La Rose de Versailles

Chapitre 15: Posons les bases du projet.

POV SASUKE

Itachi : Ca va, ça va je m'excuse ! Mais j'ai quand même raison !

Il sourit fièrement alors que Sakura le fusille du regard. Il rigole. Personne ne comprend ce qu'il se passe.

Kisame : S'passe quoi ?

Itachi : Rien d'important pour le moment.

Pein : Itachi Uchiwa !

Mon frère jette un œil à Sakura qui hoche la tête.

Itachi : (met une pichenette à Pein) Tu vas te calmer oui ?

Pein : Co-comment ?

Sakura : C'est moi. Pour l'instant, il faut s'occuper du projet

Pein et Itachi : AU MANOIR TOUT LE MONDE !

On ne discute pas et on part tous en direction du manoir Uchiwa. Sakura me jette un coup d'œil gêné. Que se passe-t-il dans sa petite tête ?

Je lui tends ma main, elle la prend toute guillerette et m'entraine jusqu'à mon frère et Pein.

Pein : (septique) J'ai raté un épisode ?

Itachi : Tu aurais du me suivre quand on est venu me chercher.

Pein : J'n'avais pas à venir ! Ca concernait ta famille !

Itachi : Seulement, tes parents étaient là.

Sakura sourit amusé et s'approcha un peu plus de moi, toujours main dans la main. Je ne sais pourquoi mais j'étais bien. J'ai vraiment l'impression d'être entier, d'avoir mon univers complet et qui tourne enfin rond, comme avec ma cavalière mystère.

Une fois arrivé au manoir, tous ce battent pour avoir une place dans les fauteuils et canapé. Il ne reste qu'un fauteuil de libre pour Sakura et moi. J'entraine la rose à ma suite vers le fauteuil. Je m'assoie et l'oblige à s'assoir sur mes genoux. Elle se blotti contre moi.

Kakuzu : Donc, quel est le projet exacte.

Shikamaru expliqua en long et en large le projet que nous avons l'intention de mettre en place et les rôles de chacun pour le staff. Pour le tournage, nous ne savons toujours pas ce que nous voulons exactement.

Tobi : Une histoire d'amour entre Sasuke et Sakura !

Nous sursautons tous les deux et Sakura rougit, elle enfuit son visage dans mon cou, me faisant sourire attendri.

Hinata : C'est une idée, vous êtes tellement mignon tout les deux.

Konan : On sent que quelque chose de fort vous lie tous les deux.

Itachi : Tu n'imagine même pas à quel point tu as raison !

Shikamaru : Bon va pour la romance entre les deux.

Kiba : Avec une bonne guerre ! Non ! Non ! Avec un combat épique entre Sasuke et le méchant qui veut du mal à Sakura !

Itachi : (mort de rire) Non mais vous voulez ma mort où quoi ?

Pein : (idem) J'avoue que là ils font forts !

Je les regarde sans comprendre. Ino se met à éclater à son tour de rire suivis de son frère et de Sasori puis de Sai.

Ino : (se calmant) Mon dieu, j'ai hâte de voir se que ça va rendre !

Shikamaru : Va pour la scène de combat.

Deidara : Un complot contre Marie-Antoinette et Louis XVI ! Puisqu'ils sont innocents de l'endettement de la France !

Neji : D'où le combat contre Sasuke à la fin !

Naruto : On tient un truc de Ouf !

Zetsu : Et pour le lieu ? On fait ça où ?

Les Haruno et les Yamanaka se regardèrent avant de lancer joyeusement tous ensemble : Versailles !

Kankurô : C'est bien jolie tout ça mais on n'peut pas arriver là bas et dire « salut on aimerait tourner dans le château et ses jardins, vous pourriez virer les touristes ? C'est pour un projet de classe ! »

Sasori : J'reviens, j'vais passer un coup de fil !

Il quitte la pièce et cette fois, c'est le sujet costume qui tombe.

Ino : Je m'en occupe ! Laissez-moi faire !

Temari : en parlant de ça c'est toi qui créais les robes hors de prix que l'on devait porter auprès de la reine ?

Ino : Tu parles des pâles copies que la cours portait ?

Temari : Ouai !

Ino : Je créais seulement les robes pour la reine Sakura et moi-même. Le couturier qui vous les vendait vous arnaquait ! Les robes ne coutaient pas plus de 20 livres d'or !

Sakura : La robe qui valait le plus montait à 50 livres d'or !

Tenten : Comment as-tu fait ?

Ino : J'ai négocié le tissu et j'ai récupérer toutes les chutes d'ancienne création.

Konan : Bravo, tes robes étaient magnifiques.

Ino : Attends de voir les prochaines !

Sakura sourit amusé et se blottis un peu plus contre moi. J'enlace sa taille et me cale plus confortablement dans le fauteuil, la rose dans mes bras.