Chapitre 2 : L'enfer commence

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*flash back*
Tout le monde parlait d'un nouvel élève transféré. Cela devait encore être un de ces étranger. Toutes les filles n'arrêtaient pas de piailler comme quoi il était un vrai prince. C'était bruyant. Pourquoi autant d'agitation seulement pour un nouveau? Je ne comprendrais jamais les filles.
Comme d'habitude j'étais de corvée de ménage. En réalité tout le monde me refilé les leur. Mais ça ne me gênée pas après tout je n'avais rien de mieux a faire. Le collège était vide. Tout le monde était partit. Il ne devait rester que moi et quelque professeur.
Je transportée une pile de cahier jusqu'à la salle de science. Mes bras tremblaient sous le poids ce ceux ci. Mon pied percuta une marche et je tombai allongé a plat ventre sur le sol. Une main me releva. Qui était ce? Qui pouvait s'inquiéter de quelqun comme moi? Je relevais la tête. Je ne voyais rien. Un morceaux de tissue me bloquer la vue. La personne essuyer le sang qui coulait de mon front. Une fois le mouchoir enlevé je retrouvai la vue. Le nouvel élève. Je m'inclinais en signe de remerciement. Il resta avec moi et m'aida a accomplir toute mes corvées. Je mettais trompée sur son compte. Il était gentil.
Depuis il venait souvent avec moi pendant les journées. Nous mangions ensemble, on travaillait ensemble et quelque fois on allait sur le toit en cachette rien que tout les deux. Être avec lui m'avait fait oublier la promesse que je m'étais faite. Ne plus m'attacher a quelqun car un jour ou l'autre nous serons trahis.
Un jour, plus précisément un vendredi soir, il m'invita chez lui. Il vivait en autonomie malgré sont jeunes âge. Il n'avait pas voulu me dire la raison. C'était un petit appartement, simple mais agréable a vivre. Nous avions bu un soda puis avions joués au jeux vidéos. Nous ne voyons pas le temps passé. Je suppose que c'est a partir d'ici que mon Coeur avait commencé a battre la chamade.
Nous avions prit l'habitude de se retrouver tout les vendredis soir chez lui. Mais nos habitudes avait changés. Un jour, il m'avait soudainement pris dans ces bras. Je croyais que mon Coeur allait explosé. Il était de nature posé alors cette action de ca part m'avais surprise. Depuis, quand nous nous voyions nous nous enlacions, ou il s'endormait sur mon épaule. Il avait souvent l'air fatigué. Ou encore on se tenait par la main en allant chez lui. Cette fois j'en étais sure, j'étais follement amoureuse de lui.
Mais je m'étais trompée. Il se servait de moi. Je l'ai su en écoutant une conversation qui ne m'étais pas destiné. Il parlait a une fille qui nous avait vu aller chez lui. Quand il parti, il me vit derrière la porte. Il me lança un regard noir et me dit simplement :
- Je n'est plus besoin de toi, tu me servais a passer le temps. J'ai trouvé une nouvelle occupation.
Sur le coup ses paroles m'avais abattue. Mais j'avais beau essayer de l'oublier. Mon Coeur continuait de battre pour cet homme. Notre relation avait changé. On ne parlait plus et il m'évitais.
Je ne pouvais plus cacher mes sentiments. Si je me déclarée j'aurais peut être une nouvelle chance.
C'est ainsi que j'ai décidé de lui faire part de mes sentiments a la remise des diplômes. La réponse vous la connaissez déjà. Le fameux Non de Kaname.
Voici l'histoire de ma deuxième trahisons.
*fin flash back*
Kaname se trouvait la devant moi. Il avança dans la pièce on nous nous trouvions. Il me regarda longtemps. Puis me pointa du doigt et demanda a son frère qui j'étais.
- Mon chien.
Il eu l'air étonné mais ne dit rien. Il n'avait pas changé. Il était toujours aussi calme et posé. Il prit une chaise et s'assit a la table.
Il ne m'avait pas reconnue. En même temps je suis en homme et plusieurs années sont passées depuis. J'étais étonnée sur un point. Mon Coeur ne battait pas la chamade. Le revoir ne me faisait rien. Je venais de tourner définitivement la page.
Tout le long du repas les deux frères se lançaient des regards noirs... Ce n'était pas la joie. Je me levais de ma chaise et posai une question.
- vous voulez quelque chose?
- assis pas bouger! Cria Hayato sans lâcher Kaname des yeux. Si tu ne t'assoie pas maintenant je réduis ta paie.
Cette phrase me fit aussitôt m'assoir. L'argent c'est précieux! Le repas allait bientôt touché a sa fin. Depuis son arrivé personne n'avait parlé. C'était une ambiance assez stressante.
J'arrivais les désert a la main. Hayato m'avait demandé de ramener des boules de glaces pour lui c'était : Chocolat vanille avec chantilly et coulis de chocolat. Et il avait demandé que je ramène a Kaname une boule a la vanille et rien de plus... Même si je m'étais permise de rajouter du coulis au chocolat dessus. En lui déposant sa glace, il vis le coulis et me regarda. Je lui fit un clin d'oeil en lui demandant de ne rien dire. Je ne sais toujours pas pourquoi j'avais fait ça. C'était comme ci mes bras avaient bougé tout seul.
Il ne me quitta pas des yeux de tout le repas. En débarrassant la table, je me pris les pieds dans le tapis et toute la sauce de la viande atterrit sur Kaname. Tous ses vêtement de luxe étaient rempli du sang du steak. Hayato se leva aussitôt et rigola. Il se détestait vraiment.
Kaname lui ne rigolait pas.
- Je suis désolé. Pardonnez moi je ferais plus attention!
- Ce n'est rien. Viens seulement m'aider a enlever la tâche.
Son sourire... Cela faisait longtemps que je ne lavais pas revu. Mais il ne me faisait plus aucun effet. Nous allions tout les deux dans la salle de bain. Je mouillais une petite éponge et commençai a frotter ses vêtements. Il me regardait en silence. Quand j'eue enfin finit, je fit une courbette et commençai a partir quand il se mit a parler.
- regarde moi. Dit t'il de sa voix grave. Yuno.
C'était pas possible comment pouvais t'il se rappeler de moi? Et comment m'avoir reconnue?!
- Excusez moi. Ce n'est pas vous. Mais vous lui ressemblez vraiment. Je lui avait dit une chose horrible j'aimerais me rattraper. Mais je sais qu'il est trop tard. Excusez moi de vous avoir retenue. Bonne nuit jeune homme.
C'était quoi ça ? Kaname avait une expression si triste a l'instant. Je sentais mon Coeur battre de plus en plus vite. Je ne devais pas me laisser avoir. Je ne dois m'attacher a personne.
En ouvrant la porte de la chambre d'Hayato pour rejoindre la mienne je me rendis compte qu'elle était fermée a clé.je frappais alors doucement.
- Tu es en retard.
- pouvez vous ouvrir la porte s'il vous plait. J'étais en train d'aider votre frère.
La porte s'ouvrit brusquement me faisant tombée. Hayato me rattrape et me jetta sur son lit. Il avait l'air énervé.
- jamais tu ne me parles de mon frère! Tu es mon esclaves a moi pas a lui!
C'était la première fois que je le voyais dans un tel état. Il me faisait limite peur. Il serrait tellement fort mon poignet que je ne le sentais plus. Il se rendit compte de la petite grimace qui m'avait échappé et me lâcha en s'excusant. Puis d'un coup son sourire maléfique revint sur son visage. Un gémissement sorti de ma bouche car je savais deja que j'allais souffrir.
Il commença a m'humilier... En me donnant des ordres. Tels que assis, fais le beau, aboie.
J'étais forcée de les faire. Hayato se roulait de rire sur son lit. Sans m'en rendre compte je me mise a sourire et a rigoler avec lui. Des que nos regards se croisaient l'on replongé dans notre fou rire.
Le lendemain en me réveillant, Hayato n'était plus là. Il m'avait laissé un mot écris: Je suis parti voir un membre de ma famille. Je reviens ce soir. Prend ça pour un jour de repos. PS : Des croquettes sont dans le placard a ta disposition. Bon chien.
Ce gars là! C'était vraiment quelque chose. Mais je ne pus m'empêcher de rigoler. Au fond il ne devait pas être une mauvaise personne...
En sortant de ma chambre, je vis quelqun dans le couloir. Kaname. J'avançais comme si je ne l'avais pas vu. Mais il plaqua sa main contre l'autre mur pour m'empêcher de passer. Il se pencha a la hauteur de mon oreille et me chuchota : Aujourd'hui c'est moi ton maîtres. Décidément, quand le démon numéro un n'est pas la le numéro deux s'y mets!
Kaname ne m'avais encore rien demandé. Je pouvais faire ce qu'il me plaisait dans leur maison il ne me disait rien. Il me suivait juste comme un petit chien sans dire un mot.
Je décidais d'aller faire un tour dans le jardin. Toutes les couleurs des roses et des autres fleurs me rendais heureuse. Elles me rappelaient mes parents. Leurs rêvent était d'avoir une roseraie. Mais la maladroite que je suis trébucha sur un cailloux. Kaname me rattrapa.... Par la poitrine. Il eu l'air surpris et appuya a plusieurs reprise. Je détournais les yeux, je rougissais.
- Tu peux me lâcher sil te plait.
- Tu as les pectoraux musclé!
Ce sont des seins! Et tu me fait mal! Il me lâcha enfin. Je le remercier et continua ma route. Je me retournais et je le vis sourire en coin.
Un peu plus tard dans la journée, j'étais tellement épuisée que je m'assise sur une chaise. Kaname arriva avec un calepin dans les mains et s'assit a coter de moi. Je voyais qu'il écrivait quelque chose.
- Je suis allé dans ta chambre.
Je tournais la tete stupéfaite de sa phrase j'espérais qu'il n'avait rien découvert. Il se mit debout en face de moi et posa brusquement ses mains sur le dossier de ma chaise. Il rapprocha sa tete de moi. Son souffle chaud arrivait sur ma joue. Il déposa un baiser sur ma joue. Surprise je mis ma main sur celle ci.
- Tu rougis pourquoi? Tu aimes les hommes? Ou alors tu m'aimes moi?
Je ne comprenais pas sa phrase. Mais j'étais sur qu'il était dangereux pour mon secret.
- Je dois partir Hayato va bientôt rentré.
- Tu restes.
Il agrippa ma main et me tira sur ses genoux. J'essayais de me dégager de son étreinte mais ma force comparé a la sienne n'était rien. Je me sentais comme une mouche prise dans une toile d'araignée. Il m'enlaça et posa sa tête dans mon dos. Il y eu un silence. Puis il me regarda droit dans les yeux. Son expression changea comme quand je lui avait avoué mes sentiments. Il devenait un être maléfique. Il avait ce petit sourire en coin. Il se pencha a mon oreille et murmura :
- Ça faisait longtemps... Yuno!

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