Brisée par l'un sauvée l'autre

Chapitre 27:

- « tu te fou de ma gueule ? Depuis mes 8 ans tu me fait croire que ma mère et morte alors qu'elle a juste quitter son putain de violeur de mari ! » dis je en criant
- « oh tu parle à qui comme ça? Respecte moi je suis ton père »
- « mais putain qu'est ce que j'ai fait pour avoir cette famille de merde !? »
- « tu n'as pas à te plaindre fils il y a pire que nous »
- « abon? T'en connais beaucoup toi qui on un Pere violeur qui à enfanter le cadet qui est aussi le violeur et le Pere de l'enfant de son frère qui a été abandonner par sa mère ? »
J'ai ris, pourquoi ? J'en sais rien...
- « il y a des faux pas dans notre histoire mais il ne faut pas s'arrêter à ça. »
- « vous me dégoûter tous, je voulais plus voir ton fils mais maintenant toi aussi je t'écarte de ma vie »
- « si c'est pour ta mère je sais où elle habite et je ...»
- « ferme la ... Si je veut la voir j'ai pas besoin de ton aide » dis je en le coupant.
J'ai attraper ma veste et j'ai quitter la maison.

Lorsque je suis arriver, Gabi n'était pas la, je me suis donc installer sur le canapé en attendant qu'elle rentre pour nous faire à dîner.
Cinq minutes plus tard elle est arriver les bras chargés de sacs.
- « salut chéri  » dit elle joyeuse
- « c'est quoi tout ça ? » en montrant les paquets.
- « des trucs pour le bébé »
- « Putain Gabriella ça porte malheur » en criant
- « hey si t'es de mauvaise humeur c'est pas de ma faute hein » dit elle en jetant les paquets dans l'entrée.
Elle monta les escaliers.
- « tu fait pas à manger ? » criais je
Elle a claquer la porte de la chambre comme réponse.
Je suis aller dans la cuisine, j'ai pris un yaourt dans le frigo que j'ai manger debout puis je suis aller prendre une douche et rejoindre ma princesse dans notre lit mais à peine j'ai mis un pied dans la chambre qu'elle m'as dit de dormir sur le canapé. Super !

Le lendemain Gabi ne m'as pas adresser la parole avec le caractère qu'elle a ça ne m'étonne pas.
- « bébé ? »
Aucune réponse
- « Gabi c'est à toi que je parle ! »
Toujours rien
Je l'es attraper par le bras et lui est fait un énorme câlin.
- « j'étais mal hier ... » soufflais je dans le creux de son cou.
- « c'est une raison pour me parler comme ça? » répond elle sec
- « non mais ...»
- « mais quoi ? Je suis pas ton souffre douleur James ! »
- « je viens d'apprendre que ma mère est en vie ... »
- pardon ? »
- « et oui mon violeur de Pere me l'as dit hier »
Elle me regarder avec des gros yeux je décida donc de tout lui expliquer.
- « Oh mon Dieu mais c'est pire que les feux de l'amour ton truc la »
J'ai ris face à sa réponse.
- « donc tu vas chercher ta mère ? »