Et toi tu ne correspond pas a ce critère. Nos enfant auraient une chance sur deux de devenir comme toi. Et ta race son des ennemis. Je ne serais jamais accepter en tant qu'alpha si je décide de te prendre comme compagne.

- Ok c'est cool de me le dire maintenant.

La colère m'envahissais, je ne pris pas la peine de réfléchir plus. J'avais trop mal et je ne devais pas penser a ça. Je me transformais en buse et parti par la fenêtre. William n'eut le temps de rien faire que j'étais déjà sorti de l'appartement. C'était facile comme réaction me direz-vous. Mais je n'en voyais aucune autre. Je ne voulais plus le voir, je devais protéger ma sœur, elle au moins ne me repoussait pas pour des lois débile de loup macho. Je volais le plus vite possible profitant de tout les courant d'air qui me propulsait vers ma direction. En trois quart d'heure j'arrivais devant ma maison et me transformais. J'étais nu dans la rue, je n'avais pas pensé a ça. Je poussais la porte et remarquais qu'elle n'était pas verrouillé. Je m'avançais dans l'entrer et écoutais les bruits de la maison. Je pouvais augmenter mes sens a volonté et je m'en servis sur mon ouïe. Je me concentrais donc, et perçu des son qui n'avaient pas leur place ici. Un homme insultait la porte blindé et ma sœur lui disait de partir. Je me précipitais donc au sous-sols. Il était grand au moins deux tête de plus que moi, et avait un tatouage montrant un tête de mort dans le coup. Il avait un couteau de chasse a la ceinture mais ne semblais être un loup garou. Je pensais même qu'il s'agissait juste d'un humain. Je me transformais donc juste en chien et grognais.