Rencontre

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Je me dirigeais vers le bureau de la directrice, j'ai été appelé avant la sortie des classes, je montais les escaliers du troisième étage. La cloche sonna, comme d'habitude les élèves se bousculer pour atteindre la sortie en premier.
J'étais au milieu de l'escalier quand les élèves déboulèrent telle un troupeau de rhinocéros en furie. Je me colla contre le mur pour éviter de me faire bousculer par les lycéens, attendant que la vague soit passé, une fois que la plupart des élèves soient passés; je me remis à monter. Un crie aigu me fit lever les yeux, une fille tombait droit sur moi!

BOUM!

Le choc fut violent, je me retrouva en bas de l'escalier, sonné par le choc j'essaya de me lever mais un poids m'empêcher de me relever. Quand je repris mes esprits la fille qui était tombée dont j'ai amorti la chute était étaler sur moi, quand elle en prit conscience elle se releva très vite, en disant:

"Je suis vraiment désolée! Excuse moi! J'ai du trébucher!

-Ça va, t'en fais pas je vais bien. répondis-je

-Merci d'avoir amorti ma chute, me lança t'elle en repartant, bon je dois rentrer chez moi!

je répondis en me frottant le crâne d'un l'aire consterner:

-Euh.... de rien...."

Je me rappela de ma convocation, je monta vite les escaliers. Je me retrouva dans le couloir, je me trouva devant la porte du bureau de la directrice.
Je toqua à la porte et une voix me répondis:

"Oui, rentré.

-Vous voulez me voir Madame. dis-je

-Oh c'est vous Anko Ryu, c'est vrai que je vous avez convoqué.

Je demanda:

-Je peux savoir à quelle sujet?

-Au sujet de votre club d'arts
martiaux."

Je me mordît la lèvre inférieure, que voulait-elle au club? Le dissoudre?

Elle continua:

"Je voulais vous féliciter, il y a quand même une douzaine d'élèves inscrits dans votre club! Il est mieux qu'ils se défoulent sur le tatami quand classe!

Je retenais un souffle de soulagement, je répondis:

-j'en vous remercie Madame la directrice.

-Bon tu peux partir, il est l'heure.

-Oui Madame, au revoir!"

Je refermât la porte derrière moi, je descendit les escaliers à vif allure, je sortie de l'établissement. Sur le chemin du retour, je passa près d'une ruelle sombre.
Un crie me fit stoppé net, je courra vers la ruelle, une fille était au prises d'un groupe de malfrats. Je les entendit dire:
"Salut poupée, tu as fais une sacrée chute dans l'escalier tout à l'heure!"

Je reconnus enfin la fille de l'escalier et les malfrats, ils étaient dans le lycée pour cause qu'ils avaient redoubler plusieurs fois, le chef de la bande continua:

-Et on a vue ta petite culotte... On peut la voir d'un peu plus près?

-Arrêtez! gémissait la fille

Je décida d'intervenir, je cria:
-Ça suffit! Laissaient la tranquille!"

Le groupe tourna la tête en même temps, je m'avançais vers eux, je me mît entre la fille et le groupe, leur chef gronda:

"Mais je te reconnais, tu es celui qui à amorti la chute de cette poupée..

Je répliqua:
-Je veux pas d'ennuis avec vous et je tiens pas non plus à me battre!

-C'est amusant, nous voulons bien qu'on ce batte!"

Quand il termina sa phrase, il lança son poing vers mon visage, j'esquiva le coup et je lui faucha les jambes. Il tomba mollement sur la sol, ses amis se jetèrent sur moi, l'un envoya un coup de pied; je lui attrapa la jambe et le poussa vers la reste du groupe. Ils me regardèrent d'un l'air ahuri, l'un d'eux marmonna:

"Ça y est je me souviens de lui! Il dirige le club d'arts martiaux! Nous avons aucune chance face à lui!

Ils détalèrent comme des lapins, leur chef hurla:

-Revenez ici! Bande de trouillard!"
Il me lança un regard assassin, il se leva et posa son regard sur la fille, je me mis entre lui et elle.                              Il grogna:

"Tu as fait une grave erreur!

Sur ses mots, il sorti un couteau, je me mis en position de défense en disant:

-Ne fait pas ça!"

A peine que je termina ma phrase il se jeta sur moi, le couteau en direction de ma poitrine, je dévia son coup en lui donnant un coup sur le coude. Il lâcha un crie de surprise mais revint vite à la charge, j'essaya d'esquiver le coup mais le couteau me frôla l'épaule. Une vif douleur me déchira l'épaule droite, ignorant la douleur, j'attrapa le poignet de l'agresseur et le fit lâcher son couteau. Puis je le plaqua au sol et je lui lança:

"Tu a eu ton compte ou t'en veux encore?"

Je le relâcha, il s'enfuit vers la ville; je me retourna vers la fille en disant:

"T'as plus rien à craindre, ils sont partis"

Elle me regarda d'un l'air effrayé, je suivi son regard, elle avait le regard posé sur mon épaule où le sang coulait.
Elle m'attrapa la main et me tira hors de la ruelle et se dirigea vers une maison au loin. Cette maison était blanche et possédait un magnifique jardin, elle chercha quelque chose dans son sac et sortie une clé, je la regardais d'un l'air interrogateur en tenant mon épaule blessé.
Elle tourna la clé dans la serrure de la porte d'entrée, puis elle me fit rentrer. Elle me tira vers une pièce qui semblait être la salle de bain, elle posa une chaise et me mît assis sur celle-ci. Elle me demanda:

"Tu veux bien enlever ton haut s'il te plaît, il faut te soigner.

Je devais la fixé d'un l'air choqué car elle me lança:

-Pas la peine de faire cette tête."

Je finis par lui obéir, je retira mon haut et la laisse observé ma blessure, elle prit du coton qu'elle aspergea de désinfectant. Elle posa le coton sur ma blessure, le produit ravivât la douleur de mon épaule, je retenais un crie de douleur.
Elle tira un bandage de l'étagère et entoura mon épaule avec, je me rhabilla. Elle me fit sortir de la salle de bain en disant:

"Je nettoierait ça plus tard"

En effet du sang avait goutté sur le carrelage, elle ouvra la porte d'entrée en disant:

"Merci de m'avoir sauvé

Je répondis:
-C'est plutôt toi qu'il  faut remercier.... Attend mon sac je l'ai oublié là-bas!
D'un seul coup elle me tendit le sac en question en disant:

"J'ai pensée à le prendre.

Étonné, je repris mon sac en m'excusant:

-J'avais pas vue que tu l'avais, la fatigue sans doute.

-Bon je dois te laisser, si mon frère rentre en vois le sang, je pense qu'il va encore jouer au grand frère protecteur."

Elle claqua la porte, je sortie du jardin et je repris la route vers chez moi.

Les mondes de Nogard: le lycée Dentensu Where stories live. Discover now