"Good night my friend"

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ATTATIIOONN ! Ce chapitre contient un passage violent de la mort qui tue et c'est le cas de le dire /PAN/
Bref, tout ça pour prévenir les âmes de licornes arc-en-ciel de partir tant qu'il en est encore temps. Allez y je vous laisse un peu de temps pour y aller....
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C'est bon nous ne sommes plus qu'entre gens mentalement dérangé ? Nickel ! Let's go !
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Cela faisait deux heures que Jason avait essayé de me tuer. J'écumais de rage. À cause de Julien, mon meilleur ami avait failli me tuer. Il s'en était fallu de peu. Je n'ai pas sus ce qui l'avait retenu. Mais je savais qui était le responsable. Jason m'avait semblait dans un tel état de jalousie. Je ne l'avais vus comme ça. Je savais exactement ce que j'allais faire. Rien n'aurait pus m'en empêcher. J'étais déterminer à lui faire payer. J'ai passé un coup de fil à Julien lui donnant rendez vous à l'embouchure d'une petite ruelle perdue au milieu de la ville. Une heure plus tard j'étais au point de rendez vous. L'incriminé est arrivé peut de temps après. A son arrivée, je lui ai décoché le plus beau des sourires hypocrite. Il est venu plus proche. Un frisson de dégoût m'a parcouru le dos quand il est arrivé à ma hauteur. J'avais élaboré un plan pour me venger de cet abruti. J'ai fait un pas en avant. Le sourire niait qu'il affichait me dégoûtait.
"Tu sais, ça m'a fait plaisir de te revoir aujourd'hui
-A..Ah oui ?"
Cet imbécile ne semblait pas avoir remarqué que tout ce qui sortait de ma bouche n'était que des mensonges. Il était visiblement beaucoup trop dingue de moi, ou trop naïf, pour le remarquer. J'ai encore fait un pas en avant. Il était rouge comme une pivoine.
"Tu vas me trouver beaucoup moins attirante dans quelques instants" J'ai pensé.
J'ai tiré sur son col de chemise pour pouvoir l'embrasser. Le jeune homme tremblait. A l'intérieur de moi je jubilais. Ma vengeance allait se réaliser d'ici quelques instants. Julien a alors posé ses mains sur mes epaules. C'est à ce moment que je l'ai frappé d'un grand coup de genoux dans le sternum. Sa tête s'est baissée brutalement en même temps que le reste de son torse. Je le regardait l'air dédaigneux en train de tenter de reprendre sa respiration pendant que j'attrapais une barre de fer posée contre un mur à quelques centimètres de là. Je l'ai prit par les cheveux pour le remonter, ai placé mon genou sous lui et je lui asséné un grand coup dans le dos avec ma nouvelle arme. Le futur cadavre a alors craché le contenu de son estomac sur le sol en même temps que je retirais ma jambe. Entre temps, un rictus malsain avait prit place sur mes lèvres. Cette sensation de toute puissance en face d'une personne à terre m'avait manquée.
Avec la barre de fer, j'ai continué de le frapper sans relâche. Au sol il se tortillait, gémissait de douleur, me suppliait d'arrêter. Aucune de ses plaintes ne me parvenez et quand une goutte de son sang venue s'écraser contre ma joue, mon sourire s'est élargi et j'ai redoublé d'ardeur dans ma tâche. Je le frappait sans m'arrêter. Du sang giclait partout autour de nous. J'étais couverte de ce liquide rouge fascinant. La nuit était tombée et nous étions seuls dans ce coin de la ville. Personne n'entendait ses hurlements de douleurs. Plus il criait, plus je le frapper. Au bout d'un certain temps, quand cela ne m'a plus suffit, j'ai jeté la barre plus loin et me suis accroupie près de lui. La tête penchée, mes cheveux détachés traînaient dans la flaque que formait son sang en dessous de lui. Le fluide rouge a imbibés mes cheveux roux foncés des pointes jusqu'au milieu de mes mèches. Le jeune homme était si pitoyable recroquevillé ainsi à pleurer de douleur. Je lui ai soulevé la tête sans ménagement et lui ai murmuré à quelques millimètres de l'oreille :
"Si tu ne m'avais pas retrouvée, tu aurais pu rester en vie peut être quelques années de plus. Byye..!"
Sur ces mots, je lui ai mordu le lobe avec violence avant de tirer de toutes mes forces. Ma victime a poussé un hurlement qui m'a fait frémir de.. joie ? Oui, j'étais heureuse de le voir souffrir. Et j'en voulais plus. Il criait. Il avait mal. Me maudissait, m'insultait mais rien ne m'atteignait. Je continuait de lui sourire de toutes mes dents sans trop contrôler ce que je lui infligeais. J'ai attrapé ses cheveux blond devenus rouges et l'ai relevé. Il a reçu ub coup de pied dans dans le ventre plus violent encore que les autres. Je l'ai ensuite envoyé valser à quelques mètres. En allant le rejoindre, j'ai ramassé mon arme en ferraille. Il ne bougeait plus. Sa chemise était déchirée, là où la barre l'avait le plus atteint de large plais violacées était ouvertes. Il dégoulinait de sang. Sa peau était marquée d'hématomes tous plus graves les un que les autres. Je l'ai tâté du bout de ma rangers :
"Déjà crevé ? Pff.. pas drôle !"
Je lui ai écrasé la tête avec le plat de ma chaussure et me suis mise à rire sans pouvoir m'arrêter. Enfin, enfin ! Ce bouffon avait eu ce qu'il méritait. Il m'avait volé une partie de ma vie, je lui avait prit.. Non, arraché la sienne. Un faible bruit me sorti de mon fou rire :
"Enf..Enflure..! Crève en enfer !
-Hein ? Quoi ?
-Vas crev..."
Avant qu'il est fini sa phrase,j'ai fait exploser son crâne sous ma chaussure.
"J'ai rien entenduuuuu !" Ai-je fanfaronner.
Après l'avoir définitivement anéanti, j'ai tourner la barre de façon à en placer l'extrémité mal taillée en direction de son dos.
"Good night my friends."
Sur ces mots, j'ai violemment enfoncé la barre de fer dans le haut de son corps encore en train de convulser.
Après ce dernier acte, je me suis écroulée sur les genoux. C'était fini, je m'étais vengée. Une joie immense me parcourait le corps entier. Je souriais encore mais plus de ce sourire malsain, non, d'un franc sourire de pur bonheur. Il ne me restait plus qu'à retourner voir Jason à la boutique pour m'excuser de ne pas l'avoir considéré comme j'aurais dû, comme le seul être qui comptait dans ma vie, ce qu'il était. J'ai passé ma main dans le liquide vital du cadavre qui jonché le sol et m'en suis étalée sur tout le bras. Je ne savais pourquoi mais j'avais toujours fait ça. Je me suis relevée, j'avais arraché la barre du corps de ma victime et je remontais désormais la rue pour atteindre celui qui m'attendait. Jason.

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Sachez juste après avoir lu, quand aucun cas je ne soutiens ce genre de comportement
J'ai écris ce passage pour les besoin de l'histoire
Merci de votre compréhension ^-^

I'm Your ToyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant