Chapitre 6

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Je pense que j'avais atteint le point de non retour dans ma folie. J'étais seul, perdu en robe courte et tout ce que je trouvais à faire c'était d'appeler quelqu'un qui m'avais agresser pour qu'il me retrouve. Je devrais peut-être consulter quelqu'un pour qu'il me fasse interner. Au moins, je ne causerais plus de problème.

- Non, tu ne manque pas, crétin.

- D'accord, si ça t'arrange de nier l'évidence ... Arg, j'en ai déjà marre

- Ok c'est bon, je me passerais de ton aide, adieu.

Il l'avais chercher. J'étais sur le point de racrocher quand il s'excalma :

- Non, c'est bon, qu'est ce que je peux faire pour toi bébé, tu veux que je t'aide à oublier ? Je n'avais pas besoin de le voire pour savoir qu'il avait dis cela avec un grand sourire aux lèvres. Quel imbécile.

- Pfff... Ok, si je te dis ce qui ne vas pas, tu me promet que tu ne vas pas te moquer de moi et que tu ne me fera rien sans que je sois entièrement d'accord ? Mieux valais fixer les règles tout de suite.

- Je te promet de ne pas me moquer et de ne pas... c'est quoi le deuxième point déjà ? Très spirituel

- Bon, en rentrant de la soirée d'une amie, je me suis perdue et je n'arrive pas à retrouver mon chemin. Toi tu connais peut-être le coin. Ça y est, c'est dis.

J'entendis des bruits étrange, comme si il se déplaçait. Il ne me répondais pas et je commençais à me dire qu'il m'avais complètement oublier. Il avais visiblement ouvert puis refermé une porte et il y eu des bruits de voitures. Je compris qu'il venais de sortir.

- Ok, décris moi là ou tu te trouve, que je ramène ma princesse chez elle.

- heu... Ok, merci beaucoup. Mais je suis pas TA princesse. Je ne suis pas une princesse du tout même. J'ai une répartie de malade moi. 

- Ok bébé, je soupirais. Vas y, tu as un nom de rue ou un truc comme ça ? C'est qu'il s'inquiétait vraiment pour moi en plus. Il semblais sincèrement inquiet de me retrouver. Je ne comprendrais jamais les hommes.

- Je sais pas pour la rue, il y a rien d'écrit nul part. Il y a juste des immeubles. Je suis dans une petite allé, devant un parc. Il y a une autre allé sur ma gauche.

- Si tu vas dans l'autre allé, est ce qu'il y a un endroit ou il a écrit "viens" sur un mur.C'est énorme, tu peut pas le louper. Sa respiration était légèrement saccadé sous l'effort. J'avais l'impression qu'il marchais vite.

Je fis ce qu'il me disais et je tombais rapidement sur le tag dont il m'avais parler. Le mot "viens" était écrit en énorme au dessus d'une flèche montrant l'autre bout de l'allée. Il n'y avais aucune lumière et je me demandais qui aurais pus y aller. Je mis un moment pour me rendre compte que tremblais de froid et de peur. Ce n'était pas le moment de paniquer.

Rhys est en chemin, il ne vas pars tarder, n'ai pas peur.

Rhys est en chemin, il ne vas pars tarder, n'ai pas peur.

Rhys est en chemin, il ne vas pars tarder, n'ai pas peur.

Je me répétait cette phrase en boucle, incapable de bouger. Je ne savais pas si cela devais vraiment être rassurant mais cela me permis de ne pas m'effondrer. Dans le téléphone, j'entendais de loin Rhys qui me parlais. Il fallait que je lui réponde, que je lui dise que j'avais trouvé le dessin mais je n'y parvenais pas. Des larmes ( encore ! ) coulais le long de mes joues et le contacte de l'eau sur ma peau froide me fis frissonner. Je devais me ressaisir, penser à des choses agréables comme à une lampe. Une jolie lampe rouge foncé. Avec une ampoule brillante et chaude. Je pris une profonde inspiration et je pus enfin répondre à Rhys qui hurlais maintenant dans le téléphone. De ce que je pouvais entendre, il courrais.

Trouve moiWhere stories live. Discover now