Protegée malgré moi

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« Même si ces dernier temps, il est moins efficace en sa présence »

PDV Oscar
Je remarque les jambes d'Ophélie se mettre à tremblé, comme-ci ces dernières devenait du coton et que son poids était trop lourd à porté. Willy a gagné ? La voir perdre est rare, même si c'est un peu plus fréquent ces derniers temps. On est à égalité, non ? Tout à coup, elle retombe à genoux prêt de son frère. Je m'avance d'un pas par pur réflexe, comme pour la rattraper. Me retenant, Jean pose sa main sur mon épaule avec satisfaction. Je contemple mon meilleur ami, visiblement fier de sa cruauté. Être cruel, c'est notre domaine, mais pourtant... Je ne sais pas, la famille est quand même un sujet assez... Non, elle l'a bien mérité ! Comme je l'ai dit : On ne me laisse pas sans impunité. Cette règle s'applique à tous.
- On à prit du retard, annonce Willy.
- On s'occupera d'elle plus tard, renchérit Erna.
À présent, Ophélie c'est mise à pleuré silencieusement, ses larmes brillant au clair de lune. Elle a prit son frère toujours inconscient dans ses bras en murmurant de faible « pardon » à la limite de l'incompréhensible. Jamais elle ne c'était dévoilée ainsi. Elle paraît tellement faible et vulnérable... « Concentre toi, c'est une traîtresse ! » Une légère pression appuie sur mon estomac et ma gorge ce noue, c'est étrange. On passe à côté d'elle et je me fait violence pour ne pas me retourné et l'observer.

PDV Willy
Alors que l'on passe à côté d'elle, je me stoppe et là regarde, obligé d'incliné la tête pour la contemplé. Elle est dévasté. Ça lui apprendre à me faire ressentir des choses, à abîmé la protection protégeant mon cœur ! Je la toise durement et reprend mon chemin.

PDV Ophélie
J'ai tellement mal, j'ai l'impression que tout explose en moi. Comme-ci ce masque de froideur et de force que je m'étais forgée tombait, l'exposant au grand jour. Comment resté de marbre face à cette insinuation ?
- Pardon maman, pardon papa, je n'ai pas su être forte... je pleurniche tout bas.
Mes larmes s'écrasent pitoyablement sur les joues de mon grand frère. Je ne veux pas que Barnabé me voie dans cette état.
- Va retrouvé Marianne !
Il agite rapidement les mains et je traduis :     « Mais Ophélie, je ne veux pas te laissée. »
- Fait ce que je te dis !
Apeuré, il secoue la tête et s'enfuie en courant. Doucement, je continu de bercé Thomas. Je ne parviens pas à oublier l'horreur qu'il m'a fait subir, pourtant, j'aimerais qu'il ouvre les yeux et me réconforte. En cette instant, j'ai plus que tout besoin de lui.

PDV Oscar
On est presque arrivé à la boucherie, parfait.
Mon esprit divague légèrement, me faisant sortir le plan de la tête. Encore à cause de cette fichu fratrie Wank ! Je suis sors qu'elle m'a ensorcelé ! Je soupire d'agacement. Je m'arrête et les autres derrières moi manque de me percuté.
- Qui à t-il Oscar ? S'inquiète Erna.
- Je... j'ai oublié mon canif prêt du Lion d'Or, je reviens. Willy, tu prend le commandement des opérations. De toute façon, tout le monde sait ce qu'il a à faire ?
Sans le leur laissé le temps de répondre, je leur lance un regard autoritaire et réplique :
- Géniale alors.
Comme ci ils avaient leurs mots à dire ! La bonne blague.

PDV Willy
Il est vraiment bizarre. Oscar n'a même pas prit son couteau pour cette mission et puis, il n'en a même pas besoin pour le plan. Hélas, je suis bloqué ici. En rentrant, il me devra des explications. Il me faudra être subtile car il lui faut pensé qu'il a le contrôle sur moi, comme avec les autres.

