Partie 19.

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19.



Moi : Aya, comment ça se fait t'es là ? Mama, désolé... Salam Aleykoum, tu vas bien ? Tu m'as manqué -sourire-
Personne : Aleykoum Salam, ma femme. Al Hamdulilah et toi ?
Moi : Oui AlHamdulilah et pourquoi tu m'as.. euh, rentre !
Hamid : Je te pertubes autant que ça ?
Moi : Ne dis pas n'importe quoi (rire)
Hamid : Allez prépare toi grosse tête, on va acheter.
Moi : Quoi ?
Hamid : Tu verras -clin d'oeil-

Je suis partis me préparer et on est sorti.

Moi : Nos parents le savent au moins ?
Hamid : Oui, tu m'as pris pour un con ou quoi ?
Moi : On sait jamais (rire)
Hamid : Rigole bien grosse tête (rire)
Moi : Allons-y hobi...

Il m'a regarder, j'ai directement rougi et j'ai baissé la tête. Nous sommes partis acheter nos alliances. J'étais super heureuse, cette alliance représentera tout pour moi. Je ne serais jamais sans.

Bref, ensuite nous sommes partis manger une glace dans un parc, on se promenait.

On s'était arrêter
Moi : Hamid..
Hamid : Hum ?
Moi : Tu m'as trop manqué w'Allah !
Hamid : Ah ouais ?
Moi : Oui -en baissant la tête-

Il m'a fait un bisou sur le front. Ensuite, on s'est assis et je lui ai parler de mon envie de porter le voile. On avait parler un peu de tout, de religion, de nous, etc...

Je vous passe un an. J'etais dans le couloir, je regardais partout et j'ai posé mon regard sur mon alliance. Oh, Hamid toi qui est l'homme de ma vie, je t'aime, je t'aime qu'Allah m'en soit témoin, j'aurais pu tout faire pour toi, hobi...

En regardant cette alliance, je me suis rappelée de mon mariage. J'étais entrain de sourire toute seul. Ce jour là, j'étais tellement stresser, j'étais devant mon miroir et je me regardais. Sayais, Hamid aujourd'hui je serais ta femme.

Il y avait beaucoup de gens chez moi, vu que le mariage religieux se faisait chez moi. J'étais assise sur le trône et tout le monde venait me voir, il y avait même des " clochards " comme nous avant, qu'Allah leur viennes en aides qui était là, ils avaient l'air heureux, ils avaient l'air car nous même nous savons la souffrance, la misère qui vivent.

On parlait tranquillement avec Houley quand on entendis des " YOUYOUYOUYOU " mon coeur battait a fond. Ils avaient l'air heureux et ça venait du coeur. Lorsque j'ai vu Hamid rentrait, j'ai cru que j'allais mourir, me coeur ne tenait plus, il battait vite. Il est venu me faire un bisou sur le front et il s'est assis a coter de moi.

Tout le monde, dansait, chanter. Lorsque l'Imam est venu, ils ont arrêter la musique. Et me voilà marier a l'homme de ma vie devant Allah. Je l'aime, oui, je t'aime omri.

Ensuite, on est partis a la mairie. On a dit " Oui " après on est partis faire des photos. Cette journée etait pire que magnifique, tout les sentiments étaient là, en plus on a eu un cortege de fou. Je ne rentre pas dans les détails.
Après nous sommes partis dans la salle, il y avait vraiment du monde. Des gens de la salle, des collègues, des amis, la famille (pas la mienne) bref beaucoup de monde. Je peux vous dire que j'étais super contente.

Puis, au fil du temps je commençais etre fatigué, donc j'avais dis a Hamid qu'on allait partir. Il m'a juste regarder, il a souris et il m'a sortis un " Je t'aime " puis nous sommes partis on a dit " aurevoir " je serrais Yemma comme une folle, avec Kaîs et Ibrahim, je ne voulais pas les laissé, je pleurais. Ils allaient trop me manquer, ne plus rester tard le soir a écouter Yemma nous raconter ses histoires, ne plus faire des choses avec Ibrahim et Kaîs (gâteau, crêpes etc..) tout les jours, ne plus les voirs, (j'abusais un peu), ne plus pouvoir prier avec eux le soir, comme le matin, comme chaque heure de prière quoi, voila je dois quitter ma famille, laisser ma Yemma, Ibrahim, Kaîs sans moi.. après des heures de..., excusez moi, je perds les mots...

Nous voilà dans la voiture.

Moi : Je suis vraiment fatigué
Hamid : Moi aussi, oh, habiba t'es a moi, sayais.
Moi : Toi aussi omri, merci pour tout w'Allah. (sourire)
Hamid : Tu n'as pas a remercier.

Je me suis contentais de le regardais et sourire. Arriver a la maison, il m'avait porter comme une princesse et nous sommes rentrés chez nous, avec le sourire aux lèvres.
Le soir passa...

Le lendemain, j'étais contente, contente de me reveiller a ses côtés ! Je crois que je l'aime, enfin, je ne le crois pas...



Je l'aime tout simplement !

« On garde la foi & grâce à Dieu un jour on aura un toit. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant