J-50

Pdv Lexa

Ça y est ! Je sors enfin après une longue semaine d'attente. Clarke n'a plus touché à la drogue. Tout va bien, pour l'instant. J'étais dans mon canapé. Après mon opèration j'ai eu deux mois d'arrêt de travail. Je m'ennuie tellement. Clarke va en cours tous les jours. Elle veux son BAC. J'éspère qu'elle l'aura. Elle est tellement intelligente, mais elle ne l'exploite pas assez et s'en fiche pas mal d'avoir des bonnes notes. La porte s'ouvrit. Je souris.
-Salut ! Me dit Clarke
-Ah ! Ça va ?
-Oui, mise à part que j'évite l'autre pouffe de Séléna.
-À ce propos, elle n'est pas revenue te parler ?
-Non, mais dans les couloirs, parfois elle me frôle et me chuchotte des menaces à l'oreille. Mais j'en ai rien à battre concrètement. Il reste quatre mois avant le BAC et comme je l'aurais, après je la verrais plus.
-T'as raison, ignore là. Après ça va te retomber dessus. Après si tu veux je peux aller la frapper, pas de problèmes.
Elle se mit à côté de moi et posa sa tête sur mon épaule.
-Non Lex' je veux pas que tu ais des soucis à cause de moi.
Je lui carressa la joue. Un bruit attira mon attention:
-C'est ton ventre qui fait ce bruit Clarke ?
-Euh... Oui, j'ai faim.
-T'as faim tout le temps de toute façon.
-Hé ! Je te permet pas.
Elle croisa les bras et se redressa. Je me retournais en lui souriant, elle détourna la tête pour éviter mon regard.
-Tu sais très bien que j'ai raison.
-Oui et c'est ça qui me soule.
Je rigolais puis me levai pour préparer un truc à Clarke. Elle mangea en en mettant partout.
-T'es vraiment une enfant Clarke.
-Mais arrête de me critiquer.
-Je te critique pas du tout ma chérie. Je suis pas comme ça.
Elle partis dans la chambre et je n'entendis plus rien. Je me levais et la porte était fermé à clé.
-Euh, qu'est-ce que tu fais là Clarke ?
-Bah je fais l'enfant, je boude.
-Je pris la clé sur le côté et ouvris la porte. J'entrais et l'attrapais par derrière elle me repoussa et je me mis sur elle pour la chatouiller. Tout à coup la sonnette retentit.
-Fais chier, marmonais-je.
J'ouvris la porte c'était une fille que je n'avais jamais vu.
-Bonjour.
-Bonjour, vous êtes ?
-Clarke est là ?
-Peut-être mais je peux savoir qui vous êtes ?
-Et bien, je suis son amie. Meilleure amie.
-Je pense qu'elle me l'aurait dit si elle avait une amie.
-Où est Clarke ?
-Je ne te le dirais pas.
-Très bien.
Elle craqua ses doigts et me colla un coup de poing je tombais à cause de sa force impressionante. Elle criait
-Clarke ! Ma petite Clarke c'est Séléna !
J'étais légèrement sonnée mais je réussi à me lever. J'arrivais derrière Séléna mais je n'eus le temps de rien faire qu'elle sortit une arme. Je levais les bras et reculais.
-Tu bouges, tu meurs. C'est aussi simple que ça.
Elle s'approchais dangereusement de la chambre où Clarke était. Elle défonca la porte et ressortit en trainant ma Clarke par les cheveux.
-Lache là !
-Oh, le maître protège sa chienne c'est mignon.
-Prends moi à sa place.
-Je veux tuer Clarke donc tu me sers à rien.
Elle posa le canon sur la tête de Clarke. Elle se tourna vers moi et souris.
-Fais pas ça Séléna ! Dit Clarke.
-Quoi ? JE VEUX TE VOIR MOURIR TU COMPRENDS !
-Je ne mérite pas de mourir si facilemment. Tu crois pas que je mérite de souffrir ?
-Tu as raison.
Elle l'assoma avec la crosse du revolver. Clarke s'écroula. Séléna s'approcha de moi et me pointa avec l'arme.
-Tu es qui toi au juste ?
-Personne.
-Tu serais pas sa meuf, la madame parfaite.
-Pas du tout.
-Ouais. Les rumeurs vont vite au lycée tu sais. Je veux qu'elle soit complètement anéantie.
-Pourquoi ?
-Pour venger ma soeur.
Je vis Clarke se relever doucement, brusquement elle sauta sur le dos de Séléna.
Un coup de feu retentit.
Clarke et Séléna tombèrent au sol.
Un autre coup de feu rententit.
Du sang s'écoulait par terre. Je m'approchais:
-Clarke ! Clarke !
Elle se releva les mains pleines de sang et dans la gauche il y avait l'arme. Séléna ne bougeait plus et avait un trou dans le torax.
-Qu'est-ce qu'il vient de se passer ? Je l'ai tué.
-Je crois Clarke.
Elle lacha l'arme et vint dans mes bras. Elle se mit à pleurer. J'appelais la police.
-Police secours j'écoute.
-Bonjour
-Bonjour madame que puis-je faire pour vous.
-Je crois que ma petite amie a tuer quelqu'un.
Elle me demanda mon adresse et ils débarquèrent rapidemement. Nous fûmes emmenées au commissariat. Ils nous accusaient de meurtre.
Non c'est pas possible. Tout allait si bien.