Larme du coeur

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« Mais c'est ... »
Le silence tombe. Mon frère dévisage le nouveau venu avec Willy, surpris. Oscar quant à lui, sourit en coin, fière.
- Bienvenu Robert ! Lance joyeusement (?) Jean.
Willy reluque d'un air mauvais mon ami.
- Oscar, je veux sortir, annonçais-Je malade.
Des hauts le cœurs me prennent et à chaque respiration, je manque de vomir. Même Robert a rejoins cette bande de crétin ! Je n'attends sa permission que je précipite dehors. L'air fraie m'embaume. Je suis appuyée contre le mur en pierre du Lion d'Or. Je patiente tranquillement penchée en avant, mon bras entoure ma taille. J'ai mal. La porte du bâtiment s'ouvre.
- Ça va ? Demande doucement Thomas, inquiet.
- Laisse moi ! Sifflais-Je. J'irais mieux lorsque tu me rendra ma liberté à moi et Barnabé.
Il soupire.
- Tu sais bien que ce n'est pas possible.
Puis il rentre. S'en ai trop. Trop pour moi. Trop pour mes nerfs. Je pleure. Je pleure toute les larmes de mon corps en me laissant glisser le long du mur. Je reste comme ça une bonne dizaine de minutes.

PDV Oscar
Elle en met du temps ! Je me rends compte que Philibert est attablé avec son jumeau. Ils ne montent pas la garde eux ?! Je sors. Ophélie est toujours là, assise par terre et comme la dernière fois, pleure. Cette fois, elle me remarque aussitôt. Sans un mot, elle se remet rapidement sur ses jambes et pars en courant dans un espoir de fuite. Je pars à sa poursuite. On débouche dans une rue qui mène à un cul de sac. Elle se tasse dans un coin et me lance des éclaires.
- Ne t'approche pas! Hurle t-elle.
En même temps qu'elle cris, des larmes glisses le long de ses joues rosies. Est ce qu'elle s'en rend compte au moins ? Elle est vraiment étrange. Comme la dernière fois, je me sens de nouveau gêné. « Pourquoi est ce que je n'arrive plus n'y a bougé, n'y a parlé ? ». J'aimerais tellement me moqué d'elle mais je n'y arrive pas.
- Je serais toujours plus forte que toi, renifle t-elle soudain. Tu pourra me giflé...
Ce souvenir me procure d'étonnement frisson.
-... me détruire de l'intérieur ou monté les autres contre moi, ça ne changera rien.
Puis elle se remet à pleurniché. Je me contente de l'observé silencieusement. Même dans cette état, elle parviens à me tenir tête et à conservée sa fierté. Chapeau. Je devrais allez chercher Thomas ou Willy, eux seraient quoi faire. Je tourne les talons.
- Attends.
Je me stop net, mais ne lui fait pas face.
- Soit tu m'aide à rentrée, soit tu me laisse partir.
- Attend, tu me demande de l'aide ? me forçais-Je à ricané.
- Ne rêve pas... je dirais plusse que c'est du chantage...
Pour la première fois depuis que je la connais, elle ne sait pas quoi répliqué ! C'est moi qui ai le dernier mot ?! Le seul détail qui me gêne quelques peu est que je gagne par « tricherie » parce que Thomas a réussi à brisé quelques choses au fond elle, comme Willy le voulait. Pour me demandée ça, elle doit vraiment allez mal... Si je l'aide, personne ne doit me voir ! Sa entacherais ma réputation de brute et de cœur de pierre. Je m'approche d'elle et passe un bras sous ses aisselles.
- Ça reste entre nous Stettner, dit elle.
- C'est sure, répliquais-Je. Je ne tirais aucun mérite à raconté cette épisode.
Je lui sert d'appuie pour qu'elle puisse marché. Je crois entendre un petit « merci » de sa part. C'est étrange d'aider quelqu'un.
- Attend Oscar, il faut que je reprenne mon souffle.
- Tes déjà fatiguée ?
- Non, mais je ne me sens pas bien.
- On est pas près d'arrivé...
- Si monsieur n'est pas content, c'est la même.
- Hé ! Tu baisse d'un ton ou je te laisse là !

PDV Ophélie
C'est tellement humiliant que la personne que je déteste le plusse me voie une deuxième fois pleurée. Pourtant, le plus étrange est qu'il se comporte gentiment avec moi. Il garde son sale caractère, mais pour une fois, il est aimable !
- Tais toi ! M'agaçais-Je. Tu n'as qu'à me porté si c'est trop long, lançais-Je d'un ton acerbe.
Je ne disais pas ça sérieusement, mais il faut croire qu'il a prit ça comme un défi. Soudain, sans prévenir, il m'attrape et me porte... comme un sac à patate !? Je le frappe de mes poings dans son dos et mets des coups de pied à l'aveuglette.
- Repose moi ! Tu me donne encore plusse mal au cœur ! Si je vomis, tu prend tout, le menaçais-je.
Au lieu de me reposé, il glisse un de ses bras sous mes genoux et l'autre dans mon dos. Il me porte comme une princesse mais savoir que c'est lui me dégoûte ! En même temps, c'est assez sympa de me transportée. Il est plutôt fort pour réussir à me soulevée. A cette pensée, je m'offre une claque mentale.

Timpelbach: Le triangle des amoursWhere stories live. Discover now