Chapitre 5

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PDV Hana:

Nous marchions tous, les uns à côté des autres, en direction du centre même de Tokyo.

Moi: Dites-moi, où est-ce que vous m'emmener? Parce que là, moi je ne connais rien de cette ville.

Aomine: On vas au Maji Burger, le meilleur des meilleurs fast-foods.

Moi: Tu te trompes, Daï-chan, le plus génial, c'est Burger King. D'ailleurs je ne connais absolument pas le Maji Burger.

Aomine-Murasakibara: QUOI!? TU NE CONNAIS PAS LE MAJI-BURGER!?

Je m'étais boucher les oreilles à cause de la force de leur cris. C'était à croire que le ce "Maji-Burger" était un dieu vivant.

Midorima: Taisez-vous un peu!  Vous allez tuer les timpans de Hana-chan. Est-ce que ça vas? Tu as encore toute ton ouïe?

Moi: Ne t'inquiète pas, ce n'est pas aujourd'hui que je deviendrais sourde. J'ai déjà vécu pire, tel les début de jeune violoniste pas doué. Horrible, ces tous ce que j'en retiens.

Ma remarque les fit tous rire. Je sourit, fière de moi.

Moi: Bon, c'est pas que je m'ennuie, mais sois on continue notre chemin, soit moi je me casse d'ici. Ok?

Momoi: C'est vrai ça! Quand est ce qu'on vas ce bouger, hein?

Ces sur ces quelques mots que nous reprîmes le chemin vers le "dieu" des fast good, d'après ce que j'avais compris. Je riais d'une des bêtise de Kise lorsque Atsushi-kun se manifesta.

Murasakibara: Ah, nous sommes arrivés.

Ils rentrèrent dans le bâtiment et s'installèrent à une table assez grande pour pouvoir contenir tous ce beau monde.

Moi: Alors, qui prends quoi! Puisque c'est vous me faîtes découvrir l'endroit, je me dois de vous payer la commande.

Kise: Un hamburger avec un ice tea et en dessert, un frappé au marshmallow.

Momoi et Susumu: La même chose, mais avec un frappé chocolat!

Ils se regardèrent étonné, avant d'exploser de rire et se frottant les cheveux. Je les regardaient avec douceur. Mais, un point obscure vint gâcher cette joyeuse pensé. Je me mis à les jalousaient, pour ce qu'il possédait et que je n'avais jamais, au grand jamais, eu le droit d'effleurer ne serait-ce qu'une petite parcelle. Oui, un simple bout de bonheur. J'y avait goûter, quand j'étais petite. Puis, c'est comme si on avait décider de me le voler, en m'arrachant mes ailes, celle qui me permettait de restait au côté de Tetsuya sans avoir à douter.  En ce moment même, la seul chose qui m'obséder l'esprit, c'était de détruire tout ce que les autre avait et que elle, la rejeté, la recluse, la détesté, n'avait jamais eu le droit d'avoir.

Momoi: Eh oh! Il y a quelqu'un, là-dedans? Réveille toi, Hana-chan!

Elle réussit à me faire revenir. Lorsque je me rendis compte de ce à quoi je pensais, un haut le cœur me vint. Voyant que je n'allais pas vraiment bien, tout le monde qui regardait, de leur grands yeux inquiet.

Moi: Je vais bien, ne vous en faîtes pas! Ce n'était qu'un petit moment d'absence. Bon, à ton tour, Shintaro-chan!

Midorima: Eh bien, je prendrais un wrap poulet bacon, un sprite et un donut, s'il-te-plaît.

Moi: Oki, c'est noté! Akashi, tu prends quoi, toi?

Akashi: Je vais prendre...hum...attends, je sais! Un cheeseburger.

Moi: C'est tout? Bon, bas si tu as encore faim après, il ne faudra pas te plaindre. Bon, à ton tour, Tetsu-kun! Prend ce que tu veux, je me ferais une joie de te l'offrir.

Kuroko no basket: Aimée à jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant