Chapitre 17 : Affaire classé

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PDV Miako:

Depuis plus de deux semaines, je subis différents harcèlement par ses pestes de bourgeoise car je refuse de détruire mon amitié avec le rouquin.

Les coups, les chutes et les insultes sont venus monnaie courante et me font presque plus rien ressentir, seul les marques sont visible. Ce qui m'oblige à porter des vêtements assez longs pour camoufler mon corps meurtrie, l'avantage c'est que l'hiver arrive et me permet de ne pas me justifier sur mes choix vestimentaire.

PDV Kaito :

Je m'inquiète pour mon amie depuis ce soir où elle se tenait le ventre, de plus en plus je vois son sourire s'effacer et son corps se couvrir de longs habits pour masquer la douleur et la peine de l'énigme.

J'ai bien sûr essayer à de nombreuses reprises d'avoir le fin mots de l'histoire mais avec Miako c'est impossible car elle ait une telle tête de mule.

...

PDV Miako :

Cette nuit comme toutes les autres, ces trois garces s'en prennent à moi en pensant m'effrayer dans le but de détruire mon amitié avec leur prince. Pour ça elle me rouent de coups soutenue et régulier pour m'affaiblir.

?: On t'avait dit de ne plu traîner dans l'entourage de prince !, d'une voix hautaine
??: Tu mérites ce qui t'arrive., sur le même petit ton agaçant

Je reçu d'autres coups un peu partout sur le corps avant que mes persécutrices arrête grâce à l'action d'un personne inconnue.

PDV Kaito :

N'arrivant pas à savoir les raisons du silence de Miako, je décide alors de la suivre à la sortie de cours ce qui me permettra de comprendre le problème de mon amie ou de prouver ses paroles comme quoi il ne se passe rien.

Avec mon groupe, on partit de notre dernière salle pour se diriger vers nos casiers dans les couloirs au rez-de-chaussée. Après avoir pris mes affaires scolaire, je me retourne vers mes potes et pris le parole.

Moi : Aller à demain !, en m'éloignant du trio en faisant un signe de la main
Le trio : OK à plus !

Je marche jusqu'à la cage d'escalier pas loin de nos casiers ce qui me permet de rester à distance de la brunette. Les garçons partirent à leurs tours alors qu'elle resta seul devant son casier. Un moment Miako se fit renverser au sol par trois filles qui ne m'aie pas inconnue. Ce trio commença à la frapper d'une telle force que la brunette cracha du sang et son corps se recouvre de plais ensanglantées.

Peu de temps après les harceleurs prirent la parole et là je compris la situation et pourquoi ne pas me avoir parler. Je sortit de ma cachette.

Moi : Desirée, Nancy et Sonny !, sur un ton dégoutter
Sonny : Prince Kaito !, surprise
Desirée et Nancy : Euh ...
Moi : Vous ne vous appendez pas à se que je sois dans les parages, non, je me trempe. Alors vous allez arrêtée définitivement toutes actions qui nuirez physiquement, ou psychologiquement à Miako, mon amie, ou à tous autres personnes de mon entourage.
Les filles : Euh ...
Moi : Compris
Les filles : Oui ...

Elles partirent de façon très morne, mais cela m'importe pu, je me mis sur mes genoux et proposa mes mains pour l'aider à là relever

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Elles partirent de façon très morne, mais cela m'importe pu, je me mis sur mes genoux et proposa mes mains pour l'aider à là relever.

Miako : Euh ...
Moi: Tu pourrais commencer par un merci et désolé de ne pas te l'avoir dit !, sur un ton faussement vantard
Miako : Ah ah ah ! Espèce de clown mais merci !
Moi : De rien ! Il faudrait peut-être aller à l'infirmerie !?
Miako : Pourquoi pas.

Une fois à l'infirmerie, on rentra mais il y avait personne donc on s'installa dans le coin attente pendant environ une bonne vingtaine de minutes.

Moi : Bon viens je vais te soigner !
Miako : M-mais !!!

Sauf je ne lui es pas laisser poser un seul mot d'opposition, là pris par le poignet et l'installer sur la table d'examen. Je partie chercher les matériels pour nettoyer les plais car depuis le temps elles doivent s'être refermer.

...

Moi : Voilà ! C'est fini.
Miako : Merci beaucoup pour tous. Je ne sais pas comment te remercier.
Moi : Est-ce que ça te dirai d'aller te balader en ville ?
Miako : Et tes parents ?
Moi : Je les ai prévenus que je rentrerais tard ce soir.
Miako : Alors je veux bien.

...

Nous sommes en ville et nous marchons dans le silence, nous pouvons entendre le bruits de nos semelles de chaussures jusqu'au moment où la brunette pris la parole.

Miako : J'ai un truc à te demander

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Miako : J'ai un truc à te demander ...
Moi : Euh ... en faite moi aussi, commence.
Miako : Non non commence .

Un blanc s'installa entre nous deux assez longtemps pour que le malaise soit palpable.

Miako et Moi : Veux-tu sortir avec moi ??
Miako : Euh O-oui !
Moi : O-oui !, en hochant la tête de haut en bas comme un imbécile.

Je n'en reviens toujours pas que j'ai oser lui demander de sortir avec moi et qu'elle est accepter.

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Un couple de plus dans cette fanfiction. 💕💕💕

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Diabolik Lovers : un futur incertainWhere stories live. Discover now