CHAPITRE 40: Le débarquement

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Point de vue Aurelia

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Point de vue Aurelia.


L'escadron des aigles vient d'arriver en Angleterre. Si j'avais su que grâce à la guerre j'irais en Angleterre... Dans une heure nous avons rendez-vous avec Mr le Générale DeGaule. En attendant, nous visitons la base. C'est allucinant de voir une véritable base de Résistant. Il y a des militaires dans tous les coin, il y a des marin, des aviateurs, et des soldats de terre. Mais une chose et sur, je n'ai vu aucune fille sur la base, et vu comme les hommes me regarde je crois être la première femme qu'ils voyent.

BEN : Welcome to Engand.
DAVID : Et pas une fille à l'horizon.
MOI : Merci.
DAVID : Non mais toi t'es pas une fille !
MOI : Sympa.
DAVID : Non mais je veux dire que tu es dur toi.
SAM : Tu t'enfonce mec.
DAVID : Non mais ce que je veux dire c'est qu'elle n'est pas féminine c'est tout.
VINCENT : Arrête de parller c'est mieux !
MOI : Tu demanderas à mon mari si je ne suis pas féminine.
BEN : Crois moi, c'est bien une fille, tu veux voir ?

A ce moment Ben me prends dans ses bras pour me chatouiller. Un crit féminin sort de ma bouche. Les garçons se mettent à rigoler puis se stoppent net. Je lève ma tête et voit un sergent qui se tient immobile devant nous. On redevient serieux, nous faisons le garde à vous.

SERGENT EDWARDS : Vous devez être l'escardon d'élite ? Bien suivez moi je vais vous conduire à vos appartements.
SAM : Vive l'accueil.
SERGENT EDWARDS : Vous avez dit queque chose Mr...
SAM : Lage. Samuel LAGE Sergent.
SERGENT EDWARDS : Bien Monsieur LAGE alors sachez une chose. Vous êtes ici en tant que soldat et si vous avez quoique ce soit à dire veuillez le garder pour vous. Me suis-je bien fais comprendre soldat ?
SAM : Oui Sergent.
SERGENT EDWARDS : Bien et si d'autres veulent dire quelque chose et bien il se tait et le garde pour lui. Maintenant veuillez me suivre.

Et bien ça promet. Quant on me disais que les anglais étaient rigide je ne croyais pas que ce serait vrai. Je regarde Ben et nous rigolions interieurement à l'unissons. Nous arrivons dans un couloir sombre.

SAM : Il devrais inverstir dans le luminaire...
MOI : Chut.
SERGENT EDWARDS : Décidement soldat je ne vous aime pas du tout.
SAM : Mais c'est réciproque Sergent.
BEN : Ce que mon camarade tente maladroitement de dire c'est que le couloir manque un peu de chaleur.

Le sergent s'approche de mon frère en levant la tête, puis la tourne vers Sam avant de revenir face à Ben.

SERGENT EDWARDS : Quelle est votre immatriculation soldat ?
BEN : Lieutenant Benjamin LEPRINCE d'infenterie Sergent.
SERGENT EDWARDS : Nous sommes en guerre Lieutenant Benjamin LEPRINCE, la chaleurosité n'est pas vraiment au rendez-vous dans ces temps froid. Et la prochaine fois que votre femme à quelque chose à dire ! Laissez là se dépatouiller seule !
BEN : Bien sergent.

Rien que de voir mon frère face à ce sergent me fait hurler de rire dans mon fort interieur. Puis il retourne sur ses pas, me regarde, puis tourne la tête vers Ben.

SERGENT EDWARDS : LEPRINCE vous m'avez dit ? Donc vous c'est Aurélia ? Vous êtes venu avec votre frère ?
LAURENT : Et son père.
SERGENT EDWARDS : Nous avons la famille au complet. Vous n'êtes pas capable de vous en sortir seule Miss LEPRINCE ?
MOI : Alors écoutez moi bien vieux sac dos. Que vous soyez Sergent ou non m'importe peu. On est ici car on nous l'a demander donc vous avez besoin de nous c'est QFD vous ne pouvez pas nous traiter comme de simple soldat. Deuxièmement j'ai été nommé Capitaine lors de la bataille de 1943. De plus mon père est Général de division. Ce qui veux dire Sergent EDWARDS que si quelqu'un à le droit de rambaré mes soldats ici, c'est moi ! Ou mon père. Est-ce que c'est clair ?
SERGENT EDWARDS : Oui mon Capitaine.
MOI : Je préfère ça. Les chambres maintenant si tu veux bien merci.

Je me sentais libérer. Non mais attend ! Personne ne touche à mes hommes excepté moi ou mon père et surment pas un merdeux qui se crois tout permis parce qu'il est sergent. Sur ce allons voir ces chambres.

DAVID : Euh Aurélia... Escuse moi mais tu peux demander à ce soldat de plomb si il n'y a pas d'autre chambre de dispo car comment dire... je suis somnambule et la cohabitation avec les autres n'est pas toujours le top.
MOI : Mon chère petit David, tu t'es cru à l'hôtel ? Tu reste dans cette chambre et tu te met sur le lit du bas. Bien voyons machambre maintenant.
SERGENT EDWARDS : Je suis désoler Capitaine mais nous ne nous avions pas comptez comme haut grader... Vous avez été placer dans cette chambre avec vos camarade.

A ce moment une déception et quelque peu de dégout me traversa. Puis le rire forcé de Ben me fit sortir un léger sourir hironique. Le sergent EDWARDS avait l'air tout géné.

BEN : Et bien Capitaine... tu vas devoir partager ta chambre avec nous ? C'est triste de voir comment on considère les hauts placé en Angleterre de nos jours.

Je rentre dans a chambre, prend les affaires de Ben et les met à ses pieds.

MOI : Et bien dans ce cas, tu ne m'en voudras pas si je prends le plus grand lit ?
BEN : Et je dors où moi ?

Je me dirige vers l'armoir et sors un matelas, je le laisse tomber aux puis de mon charmant grand frère.

MOI : Bonne nuit.

Eclispe une heure.

Nous arrivons pour le rendez-vous avec le Générale DeGaule. Mon cœur bat à 2000 à l'heure. David se renculotte et Sam vérifie son halène. Ben lui me masse les épaules pour me déstresser. Les portes s'ouvrent. Nous entrons dans un simple bureau journalier transformer en bureau militaire. Un homme de grande taille, si grand qu'il dépassait Vincent c'est pour dire, nous fait nous assoir mais nous restons debout. Il nous sert la main.

GENERAL DE GAULLE : Je suis ravie de vous voir ici Miss LEPRINCE. Ou devrais-je dire Capitaine. Mon Sergent m'a fait par de votre rétissance à partager votre couche avec ces charmant colosse, mais voyez donc que nous sommes en temps de guerre et que nous pouvons pas attribuer une chambre à chacun. Surtout que vous resterez avec nous que très peu de temps.
SAM : Très peu de temps c'est à dire ?
GENERAL DE GAULLE : Demain nous seront le 5 Juin 1944, et nous avons prévu de Débarquer en France le long des côtes de Normandie. Et je veux que vous, et vos hommes participier à de raid.
MOI : Une petite minute... Je croyais que nous devions infiltrés une mission secrète ?
GENERAL DE GAULLE : C'est exact, mais pour cela vous devrez retourner en France...
BEN : Pourquoi être venu ici si nous retournons ne France deux jours après notre arrivé ?
GENERAL DE GAULLE : Car c'est important que vous soyez équipé pour cette mission. Je tiens avant tous à vous prévenir... Ce ne sera pas de tout repos et sans risque... Ce que je vous demande c'est de vous donner cœur et âme pour votre pays. Comprennez moi bien, je ne garantie pas que votre voisin reviendra à l'issue de cette mission.
DAVID : Nous connaissions les risque avant de venir ici mon Général. Mais si nous sommes ici c'est avant tout pour la France et aussi pour Aurélia. Et qu'où elle aille nous irons avec elle.
SAM : Nous avons prêter serment et nous ne reviendrons pas dessus.
GENERAL DE GAULLE : Vous avez de la chance miss LEPRINCE d'avoir des hommes tel que ceux ci.
MOI : Merci mon Général. Mais cette fidélité va dans les deux sens.

A ce moment, le temps s'arrêta. Vous savez lorsque vous voyez la confiance que les autres ont à votre égare, vous vous sentez invulnérable. Et ce moment se grave dans ma tête. Mais en même temps je perçois le bout du tunnel. Certes ce n'est qu'un bref instant mais il restera innoubliable.

ECLISPE

Nous vennons d'arrivé en Normandie. Nous sommes actuellement dans la fôret. Mon père n'a finallement pas pu venir car peu avant le dépard, la base à été bombardée. Mais ne vous méprenez pas il y a eu peu de blesser. Surtout des dommages matériels. Quoiqu'il en soit, nous sommes le 6 Juin 1944 et nous venons de participé au débarquement sur les côtes de Normandie.
Alors que nous courons dans les bois pour notre survit nous nous regardons tous et savons que ce moment restera gravé dans l'histoire.

#Amélie

Mon CombatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant