Partie 35

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PDV Lianca

j'étais dans mon lit c'était un samedi à 15h. Je sais pas j'avais cette envie de trainer dans mon lit. je m'égarais sur twitter quand j'ai reçu un sms de Karim me demandant ce que je faisais quand je lui répondu il me trouva pathétique et me demanda de me préparer car nous allions sortir. je penses que c'était une bête sorti car il me demanda d'éviter tout chi-chi dans ma tenu. Je mis un legging noir, un pull à capuche noir et de grosses timberland noir sans oublier mon sac et ma veste en cuir. 

Il arriva trente minute plus tard. j'étais dans sa voiture il avait mit la musique à fond. il voulait me faire sourire donc il me faisait des blagues mais je n'étais pas forcement d'humeur. il y a des jours où l'on se reveille du pied gauche où l'on juste envie d'avoir le cafard et bien voilà ce jour était arrivé, je pense qu'il était à court de ressource alors il enclencha sa dernière carte.

"Through drought and famine, natural disasters

My baby has been around for me
Kingdoms have fallen, angels be calling
None of that could ever make me leave
Every time I look into your eyes I see it
You're all I need
Every time I get a bit inside I feel it
Ooh, who could've thought I'd get you
Ooh, who would've thought I'd get you "


Il jeta ensuite un regard vers moi qui était totalement conquise. je me mis à chanter puis à la fin de la chanson il me dit :

-je te préfère comme ça b dit-il en souriant

moi: moi aussi 

lui : tu sais quand t'as le cafard tu devrais m'appeler à la place de te renfermer sur toi même. c'est plus agréable comme ça non ? 

moi: oui oui

Il soupira puis me caressa la tête. aujourd'hui était un jour spécial. en effet, il y avait de là 4 ans, j'avais enfin avoué à mes parents que je subissais des abus sexuelles étant petite. depuis cette date m'est restée en tête et c'est donc une journée que je n'oublierai jamais car elle m'a sorti de l'enfer du silence éternel et que j'étais "libre" à nouveau. je me sentais libéré d'un poids.

lui: tu sais je te forcerais pas à me dire tout de suite ce qui te met dans cette état mais si un jour t'as besoin de deux oreilles dans lesquelles brailler ben elles seront à ta disposition.

je souris et me reconcentrai sur la route. nous arrivâmes à un endroit bourré de verdure. un terrain de rugby, avec pleins d'enfant de toutes ages.  ils étaient ultra dissipés. pendant que je regardais ce spectale , Karim arriva suivi de deux hommes et une femme. je l'interrogea du regard et il me répondit directement:

-je te présente mes grands frères Nahil et Ryan et ma grande soeur Neïla.

ils me dirent en coeur qu'ils étaient enchantés de me connaitre. 

Neïla : donc c'est toi "Li" ? Il fait que nous parler de toi celui là

Karim : Mais n'importe quoi toi 

Nahil lui assena une petite tape sur la tête et lui dit :

-Tu "n'importe quoi" qui toi ? 

Neïla tcheka Nahil en lui disant merci et qu'elle n'aurait pas mieux fait, pendant ce temps je pouffais de rire. c'était beau avoir. c'était le plus petit et ils s'acharnaient sur lui, sauf Ryan il était à l'écart entrain de les regarder, puis il se rapprocha de moi pour me souffler :

-On ne t'aurait pas mieux imaginé tu sais. Il nous parle souvent de toi. Karim de base c'est un grand charognard. De plus s'il t'a ramené ici cet Hmar c'est qu'il a de l'estime pour toi. 

Quand le destin s'en mêle Donde viven las historias. Descúbrelo ahora