Chapitre 18

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Hugo : Salut...

Lucas avait un gros bandage sur le nez et me foudroyé du regard. Plus personnes je parler. Ils me regardent tous.

Antoine(chuchote) : Aller vas y.

Hugo : Euh.. je tenais à m'excuser de mon comportement envers Kingsley. Je...

Anthony : Tu l'as tué !!!!

Antoine : Non Kingsley est juste dans un profond coma.

Hugo : Euh... j'ai...

Je regarde Antoine d'un air paniqué et il me sourit. Je respire un grand cou et me lance.

Hugo : J'ai était drogué... c'est pour ça que j'ai agit insi. Lucas  je suis vraiment désolé je ne voulais pas te faire ça...

Lucas : T'es pardonné.

Hugo : Merci. Bon excuser moi j'y vais.

Je sors de Clairefontaine et vais à l'hôpital à pied. Une demi heure plus tard j'y suis. Je demande la chambre de Kingsley. Je monte les escaliers jusqu'au troisième étage.  Je rentre dans sa chambre et le trouve dans son lit. Il est torse nu, il a pleins de perfusions sur le torse. Un écran indique sont rythme cardiaque. Il a même un tuyau dans la bouche. Je sourit sadiquement en le voyant. Je suis heureux de le voir souffrir. Et oui je n'ai jamais été drogué. Antoine à échangé les analyses pour sauver ma carrière. Il est dans le coût. Quand à ma crise a Clairefontaine, c'était juste une crise d'asthme rien de plus. Heureusement que ma mère ne le sait pas elle me tuerai.

Je regarde Kingsley. Bien fait pour toi encule ! Ça t'apprendra à violé ma fille.

Je m'approche des machines et les regarde attentivement. Je sors immédiatement de sa chambre et vais sur le parking. Antoine m'attend la dans sa voiture. 

Antoine : C'est bon ? Ta fait se que t'avais à faire ?

Hugo : Ouais nikel.

On rentre à Clairefontaine en discutant.

En rentrant je joue avec mes enfants. Ils sont si beau !

Didier : Hugo ! Antoine !! Vous avez de la visiste !!!

Je rentre dans le salon, je croise Antoine et on se dirige vers l'entrée. 

Hugo : Bonjour.

Policiers : Ne jouez pas à sa avec  nous messieurs !

Antoine : On a fait quoi ? 

Policiers : Veuillez nous suivre au poste.

Je regarde Antoine et on se mets à courir pour leur échapper. C'est pas bien c'est vrai mais ça nous fait bien rire. On cours vers les terrains. On se serre dans les bras en rigolant.

Quand tout à coup un hélicoptère nous survolent et nous éclaire. Des snippers sont sur le toit de Clairefontaine. Un truc de malade que pour nous. Juste deux footballeurs.

Policiers : Plus un geste ! Vos mains sur la tête !!

On s'exécute en rigolant. Tout Clairefontaine nous regarde. Didier est énervé quand au enfants ils pleurent.

Les CRS nous font avancés. Au passage nous passons devant les joueurs et ma famille. Didier nous arrête.

Didier : Vous avez fait quoi encore ?

Hugo : J'ai jamais été drogues !!

Didier : J'ai pas compris ! Pourquoi vous vous faites embarqué par les flics ! Expliquer moi !!

On se regarde avec Antoine et on rigole.

Hugo : J'ai débranché ses machines et Antoine était au courant. On était complices.

On entend un policier parler à son taki walkie.

Policier : Tiré.

Sans même qu'on est pu réagir avec Antoine nous étions au sol et puis plus rien.

Ellipse de dix ans.

Avec Antoine nous étions en prison depuis plus de dix ans et on avait récolter vingt ans. On était des criminels maintenant. Mes enfants me manquer énormément c'est vrai mais ils avait du m'oublier maintenant après se que j'avais fait.

Hugo : Tu te souviens de Paul ?

Antoine : Bien sûr que oui !!

Hugo : Mmh. Ils me manque quand même...

Antoine : Moi c'est surtout mes enfants qui me manque.

Hugo : Moi aussi Antoine moi aussi.

Antoine : Bon qu'es ce qu'on fait ?

Hugo : On s'évade ?

Antoine : Aller.

Le soir on fit un plan génial et on parti de cette prison pourrit.

Antoine : On fait quoi maintenant ?

Hugo : Je sais pas moi !

Antoine : On va à Mâcon ?

Hugo : Aller !!

On parti à pied bien sûr sinon ils nous retrouverai.

Quelque jours plsu tard on arriva à Mâcon chez les parents d'Antoine.

On rentra.

Antoine : Coucou !!!

Isabelle : Antoine !!! Mais qu'es ce que tu fait la ?

Antoine : On s'est évadé on en avait mare.

... : Dégage Griezmann !!

C'était Théo son petit frère. Il nous metta dehors et on rigole.

Quand soudain un mal de tête horrible me pris. Tout tournait autour de moi. C'était horrible..

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Voici le chapitre 18, j'espere que ce chapitre vous plaira

Les enfants de Hugo LlorisWhere stories live. Discover now