CHAPITRE 27 : UN POÈME POUR UNE LECTURE.

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Les nouvelles chambres que joignirent les sélèctionnés de la maison du talent, n'étaient pas semblable aux précédentes.

Il s'agissait, comme l'avait bien stipulé Mimos Relios, de la dernière ligne droite. Et cette fois, chacun avait vraiment la chambre qui épousait son talent.

La chambre de Inkiff était riche en couleur et en idées.
En la pénétrant, il ne pouvait césser de penser à la vie de ses camarades. Nathaly Sally par exemple. Elle avait intimé au groupe qu'elle était sur le point de devenir célèbre grace à son talent de chanteuse. Au lieu de ça, la maison du talent intervenait en sa défaveur.

Cependant, Inkiff mit une pause à ses pensées bienveillantes à l'endroit de ses camarades, car sa chambre était digne d'une attention particulière.

Elle était spacieuse et son atmosphère était très agréable. Il avait l'impréssion que l'oxygène avait amélioré sa qualité ici. Le sol de la chambre était parsemé d'une vitre blanche et très propre. De nombreux livres parcouraient le trois quart des murs de la pièce, sur des étagères hautes jusqu'au plafond. Ces étagères là, étaient constitués de glacons. Oui, les supports des livres étaient formés d'eau à l'état solide; mais il ne faisait pas froid du tout.

Les livres dans les étagères n'avaient que deux couleurs, en l'occurrence : Le blanc et le noir.
Inkiff leva ses yeux vers l'object qui répandait de la lumière sur le plafond, et il observa, un grand livre ouvert, fait de cristal ( Il ne s'agissait pas d'un véritable livre, mais d'un object d'art le représentant).

Au milieu de sa vaste chambre, une table circulaire blanche y était placée, bordée par une chaise de la même couleur. Sur la table, étaient posés, un stylo blanc en forme de serpent ( similaire à celui qu'il possédait à Rive-rivé) et un épais carnet blanc.

En outre, sur contre mur qui n'était pas couvert d'étagères remplies de livres, se tenait un lit. Un lit semblable à un long coffre. Il était rectangulaire, et fait sous mesure par rapport à Inkiff. Au dessus du lit, était placardé contre le mur, un livre aux dimensions anormals.

Cette fois il s'agissait d'un vrai livre de cent centimètres de longueur et cinquante centimètres de largeur. Le plus étrange était que le livre était impossible à ouvrir, à cause d'un cadena transparent lié à sa grande couverture noir.

Tout était énigmatique dans cette chambre. Mais ce qui dérangeait le plus Inkiff n'était pas visible : Le compte à rebours.

Inkiff observa le carnet et le stylo en forme de serpent sur la table. Il déduit que sa délivrance était liée à son écriture. Il devait d'une manière ou d'une autre écrire pour sortir d'ici. Mais les choses n'allaient probablement pas être facile.

Cependant, une solution qui se cache derrière un risque ne devrait pas être en sécurité,songea t-il en prenant place sur la chaise devant la table circulaire.

Il posa ses coudes sur la table et ses deux mains sous son menton. Si sa chambre était aussi belle et créative, et conforme à son talent, combien le seraient les chambres des autres? Nathaly Sally et sa chanson, Jeanine Sona et sa gestion d'entreprise, Prince Malo et le piano ( Il le jalousa à force de spéculer sur à quel point sa chambre devait être unique et il avait raison). Les jumeaux dont les talents étaient le dessin et la peinture, Clara Fesal et les tatouages, Karl Marl et euh...

Inkiff se demandait bien en quoi était doué Karl Marl et à quoi ressemblait sa chambre. Mais seuls les lecteurs et lectrices auraient un aperçu général et détaillé.

Inkiff se leva de la chaise et parcourut sa chambre du regard. Il n'y avait pas de temps à perdre. Si il fallait aider ses camarades, il fallait d'abord qu'il s'aide lui même. Il marcha jusqu'à son lit très rectangulaire et le monta dans le but de palper le grand livre qui était placardé sur le mur.

La Maison du Talent ( Appauvrir le Monde, Enrichir les Tombes)Where stories live. Discover now