Une française à la cité tome2. [Terminé]

Chapitre 7.

Merci d'être aussi nombreux à commenter et à voter c'est adorable! 💕

En rentrant à la maison je m'empressais de demander la permission à mes parents. Après tout, je savais qu'ils allaient dire oui.

- Maman, Papa? Je peux passer les vacances avec Jawed et Mamadou?

- Non. Répondit mon père.

- Quoi? Mais pourquoi? S'il te plait papa, et je serais sage à la maison j'arrêterai de me lever tard..

- T'es chiante Nalya le sais-tu? Sais-tu que t'es une emmerdeuse de première ma fille?

- Euh.. maintenant oui..

- Bon vas-y d'accord. Mais je te préviens, si il t'arrive quoi que ce soit, les deux garçons j'en fais du jambon cramé c'est compris?

- Berk.

- Oust.

Je courus vers mon téléphone histoire d'annoncer la bonne nouvelle.

[ C'EST BON MON PAPA A DIT OUI!]

[Jawed: Cool!]

[Mamadou: ok]

[Par contre mon père veut que je ramene du jambon cramé..]

[Jawed: Hein?]

[Non rien]

Deux jours s'étaient écoulés avant le grand jour.

J'avais pris deux énormes valises que j'avais placées à l'entrée en attendant l'arrivée des garçons.

Quelques minutes plus tard la sonnerie avait retentit emplifiant mon excitation.

Mes parents étaient partis travailler.

- Wesh Nalya tu crois on part pour 5 mois? Me demanda Mamadou.

Lui n'avait qu'un petit sac de marque, pareil pour Jawed qui lui, fit les gros yeux en voyant mes valises, mes énormes valises.

Je restais précieusement à côté de mes valises.

- Bon allez on y go! Se manifestait Jawed.

- À pied?

- Non sur les mains. Répliquait Mamadou.

- Bah je fais comment pour prendre mes valises?

- Vas-y Nalya ramène ton cul tout de suite avant que je m'énerve!

- Tu es déjà enerver Mamadou..

Il se mordit le poing.

Je pris mes deux valises à roulettes, en suivant les garçons.

- Vous trouvez pas que c'est une magnifique journée? Dis-je toute souriante.

- Il caille et tu dis ça?

Jawed levait les yeux au ciel.

- Un jour tes yeux ils vont rester coincés tu vas rien comprendre!

- Cool, au moins j'verais plus ta gueule.

- Méchant.

Mamadou riait.

Après une petite heure de marche on s'enfonçaient dans les bois. Une forêt denses, remplit d'arbres.

- Faut vraiment être chelou pour habiter dans une forêt. Me plaignais-je en me prenant des branches d'arbres dans la tronche.

- Aïe.

- Désolé j'avais oublié que tu étais derrière moi. Me regardait Mamadou.

On étaient enfin arrivés devant une petite maisonnette à l'abris des regards et éloignée de tous.

- J'ai peur.

- Commence pas Nalya!