Chapitre 24

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1 MARS 2017

C'était la semaine de relâche qui commençais donc j'ai demandée à Lukas d'aller voir mes parents adoptif pour la semaine et il a accepté. Je suis présentement en chemin avec lui vers mon ancienne maison en Californie. J'ai hâte de les revoir, ils ne savent pas que je suis en chemin vers la maison pour les voir. J'espère qu'ils seront heureux de me revoir comme je suis déjà contente d'aller les voir. J'ai aussi besoin qu'ils m'expliquer pourquoi ils pensaient que mon départ seraient plus facile en me faisant croire que j'étais un monstre à leur yeux.

Lors du trajet en avion, je suis restée silencieuse et j'ai aussi dormie un peu sur l'épaule de mon amoureux. Durant le trajet en voiture, j'ai prie la parole et je dis :

-Je pense, ils ne vont pas trouver bizarre qu'un prof m'accompagne jusqu'ici ?

-Peut-être mais en même temps tes parents sont des déchus donc ils s'en foutent un peu des règlements...Ils ne diront pas à qui que ce soit que nous sommes ensemble...

-Donc je peux leur dire que tu es mon fiancé ?

-Oui et je suis heureux de rencontrer les personnes qui t'ont élevée...

-Ils n'ont pas été tes élèves ?

-Non c'est Michael...t'es parents adoptif ont environ 600 ans...et dans mon premier siècle je n'étais pas un prof mais un simple soldat...

-Whaaaa...Je ne savais pas qu'ils étaient si vieux mes parents...

-Donc tu me trouves vieux ?!

-Oui mais l'âge n'a pas d'importance lorsque nous sommes amoureux...

-Tu tente de te rattraper...

-Un peu mais en même temps c'est hyper vrai !

-Chance que je t'aime ma chérie...

-Je t'aime aussi mon amour...

Quand ont n'ai finalement arrivés devant la maison de mon enfance, je vie la voiture de mes parents adoptif qui y était. Ils étaient donc à la maison, tant mieux. Je me retournais vers Lukas et je dis :

-Maintenant tu dois faire attention à la manière dont tu parles...Le vouvoiement est très important et la politesse dans le style bourgeois...

-Je ferai de mon mieux mais je vous rappel ma chère que je suis née à une époque le bon parler était très important...

-Alors mon chère monsieur nous devrions y aller et cesser de jouer...

Nous sommes alors sortis de la voiture en rigolant. En arrivant devant la porte, mon coeur battait fort dans ma poitevin, j'avais une boule à l'estomac. Lukas est donc celui qui a cogné à la porte. Pas plus de deux minutes plus tard, mon père adoptif vint ouvrir à la porte d'entrer. Lorsqu'il me vit, il dit étonné :

Qui Suis-je {Terminé}Where stories live. Discover now