averse

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et moi depuis j'étais là à guetter la fenêtre,
accompagnée des gouttes de pluie contre la vitre.
je me répétais qu'un jour tu reviendrais peut être.

et comme l'averse, y avait des larmes sur mes joues,
du tonnerre au fragile de mon être,
des éclairs dans mon coeur,
et de la buée à mes yeux.

tu déclenchais des doux orages dans mon esprit.
t'étais même la tempête de ma triste vie.

sombrerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant