Chapitre 15

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Elle sait tout. J'y ai tout dis en détails. Et je me sens libéré d'un poids.

Trois jours on passé depuis la confrontation avec mon père et May. Je les ai revus, et ce qui est le plus étonnant, c'est que je me suis senti plus proche de mon père que de May..

Nous sommes Vendredi soir, je suis seul dans ma chambre. Besoin d'air. Dylan n'y est jamais. C'est hard quand même que ce type trouve toujours à crêcher ailleurs.

Sur mon lit, les bras derrière la tête, je regarde dans le vide, faisant le bilan de ces trois derniers mois. J'ai énormément changé, et moi qui pensait ne plus s'attacher à personne, il faut croire que je me suis bien trompé.

Je passe la quasi totalité de mes journées avec Luke. Ce type est extraordinaire. Il me fait rêver des fois. Il est si optimiste ! Toujours de bonne humeur, et un grand rigolo. Il est pleins de conneries. C'est un type bien. 

Je souris à ces nombreuses fois où les profs m'ont demandé de le canaliser. Ca se voit qu'ils n'ont pas connu le Stan de Sydney. Ils auraient été servis !

Je suis coupé dans mes reflexions par la porte de ma chambre qui s'ouvre violemment sur Jenny, qui la claque dessuite derrière elle avant de la verrouiller de l'intérieur. 

- Jen ? Qu'est-ce qui se passe ?

Elle s'avance vers moi et pose fougeusement ses lèvres sur les miennes. Je passe automatiquement un bras autours d'elle et la colle un peu plus à mon torse. Elle s'accroche désespérément à mon cou et me essaie de me coller un peu plus à elle. Nous coupons le baiser à bout de souffle. 

- Jenny ?

- J'ai envie que tu me baise, ça fait bien longtemps et ça me démange Carter.

Elle recolle ses lèvres sur les miennes. Longtemps ? Ah oui! On s'envoie en l'air quasiment tous les jours, sauf quand elle est dans sa période, et ça m'arrange vu l'humeur de chien qu'elle a pendant cette semaine. Et là elle en sort. 

Elle passe mon tee-shirt au dessus de ma tête et le jette à travers la pièce, tandis que je me m'attaque à son pull de laine. Elle commence à déboutonner son short, mais je la stoppe.

- Laisse moi faire.

Elle me lance un regard mi-perdu mi-amusé. C'est vrai que d'habitude on ne perd pas de temps avec les préliminaires, mais ça fait un moment que j'ai bien envie de tester certaines choses sur Jenny. Je l'allonge délicatement sur mon lit, et abaisse son short juste assez pour avoir accès à son bassin. 

Je dépose un, puis deux et une multitude de baisers, descendant juste assez pour atteindre le bas de son bassin. Je retire enfin son short, et commence à embrasser doucement son entrejambe, au niveau du haut de ses cuisses. Je retire son string noir en dentelle. Mon Dieu celui là me fait craquer à chaque fois. Je dépose de petit baisers mouillés sur son intimité. A voir lequel est le plus mouillé. A en déduire des coups de reins qu'elle me donne, cette torture lui plait. 

Ses yeux sont fermés, sa respiration saccadée, et son dos est cambré.

- Mademoiselle Humphrey n'est pas patiente ?

Elle se redresse d'un coup, m'attrape par la nuque et me redresse de manière à ce que je sois au dessus d'elle. Je sens son souffle chaud sur le visage.

- D-dépêche toi avant que je te baise moi-même.

Je lui lance un regard de défi, très amusé par la situation. Elle lève les sourcils, me retourne de façon à être à califourchon sur moi et je m'assieds. Elle déboutonne mon jean et le fait glisser jusqu'à mes pieds, mon caleçon avec. Ma putain d'érection est très visible, ce qui lui arrache un sourire.

Je ne comprend ce qui m'arrive que lorsque ce qu'elle s'empale littéralement sur moi, ce qui m'arrache un grognement. Bordel de merde ! Je pose mes mains sur ses fesses et l'approche de moi encore plus, me faisant entrer en elle plus profondément encore.

Elle démarre ses vas-et-viens. Cette fille est trop bandante. Je lui suçotte le cou, ce qui ne semble pas la déranger. A en juger par les frissons qui lui parcourent le corps et les sensations qui lm'envahissent, nous approchons à grands pas de l'orgasme. 

Ses va-et-viens s'accélèrent, et lorsque j'ai l'impression que nous allons partir, nous somme violemment coupés par quelqu'un qui tambourine à la porte.

Nous nous levons rapidement, Jenny faisant une moue trop mignonne montrant qu'elle n'est pas heureuse que l'on est été coupés.

Nous nous rhabillons tandis que les coups se font de plus en plus fort.

- Stannnn !

- Merde Dylan, attend !

Faut qu'il revienne maintenant lui. J'ouvre la porte et tombe sur Dylan, essouflé comme un boeuf, mais visiblement stimulé.

- Stan ! BORDEL ! Y a une nouvelle ! ET ELLE EST PUTAIN DE BONNE ! 

Ur my GirlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant