Partie 4: Son retour

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*flash back*
Je venais d'emménager a Tokyo dans une petite maison. J'étais âgée de seulement six ans et je ne connaissait personne. Nos nouveaux voisins avait un fils. Tsukasa. On était vite devenu ami. Puis avec le temps meilleur ami. Puis inséparable.
Nous allions a l'école ensemble, on allait jouer chez l'autre, le week-end nous le passions a jouer aux aventuriers... On était comme frère et soeur.
Tsukasa faisait parti d'un club de baseball déjà en primaire. Je ne ratais aucun de ses match. Je me déguisais en pompom girl et je criais son prénom. Nous rigolions. Pleurions ensemble. On faisait tout ensemble.
Il avait toujours était la quand je n'allais pas bien. Il me consolais en me prenant dans ses petits bras. Je ne l'ai jamais connue plus grands que moi. Je ne pouvais imaginer un monde sans lui. Comme une enfant sans son doudou.
En Cm2, Tsukasa était un peu plus distant a l'école. Sois disant car sinon ses copains l'embêter. Mais le soir après nos cours on se retrouvait.
Un soir de neige, je m'étais foulée la cheville. Il m'avait porté malgré sa petite taille sur son dos. Puis il m'avais posé et c'était assis dans la neige. Je voyais qu'il dessinait quelque chose. Un Coeur. Il se leva me laissant assise. Puis m'avais dit c'est parole : "Yuno je t'aime". J'ai explosé de rire a ce moment là. Je savais que c'était une blague. Cependant, Tsukasa parti en courant me laissant seule sous les flocons glacials d'hiver. C'était une blague n'est ce pas?
Je devais aller chez ma grand mère qui habitait a la campagne dans ma ville natale. Elle avait une maladie et maman m'avais dit qu'il fallait que je garde le sourire... Moi je n'avais pas compris.
En rentrant a Tokyo, Tsukasa n'était plus là. Ni chez lui. Ni a l'école. Rien. Comme s'il n'avait jamais existé. Personne de parlait de lui et de sa famille. Aucune lettre. Aucun appel. Plus que des photos. Des photos douloureuses qui finirent a la poubelle. Tsukasa n'avait jamais existé. Je le haïssait.
*fin flash back*
Une lettre de Tsukasa. Il ne m'avait jamais redonner de nouvelle et il m'envoie cette lettre. Une blague! C'est une blague! Tout ce que j'avais essayé d'oublier, tout mes souvenirs douloureux me revinrent en tête.
- Me voir? Un rire nerveux m'échappa. Plus belle qu'avant? C'est une blague...? Une larme glissa sur ma joue. Qui voudrais te revoir!! Je te hais!!
Je pris la lettre et la froissa et la déchira. Je tombai a terre. La tête entre les mains. En pleure. Pourquoi maintenant? Non... Je ne voulais pas! Je ne devais pas y aller! Je devais le haïr, l'oublier.
J'étais rentrée dans la demeure de Kaname et d'Hayato. Finalement, ils avaient décidé que je serrais au service des deux. Je n'étais pas enchantée... Mais quand ils m'ont annoncé que je serrais payée le double, comment refuser?!
Je rangeais mes affaires dans la chambre d'amis. Puis m' allongeai sur le lit tout en regardant le plafond. Un frisson me traversa le long de la colonne. En attrapant mon gilet, des petits confettis tombèrent sur le sol. La lettre. Je n'avais pas eu le courage de la jeter. Au final je devais être encore plus lamentable que lui.
Le 26 juillet arriva, je m'efforçais de faire comme si de rien n'était. Ma journée commença avec Hayato.
- Les courses! Mais aujourd'hui je t'accompagne.
Hein? Depuis quand monsieur parfait prenait la peine de se salir les mains? Nous marchions dans la rue sans un bruit. J'avais l'impression qu'il avait essayé de me dire quelque chose a plusieurs reprise mais en vain. A moins que je me fasse des idées. Une fois au supermarché, je sortis la liste de course de ma poche. "Lait, Eau, Papier toilette, fruits, légume... Prèserv..." Hein?! Je lui lançais un regard noir. Il rigola.
- Je rigole. Je l'ai rajouté tout a l'heure.
Je me mise a rigoler avec lui.
- Je suis content tu souris enfin. Tu avais l'air étrange.
Je le fixais étonnée qu'il puisse s'inquiéter pour moi, son chien. Il tourna la tête et me demanda d'oublier. Je continuais de sourire. Je venais de découvrir une nouvelle facette de sa personnalité.
Nous sortions du magasin les bras chargés. Enfin surtout moi. Car monsieur le prince ne voulait rien prendre. Évidemment sa gentillesse ne pouvait pas durer éternellement.
Je marchais devant lui. Soudain, il commença a parler.
- Yuno.
- Hum?
- Un jour, ne me demande pas comment. J'ai trouvé une photo d'une fille et de Kaname. Je suis sur que c'est lui. Tu le connaissais?
Sur ces paroles je m'arrêtais et me retournais. Je ne répondis rien. Comment l'avais t'il trouvait?
- Co..Comment l'as tu trouvé?
- Je... Je suis allez chez toi. Je n'imaginais pas que tu pouvais vivre dans  tel endroit.
- De quel droit?! De quel droit m'espionnes tu?!
Je lui balançais le papier toilette au visage. Puis parties en courant. Il ne m'avais pas suivis. Je n'en croyais pas mes yeux... Pourquoi était t'il venu chez moi?
Je m'étais enfermé dans ma chambre enfin leur chambre. Immobile. J'étais assise par terre. Je mis la main dans ma poche. Rien. J'avais pourtant mis la lettre dedans... Enfin tant pis. Je la connaissait par Coeur tellement je lavais relue.
Le temps passa. Puis 21 heures sonna. L'heure du rendez vous. Je m'étais jurée de ne pas y aller. Mais, mes jambes bougeaient d'elle même.
Je m'étais bien habillée pour pas qu'il ne devine mon manque de moyen. J'avais mis un t-shirt simple avec un jean simple aussi. Puis un manteau mixte que j'avais trouvé pas chère au supermarché. Une tenue qui me correspondait en temps que garçon manqué.
J'ouvris délicatement la porte de la chambre, et sortis dans les couloirs en faisant le moins de bruit possible. J'étais dehors. J'apercevais la tour de Tokyo. Je devais être seulement a quelque mettre de celle ci. Mais je n'arrivais plus a avancer. Mon ventre me faisait mal. Comme remplie de papillon. Je cherchais quelqun qui lui ressemblait des yeux. Personne ne lui ressemblait. Je m'en doutais, il c'était moqué de moi.
J'avançais tout de même jusqu'au pied de le tour. Rien. Pourtant il était 21h30. Puis soudain. Je ne vis plus rien. Des mains devant mes yeux.
- Devine qui c'est!
- Tsukasa...?
- Gagné!
Il enleva ses mains de mes yeux. Devant moi ne ce tenait pas Tsukasa. c'était un nouveau Tsukasa.
*Pdv Hayato*
Quand Yuno était partie en courant apres que je lui ai annoncé que j'étais allé chez elle, elle avait fait tombait quelque chose de sa poche. Je l'avais ramassé. Il s'agissait d'une lettre qui avait été rafistolé avec du scotch. Surement car elle c'était trouvé déchiré. Ma curiosité m'avais forcé a la lire. Tsukasa... Était ce pour ça qu'elle était bizarre aujourd'hui?
A 21 heures je l'avais vu sortir de la chambre. Je l'avais suivie en cachette pour qu'il ne me découvre pas. C'est ainsi que j'en suis arrivé a cette situation. J'étais caché derrière un arbre a observer la scène de loin.
Un homme venait de cacher les yeux de Yuno. Surement ce Tsukasa. Ils restèrent longtemps a discuter. Je ne parvenais pas a entendre leur conversation. Cependant, je voyais leur geste et leur expression. Yuno se retourna soudainement, sans même lui adresser un signe d'au revoir. Rien. Mais il le rattrapa puis la relâcha. Que lui voulait t'il?
Il venait de partir mais Tsukasa n'avait pas bougé. Je me décidais de sortir de ma cachette et d'aller lui parler.
- Excusez moi! Il se retourna. Vous êtes Tsukasa?
- Vous me connaissez? Je pensez pourtant ne pas avoir était découvert. Je le prit par le col de son t shirt. Sans men rendre compte j'étais devenue sacrément énervé.
- Qui lui as tu fait ?! Qu'à tu fais a Yuno?
- Désolé j'ignorais qu'elle avait un copain.
- Je suis pas son copain. Je ne suis pas gay! Je suis juste son maître!
- ... Hein?
Tsukasa pencha la tête comme si j'avais dit des choses qu'il n'avait pas compris.
- Tsuakasa qui es tu pour lui? Répond!
Il marqua un temps d'hésitation puis souri.
- Pour lui? Un ami d'enfance? Un frère? Un meilleur ami? Mais dit moi toi Hayato..
- Comment me connais tu?
- Je sais tout ce qui concerne Yuno. Mais plutôt tu n'arrêtes pas de dire "il" ou "lui" comme si tu parlais d'un homme.
- Yuno en est un.
- Yuno... Est une femme. Tu n'avais pas remarqué? C'est une fille! Et je vais vous la reprendre sur ce... Bonne nuit!
Il me souris et partie. Yuno... Est une fille?

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