Chapitre 14

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Une fois près je me rends dans l’appartement de Mehdi. Mon petit frère est élégamment habillé d'un jabador du Maroc fait en satin noir brillant et brodé devant par un fil doré. Une luxueuse monture de lunette de soleil décore son visage carré.  Contrairement à moi,  il n'a pas  un keffieh sur la tête, ses cheveux mi- long couleur ocre battent le vent. Ensemble nous quittons l’appartement et rejoignons Emna dans l’appartement de notre père.  Elle est simplement habillé d'une  longue robe noire, ses longs cheveux châtains son entouré sous forme d'une boule au centre de sa tête,  et ses yeux sont protégés par une lunette au contour en or jaune. Même les lacés de ses sneakers beiges sont faits en or, vraiment, Emna comment par surpassée Mehdi.

-petite,  dit Mehdi en s’adressant à Emna.

Ces deux-là s'aiment beaucoup,  ils ont toujours quelques choses a s’envié. J’attends voir la réaction d’Emna lorsqu’elle verra le yacht de Mehdi. Elle qui aime les choses luxueuses, elle en sera stupéfaite.

Cette dernière enlace Mehdi par le poignet en ensemble nous sortons de l’appartement, direction, le quartier Marina pour la demeure de monsieur Mohamed. Une fois en chemin, Mehdi et Emna ne font que se taquinés. D’une conversation à une autre en passant pas les choses les plus chères aux mondes aux villes les plus chères, Mehdi et Emna ne se lassent pas l’un de l’autre. Etant au volant je suis entièrement concentré sur le trajet, mais toute fois mon esprit s’égare de temps à autre sur Maya, je me demande comment se porte-t-elle là-bas et aussi, ce qu’elle enduire. Je ferai l’impossible pour la sortir de là, et puisqu’elle est à présent orpheline et qu’elle soit ma femme ou pas, elle a présents ma responsabilité.
Nous voilà arriver dans le somptueux quartier de Marina, la magnifique villa de monsieur Mohamed se démarque de tous les autres grâce à sa splendeur, elle est peinte en  noire et est parsemée de la couleur argentée par endroit. Une fois à l’intérieur de la maison, Anisha et son petit frère Youssef nous rejoignent dans la voiture, et prennent place aux côtés d’Emna. Suivit par une autre voiture 4x4, nous partons aussitôt pour le safari dans le désert de Liwa à Abu Dhabi. Sur le chemin, un silence de cimetière planne dans le véhicule, même Mehdi et Emna, ces deux  grands bavards n’ont plus rien à dire à présent. Anisha se contente d’observer le paysage qui s’offre à nous à travers les vitres de la voiture. Quant à Mehdi, il a regard plongé dans son téléphone portable.

Emna est totalement plongé dans un bouquin qu’elle tient entre ses mains, et Youssef, quant à lui est sûrement perdu dans ses pensé, puisqu’il a les yeux plongés dans le vide. De mon siège et à l’aide du miroir de courtoisie situé à l’intérieur du pare-soleil, j’ai la capacité d’observé chacun d’eux. A peine avons-nous quitté la ville de Dubaï que nous sommes déjà dans un désert plat et sablonneux.

-nous y sommes, dit Emna en criant de joie tout en tapant des mains.

Le désert de Liwa fait partit du Red al Khali, qui est un immense désert de sable presque inhabité. Bien qu’Emna soit déjà venu ici une fois, elle est néanmoins encore captivée par la beauté de cet endroit. De plus, ce n’est pas qu’elle seule, même Mehdi, Youssef ainsi qu’Anisha apprécient également le paysage. Moi également je l’apprécie mais hélas je n’ai pas l’esprit assez ouvert aujourd’hui pour en profiter. De là où nous sommes à présent, nous apercevons les dunes aux reflets dorés ou même rouge.

-appréciez-vous cela ? demande Mehdi à Anisha et à son petit frère.

Anisha se contente de sourire à Mehdi pour manifester sa joie sans pour autant détourner le regard de ce beau paysage. Une fois plus proche des dunes, nous observons des étincelles émanés de leur couleur ocre.

-vas plus vite Khamal, me cris Mehdi, me demandant ainsi de frappé les dunes. C’est une activité très amusante qui se faire lors des safaris.

-oui, fait le je t’en prie, renchéri Youssef tout gaiment.

Emna et Anisha acquissent toutes les deux en bougeant la tête.  Ils ont tous de large sourire sur leurs lèvres et leurs visages à tous, sont illuminés. Je fais alors ce qu’ils attendent tous, je mets la vitesse maximal et je les faits vivres cet instants magique.
Anisha et Emna se cognent la tête et quant à Youssef, il s’est fortement agrippé a son siège.

-maintenant nous devons monter sur les chameaux, affirme Youssef comme cela était une obligation.

Etant donné que se sont eux qui ont organisé notre safari, sûrement  qu’ils ont tout prévus, y compris la balade sur le dos des chameaux. Je ne participerai pas à cette activité avec eux, j’ai assez fait semblant pour aujourd’hui, il me faire vraiment penser à un plan pour ramener Maya. De plus, si je n’ai pas décliné l’invitation à ce safari, tout comme père et l’oncle Saïd l’ont fait, c’est à cause de la pression que me mettais Mehdi. Un moment après, des hommes nous rejoignent à chameaux. Emna et Youssef son exceptionnellement très exciter de monter sur ces chameaux. Adossé à ma voiture, j’observe Mehdi discuté avec ces hommes de loin. Le foulard vert du caftan d’Anisha danse dans le vent, et ses cheveux teintés prennent la même direction que celle du foulard en imitant sa dance. Emna quand elle a croisé ses bras et seulement quelques-uns de ces mèches de cheveux rebelles qui ont pu s’échapper du chignon flottent dans l’air. Mehdi se détache du groupe et me rejoint.

-on trouvera un moyen de ramené Maya, je te promets, me dit Mehdi en me touchant l’épaule.

Même sans que je n’aie dit mot, Mehdi voyait ma tristesse. Je ne savais pas que mon silence trahissait l’expression que j’essayais de transmettre. Je me croyais plutôt bon joueur. Mais Mehdi n’as pas tort, mon seul désire actuellement est de ramené Maya. Mais pour y arriver il me faut un plan puisque je ne pourrai simplement me rendre en Arabie Saoudite en rentrer avec Maya, son grand-père me laissera surement pas faire. Apres la promesse de Mehdi, je détourne mon regard à gauche là où se trouve a présent l’autre groupe de personne.

-je tiens trop à toi pour laisser mon neveux ou ma nièce porter le nom d’un autre, finit-il par me dit.

Je lui fais un sourire sans détourner mon regard du groupe de personne situé à notre gauche. Je suis stupéfait mais cela n’est pas du a la phrase de Mehdi mais plutôt au comportement d’Anisha. Depuis que Mehdi s’est détaché du groupe pour me rejoindre, elle ne cessé de l’espionner. Elle lance de temps en temps des regards en notre direction et le détourne aussitôt que Mehdi tourne la tête en sa direction a elle. A peine cinq minutes que Mehdi est avec moi et elle l’a déjà dévoré du regard plus de huit fois. C’est amusant, on aurait dire moi qui ai passé deux semaines a espionné Maya sans jamais l'aborder.

Le fils de l'émir Where stories live. Discover now