Prologue - Quinze ans plus tôt.

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Bonjour à tous !

C'est ma première fiction James Bond... Et ma deuxième fiction tout court ._.

J'espère de tout mon cœur qu'elle vous plaira.

Merci Olivia95280 pour son soutien... Et pour m'avoir aidé à choisir la cover. (Et pas que. Ma petite Olivia, tu es géniale. Et je suis désolée de t'avoir faite patienter pour avoir l'autre moitié de ce texte XD)

PS : Pas de bêta. Je n'arrête pas de me relire, mais il y a toujours des petits trucs qui m'échappent... J'en suis la première désolée ... Ah, aussi : les chapitres ne devraient pas être aussi longs que sur mon autre fiction.

A chaque fois que le livre ou film est anglophone, je glisse des phrases en anglais (en général assez courantes, sinon je traduis)

Bonne lecture à tous !

Cette fiction se déroulera dans la Time-line de Skyfall, sauf précision du contraire.

Les personnages et l'univers ne m'appartiennent pas. Seul mon (mes) OC(s), le scénario et les petits trucs en plus m'appartiennent.

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Quinze ans plus tôt... Ou comment tout a commencé.

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Il était un peu plus de dix-sept heures trente. La journée semblait s'éterniser. Mais elle était loin d'être encore finie. Le major Boothroyd regarda avec exaspération les miettes du dernier gadget qu'il avait confié à Bond. Un jeune agent brillant, si l'on voulait son avis, mais ayant pris de très mauvaises habitudes depuis ses succès avec Le Chiffre et, très récemment, Quantum. Celle qui mettait le Major le plus en rogne était le peu de respect accordé à ses gadgets et le fait qu'il retrouve systématiquement ses inventions en miettes.

Avec humeur, il demanda à l'un de ses subalternes de récupérer les morceaux et de les mettre dans la pile à recycler, tandis qu'il s'attelait à réparer le malheureux Walther PPK de 007. A en juger par l'était du malheureux pistolet, celui qui se faisait surnommer Q se demanda si Bond s'en était servi pour alimenter un feu ou s'il l'avançait lancé sciemment dans une explosion.

Il hésita à le jeter ou le réparer, puis convint que la Q-Branch dépensait déjà suffisamment de son budget pour 007 et que, puisqu'il avait un peu de temps, il vaudrait mieux de tenter de réparer le pauvre pistolet.

Après de longues dizaines de minutes à remettre les mécanismes en état et à tester le pistolet, le Major Boothroyd sentit une puissante satisfaction monter en lui. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas dû réparer d'armes, et en être toujours capable à son âge lui procurait un sentiment de joie : finalement, il ne perdrait peut-être jamais la main.

Ce fut ce moment que son téléphone choisit pour sonner.

D'un air distrait, il répondit tandis qu'il vérifiait une dernière fois que le Walther était à nouveau en parfait état.

- Allo ?

- B-Bonjour, Monsieur. Répondit une petite voix.

Cela fit sursauter le Major. C'était une enfant, qui n'avait pas plus de dix ans vu sa voix. Elle semblait morte de peur.

Q regarda le numéro. Français. Puis il vérifia depuis quel téléphone il avait répondu : celui du MI6. Les chances que cette enfant ait fait un numéro au hasard pour l'embêter étaient nulles : le seul moyen d'avoir ce numéro était que quelqu'un intérieur au service l'ait entré dans le téléphone.

Nothing lasts ForeverWhere stories live. Discover now