PDV Ophélie
Je ne suis pas parvenue à bougé depuis ces dix dernières minutes. Mes joues sont trempées et mon cœur déchirées. Voilà pourquoi je me force tant à mettre des barrières entre moi et les autres car autrement, je souffre constamment ! Je suis toujours perdante dans tout ce qui est relation humaine. J'espère que Barnabé a bien rejoins les autres sans encombre. L'air glacial de la nuit me paralyse et me fait claqué des dents. Cependant, un craquement sonore tend chacun de mes muscles et je me mets en alerte, position défensive. Je fais volte face et manque d'ouvrir la bouche de stupeur. Pourtant je reste de marbre et parviens à maîtriser ma réaction. D'une voix mauvaise je lâche :
- Qu'est ce que tu me veux Stettner ? M'enfoncer plus bas que Terre c'est ça ?
Il ne répond rien et je continue ma tirade en remarquant qu'il est seul.
- Tiens, tu es venu sans t'as bande de chien chien. Étonnent que tu ne vienne pas accompagné d'une escorte.
Il s'avance lentement et ne pipe mot. Comment a t-il put s'en prendre à Thomas !? Lui qui plus est... Enfin, je veux dire, je l'ai crue différent. Aurais-je inventée tout ces bons côtés ? Je ne crois pas. Pourtant, en cette instant, je doute. Je doute de lui, de ses moments, de tout.

PDV Oscar
Depuis tout à l'heure, Ophélie n'a pas bougée. Son état ne semble guère mieux que lorsque nous l'avions laissé... Elle se met à s'énerver après moi et le fait que je ne réponde pas accentue sa colère. Pourquoi suis-je venu après tout ? Mon règne est en danger à cause de Marianne et je n'aide même pas mes partisans. Quelques choses m'a obligé à revenir ici. Être sur qu'elle aille bien... oui c'est stupide, mais c'était une envie incontrôlable. De toute façon, depuis que je la connais, plus rien n'a de sens. « Non, je me fais des idées ! ». Cette fois, Willy a été loin. A la place d'Ophélie, si l'on avait parlé de ma mère décédé, j'aurais tuer cette personne. Elle se lève et me regarde droit dans les yeux. J'ai l'incompréhensible et horrible sensation que quelques choses à changé. Cette fois, je ne parviens n'y a me moqué, n'y a sourire de manière mauvaise. Je me contente de resté dans une neutralité cassis totale.
- Il c'est réveillé ? Je questionne en pointant Thomas du menton.
- À ton avis ! S'énerve t'elle. Ça t'aurais plus que l'on frappe ta sœur de cette manière !? Vous avez été beaucoup trop loin cette fois-ci. Je te déteste !
Je grimace et serre les poings. Impossible, je ne parviens pas à resté calme.
- Et toi alors ? On en parle peut être ! Tu n'est pas parfaite non plus !
- Peut être, mais je ne blesse personne moi !
Si elle savait... « Reprend toi, elle ne vaut pas mieux que Marianne. Qui elle est pour te parlé de la sorte ? » me murmure une voix.
- Qu'est ce qu'en t'en sais !
- Oui mais si c'est le cas, ce n'était pas volontaire ! Je ne vois pas l'interêt d'être cruelle ou violente avec quelqu'un !

PDV Ophélie
J'ai puisée tout le calme dont je disposais. Qu'à t-il insinué ? Que je faisais du mal au gens ?! Il ment.
- Arrête un peu de te croire supérieure au autres ! Hurle t-il.
- Vous n'aviez pas le droit de parler de mes parents. Moi au moins, j'ai eu le tact de ne jamais évoquée t'as mère !
- Ne parle pas d'elle ! Je te l'interdis !
- Tu comprend maintenant, la douleur que j'ai ressentie ?!
Il paraît recouvré un semblant de lucidité, comme ci il se souvenait de pourquoi il était là. L'hésitation est lisible sur son visage.
- Ne t'approche pas de la boucherie, on ne sait jamais...

Sur ces paroles énigmatiques, il repart mystérieusement

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Sur ces paroles énigmatiques, il repart mystérieusement. Était ce une manière indélicate de me mettre en garde ou bien une menace ?

PDV Oscar
Je n'ai pas su lui dire ce que je voulais. Ça pourrait tourner au carnage et je préfère qu'elle ne vienne pas, elle pourrait être blessé.

Timpelbach: Le triangle des amoursWo Geschichten leben. Entdecke jetzt