L'Eau, L'Air, Le Feu et Moi

Chapitre 18

Nous prenons donc le chemin de la maison d'Aldaron, se moquant du regard des gens il me prend par la main avec une pointe de fierté dans les yeux. Nous entrons et à peine passer le pas de la porte il me demande :

- Aldaron : Alors c'est quoi ces choses que tu as à me dire

- Ben avant tout je dois te dire que je t'aime, dis-je en me collant contre lui

- Aldaron : Moi aussi je t'aime ma douce Leah

- Ensuite que tu m'as terriblement manqué, dis-je en passant mes bras autour de son cou

- Aldaron : Oh je crois avoir deviné ce que tu as à me dire, dit-il en m'embrassant

- Il t'en a fallu du temps dis donc

Il me soulève alors et me porte jusque dans la chambre où tout a commencé, il me dépose délicatement sur le lit et s'allonge près de moi, il reprend son baiser là où il l'avait arrêté, sa langue cherchant la mienne pour un baiser voluptueux, j'entreprends de le déshabillé, il me regarde d'un regard de braise puis m'embrasse dans le cou, remontant jusqu'à mes oreilles qu'il mordille doucement, je suis parcourue de frissons.

- Aldaron : Cela ne risque rien pour notre fille ?

- Pas si nous faisons doucement, murmurais-je

Sa bouche vient prendre la mienne avec tendresse au début puis plus impatiente ensuite, sa main remonte le long de ma cuisse sous ma robe jusqu'à ma hanche qu'il caresse jusqu'à mon ventre puis redescend sur l'intérieur de ma cuisse, je ne peux pas m'empêcher de gémir de plaisir, il fait rouler ma culotte sur mes jambes, je le repousse contre le lit et monte sur lui à cheval, je fais passer ma robe par-dessus ma tête, il m'attrape par les hanches et colle son sexe, au travers de son pantalon, contre le mien, il lâche un râle rauque puis caresse mes seins doucement

- Aldaron : Tu me rends dingue !! Ton corps m'a manqué, murmure-t-il

- Montre-moi à quel point, susurrais-je

Il ne se fait pas prier, il me bascule sur le lit et enlève son pantalon et de sa main experte caresse ma féminité la plus intime, je tremble de tout mon corps, il m'embrasse avec une extrême tendresse puis il me fait monter sur lui et me pénètre avec une infinie douceur, je monte et descend sur son sexe en gémissant de plaisir, il m'attrape par les hanches et accélère le mouvement, je me penche en arrière pour mieux le sentir, il donne de grands coup puissant et éjacule au fond de moi alors que je crie de jouissance.

Je pose mes mains sur son torse et le regarde tendrement, j'aime faire l'amour avec lui, je me sens vivante dans ses bras.

- Aldaron : Je n'ai jamais ressenti ça auparavant, tu me fais perdre la tête

- Je t'aime mon amour

- Aldaron : Tye melane, min melyanna

- A tes souhaits (rire)

- Aldaron : Je disais : je t'aime mon amour

- J'aime ta langue, tu me l'apprendras ?

- Aldaron : Avec plaisir

Je m'allonge près de lui et il se met sur le côté et caresse mon ventre doucement, puis il l'embrasse, ma fille à ce moment-là se manifeste et donne un coup de pied sous les lèvres de son père, il me regarde alors étonné et les yeux pleins de larmes.

- Aldaron : Que penses-tu d'Elerinna ?

- C'est doux comme prénom, j'aime bien