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Chapitre 16

Andrea  

Lily-Rose Berlinski

Je rentrais chez moi encore dans les vapes mais aussi anxieuse. J'espérais que mon frère soit rentré chez moi et soit sains et sauf, je donnerai tout se que j'ai pour le savoir en sécurité. J'ouvrais donc la porte de mon appartement avant de jeter mon sac à l'entrée et de me ruer dans la chambre d'Adrian.

Je soupirai de soulagement lorsque je vie une énorme bosse sous les couvertures me faisant comprendre que celui-ci dormait. Je quittais donc la pièce avant d'aller me démaquiller et de retirer ces fringues qui n'étaient à mon gout et d'enfiler mon pyjama.

Comme d'habitude je dépliais mon lit avant de m'y glisser et de me laisser porter par le sommeil.

Estebàn Sanchez

J'attendais patiemment dans la voiture devant se collège l'heure de la sortie des classes. C'était la première fois que j'attendais ma sœur a son collège, je me contentais d'habitude de l'emmener manger ou acheter des vêtements lorsque j'avais le temps. J'avais repris contacte avec elle il y a à peu près deux ans, malgré que ma mère ne souhaitait pas m'adresser la parole je gardais contact avec ma petite sœur. La dernière famille qui me restait, ma petite princesse.

Je sortis du véhicule voyant que plusieurs élèves commençaient à sortir, je me postais pas très loin de l'entrée à fin de voir quand elle arriverait.

Je l'a reconnue immédiatement lorsque je vis une petite brune au long cheveux essayer de se frayer un chemin dans la foule, je pensais que au début les bousculades étaient du au monde mais je compris bien vite que quelques une d'entre elles étaient fait exprès. Des garçons comme des filles c'étaient mis à la pousser en lui disant des choses que malheureusement je n'entendais pas.

C'est aussi la que je compris que ce n'était pas simplement des camarades qui la taquinaient, ni une ni deux je me dirigeais en leur direction déterminer à ne pas les laisser faire. La colère montait en moi, personne ne s'en prend à ma sœur. Lorsque je m'approchais j'entendis une phrase qui m'énervais encore plus.

«– Andrea elle sont belle tes baskets elle a fait quoi ta mère pour te les payer ?!» Lançât une voix de garçon.

Un mec est mort pour moins que ça le savait-il ?

Je poussais les élèves qui se trouvaient autour d'elle avant d'attraper le bras de ma petite sœur et de la cacher derrière moi.

«– C'est qui le chien qui viens de dire sa ?» Demandais-je énervé me contenant le plus possible.

Plus personne ne parlait, mais les regards se dirigèrent tous vers un garçon qui n'avait plus tellement l'air d'assumer ses paroles. Sans réfléchir je l'attrapait par le col.

«– Tu sais on fait quoi au coño comme toi ?» Lui demandais-je en le soulevant légèrement.

Il fit un simple non de la tête, je le voyais paniquer et j'aimais ça malgré les plaintes de ma petite sœur qui me demandait de le lâcher. Il était comme tout ses petits enfoirés qui me prenait la tête étant petit.

«– T'aimerai pas le savoir.» Lui dis-je avant de le reposer et de l'attraper par Le Bras. « Excuses toi.» Lui ordonnais-je en le forçant à faire face à ma sœur.
«– D..Désolé.» Bafouillât-il.
«– Que j'entends encore une seul fois que tu parles de ma mère ou que tu t'en prennes à ma sœur jte jure que t'es mort.» Lançais-je avant de lui cracher au pied. « C'est valables pour vous aussi.» Dis-je en pointant du doigt les autres enfants présent.