Mexique, États Unis, Japon, Italie,...
Savez vous quels sont leurs points communs?
Ils sont connus pour leur mafia.
Les mafieux sont impitoyables.
Sauf quand ils sont amoureux.
Elle était le soleil, lui la lune...
Comment-était-ce possible qu'il me retrouve où que j'aille !? Je commence à croire que je suis vraiment condamnée à vivre avec lui.
Tout etait pratiquement sombre autour de moi. Les rideaux fermés, mais qui laissait quand meme le soleil entrer, et une forme de vie dans le fauteuil à côté du lit.
De ses yeux gris percants il me sondait comme-ci j'etais une fée.
Je savais enfin son prenom, tres original et qui lui allait parfaitement. Ares. Verre de whisky en main, il se lève et fait les cents pas devant le lit.
Son rire sonda les tenebres en deux et m'en donna des frissons dans le dos. Il faut avouer que même une lesbienne pourrait tomber sous son charme.
J'aurais préféré qu'il me crit dessus car son silence est pire car je ne peux desceller aucune de ses actions futurs.
Comment était-ce possible d'être aussi calme. Lui seul en savait la reponse. Il est le loup et moi la proie. J'avais commis une betise et j'allais en payer le prix... ce fut une épreuve de ne pas trembler devant lui. Il se penchait sur le lit, juste au dessus de moi, et attaqua ardemment mes lèvres avec les siennes. Si il ne m'avait pas priver du monde, je me serais laisser faire. Je coupa brutalement le baiser et me leva, de sorte a être assise, dos contre la tête de lit. Je m'essuyai la bouche, pour lui montrer mon dégoût, devant son regard sadique.
- Je vois que tu as apprécié mon baiser, Amor.
Il se dirigeait vers la pièce d'à côté et revint avec une robe.
- Enfile là, je t'attends en bas mais ne t'inquiète pas tu es très bien surveillée. Alors ne tentes plus rien...
Il sortit et je commençais à me preparer. Je n'avais jamais vu une robe aussi époustouflante que celle-ci: elle représentait la femme sans pour autant être vulgaire. Le tissu était tellement doux qu'on avait peur de l'abîmer.
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Je lâcha mes cheveux, qui tombèrent en cascade dans mon dos. J'avais du mal à ľavouer mais, malgré moi, je trouvais que cet homme avais très bon goût.
Je me rendis au rez-de-chaussée, comme prévue et me postais devant lui. Il semblait être fier pour son choix et me complimenta. Il prit ma main et nous dirigeai vers l'immense table qui se présentait au milieu de la salle à manger. Une femme, approchant la cinquantaine, y était assise. Elle etait belle, oui très. Sa peau était blanche mais elle lui allait parfaitement, ses cheveux de jais coupés à peu près au buste et enfin ses grands yeux d'un gris envoûtant. Facile à deviner que cette femme était la créatrice de la perfection incarnée, j'ai nommé Ares Casaviecchi.
Elle me regardait de ses yeux pétillants, sourire aux lèvres. Elle s'approchait à grande vitesse vers moi, les bras grands ouverts, et me prit dans ses bras en s'exclamant.
- Ahhh enfin je rencontre ma belle-fille ! Mon dieu, tu n'aurais pas pu trouver mieux elle est perfetta.
Mais pourquoi m'appelait-elle belle-fille bon sang!? Je commençais à paniquer quand elle repris parole.
- Ne t'inquiète pas mon fils! Ton mariage sera prêt en temps et en heure! Tu as bien fais de m'appeler!
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