Bruyant's phone. (En réécriture)

épilogue.

Point de vue Ben.

- Et c'est comme ça que ta maman et moi avons commencé a sortir ensemble et a construire notre histoire. Dis-je en regardant Aaron, mon fils.

- Tu as vraiment eut un coup de chance pap's.

- De la chance ? J'ai eu une amnésie !

Nous rions tout les deux, le son de la télé en arrière plan.

- Si seulement tu pourrais avoir une amnésie quand je te dis mes notes.

- Ce serait vraiment dommage.

Il sourit.

- Nan mais sérieusement, tu as eu de la chance que maman te réponde et partage tes sentiments.

- Je sais fils, je sais.

- Tu crois ta technique elle marche toujours ?

Je lève les yeux au ciel en souriant.

- C'est copyright, tu trouves ta méthode.

Je lui fait un clin d'œil, riant de sa moue boudeuse.

- Mais pap's !

- Mais Aaron ! Dis-je en imitant sa voix.

- Tu me saoules . Dit-il en attrapant son smartphone sur la table basse.

- Nom de la fille et on peut s'arranger.

Il me regarde en soupirant.

- Tu crois pas que ta passé l'âge pour le chantage ?

- Je suis pas si vieux que ça.

- A peine.

Je lève un sourcil.

- Par conte toi t'es pas trop vieux pour être punit.

- J'ai 16 ans pap's.

- Je sais, c'est ce que je dit.

Il soupire. La porte d'entrée claque et des bruits de talons résonnent dans le couloir. Sky fait son apparition dans le salon. C'est fou comment notre fils lui ressemble. Vraiment fou.

- Que faites vous ? Demande-t-elle tout en retirant ses bottes, perdant quelques centimètres.

- Papa me racontait l'histoire de votre rencontre.

- Drôle d'histoire pas vraie ?

- Plus que je ne l'imaginais.

Et nous rions.

Point de vue Aaron.

- Et t'es sur que ça va marcher ton truc ? Demande mon ami pas très convaincu.

- J'en sais rien, on verra bien.

Je pousse la porte du vestiaire des filles tout doucement. On entre dans la salle sans bruit et refermons la porte derrière nous avant d'allumer la lumière. Les sacs sont posé sur les bancs, fermé, bien en ordre, cela n'a vraiment rien a voir avec le vestiaire de garçons, tout bordélique avec nos affaires éparpillé sur le sol pour certains et mal rangé dans nos sac pour d'autre. Le sac de Juliet se trouve un peu plus en retrait des autres, je le reconnais facilement. Il est noir, de taille moyenne et tagué de partout. Je souris et sors de ma poche un bout de papier plié en 2, après avoir ouvert son sac je le pose sur la pile de vêtement bien en évidence et referme le sac.

- Si tu te transformes en romantique ... Commence Max.

- Je vais pas me transformer en romantique fait pas chiez. Dis-je en refermant le sac.

Il rit et me donne un coup dans l'épaule alors que je le rejoins.

- Bon aller on se barre avant de se faire choper.

J'acquiesce et ouvre la porte du vestiaire. Mes yeux s'écarquille quand je me retrouve nez a nez devant le directeur.

- J'espère que vous avez une très bonne raison d'être ici.

Je regarde Max qui me renvoie un regard noir.

Monsieur le directeur sachez que je n'ai pas d'excuse que vous pourriez comprendre, je préfère prier pour que mon père soit indulgent pour mon essai d'originalité.

- Non, non nous n'avons aucune excuse monsieur. Dis-je simplement.

En espérant qu'elle m'envoie un message. Mais je ne m'en fait pas, j'aurais largement le temps de prier pendant les nombreuses heures de colle que je vais me coltiner.

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Bonjouuuur,

Donc voici l'épilogue de cette petite fiction que j'ai adoré écrire, vraiment.

J'espère ne pas vous avoir déçue pour la fin, je voulais un truc un peu originale et j'espère avoir réussit

Je vais pas écrire de pavé ici, mais plutôt sur les 'remerciments/informations' qui va arrivé juste après ce chapitre.

Eh bien, a tout de suite pour le dernier chapitre qui clôtureras cette histoire.

Anaëlle qui vous aimes infiniment. ♥