Et si ils n'étaient pas mort...

Je te l'interdit.

Tobias prit le papier et le lu, je le vi se tendre à chaque mot.
-C'est quoi demande ai-je.
-C'est Évelyne.
-Et...
-Elle veut me voir, cette nuit , à trois heures, à la gare.
-Je viens avec toi.
-Tris, hé sais même pas si j'y vais.
-Tobias...
-Je t' interdit de venir.
-Elle à le droit de savoir qu'on vas êtres parents.
-Je ne veux pas qu'elle le sache, si elle s'en prenez à toi.
-D'accord, je reste ici.
-Merci dit il.
Nous rentrons et je m'allonge sur le canapé, Tobias viens me rejoindre, il regarde dans le vide, il me fait de la peine, je m'asseoi de fassons à se que l'on soit face à face.
-Tu veux en parler.
-Non répond t'il sèchement.
-C'est pas parce que tu est de mauvaise humeur que tu dois me parler comme ça, m'emporte ai-je, foutu hormone.
-Tris...
-C'est bon dis-je en partant dans la chambre. Il vient me rejoindre au bout de quelques minutes.
-Désolé ma puce, c'est juste que...
-C'est bon, ça vas dis-je en l'embrassent.
Nous mangeons simplement, des blanc de poulet et des petit pois, j'attrape la bouteille d'eau et la fit tomber sur Tobias.
-Désolé dis-je à moitié en rigolant et avec un sourire sadique.
-Alors toi, il m'attrape et en moins de temps qu'il le faut, je me retrouve sous l'eau froide de la douche, je me mit à hurler, lui, il explose de rire, il vas le regretter, je l'attire à moi se qui fait que nous sommes tous les deux trempée et mort de rire, au bout de quelques secondes, il m'embrasse, toujours sous l'eau froide, nous nous écartons à bout de souffle.
-Allez viens dit t'il en coupent l'eau, nous nous séchons puis repartons faire la vaisselle, j'ai les cheveux trempée.
-T'as froid? me question Tobias.
-Un peu dis-je en tremblant.
-Attend... il se dirige vers la chambre et revient avec un de ses sweat, faudrait pas que tu attrapes froid.
-Merci dis-je en le mettant.
Nous finissons la vaisselle puis allons nous coucher.
2 heures du matin.
Je sens Tobias se lever, je vais le suivre, une fois qu'il m'a embrassé et qu'il est dans la cuisine je me lève et me prépare, je le jusqu'à la fausse.
-T'as qu'à venir, au point où on en est dit Tobias, je sort de ma cachette et le rejoint, Je t'avais dit de pas venir dit t'il en me prennent dans ses bras.
Nous nous dirigeons au lieu de rendez-vous en silence, Évelyne y est déjà.
-J'ai cru que tu ne viendrai pas dit elle, sa voix est si mesquine.
-Je suis là, que veux tu ?
-Tiens, Tris, t'as grossi, Tobias, tu compter me le dire quand?
-Jamais, et ne m'appelle pas comme ça.
-Je suis ta mère.
-Depuis quand dis-je.
-Tais toi blondinette, ça fait combien de temps?
-Ne lui parle pas comme ça et puis je t' interdit de le voir.
-Pourquoi?
-Je vous l'interdit m'exclamais-je, vous n'approcherez  pas mon enfant.
-Tobias, Tobias , Tobias...
-Il y'a que Tris qui à le droit de m'appeler comme ça.
-Tu mérites bien mieux, chez les sans faction il y a plein de jolis fille, bien plus belle qui rêveraient de fonder une famille avec toi.
-Il est hors de question que je revienne, tu n'est plus ma mère, elle est morte quand tu est parti.
-Je t' interdit de me parler sur se ton.
-Sinon quoi?
Les deux molosse qui l'accompagne sorte deux flingues, je sors le mien et Tobias aussi, j'ai bien fait d'en prendre un.
-On se calme dit Évelyne, Tobias, rejoint nous.
-Non, je l'aime, je ne pourrai pas la laisser.
-Tous sa à cause de toi dit elle en crachant à mes pieds.
-Je t'ai déjà dit de ne pas la touché, s'énerve Tobias en me passent devant pour me protéger.
-Viens, on y vas dis-je en le tirent par la main.
-Vous allez le regretter nous cris t' elle surtout toi Béatrice.
Je frissonne et si elle s'en prenez au bébé? Il faut que je me sorte cette idée de la tête, demain je vais chez les Altruistes, Tobias à besoin de moi.