XXIII

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Mon cours de piano est terminé depuis un petit moment. Je l'ai prévenue que j'avais finis mes cours mais elle n'est toujours pas arrivée.
Des pas ce font retentir dans le couloir puis trois coups se font entendre sur la porte de ma chambre.

- Oui ?

- Adrien, une jeune fille qui prétend être une amie attends dev-

- Merci de me prévenir Nathalie, faite la rentrée, dis-je en ne prenant même pas la peine de l'entendre finir sa phrase.

Natalie alla chercher Marinette qui devait sûrement attendre à l'entrée.

- Adrien ?

Je me retourne est vois ma précieuse amie dans l'encadrement de ma porte.

- Marinette ! Merci encore une fois de ton aide.

Je dépose mes deux mais sur ses épaules pour lui montrer ma gratitude.

- De rien, me répond t-elle en esquissant un délicieux sourire dont je lui réponds de la même façon.

- Plagg, il est temps de retrouver ton maître.

Sur ses mots elle ouvre sa sacoche est prend délicatement le kwami dans ses mains et me le rend.

- Miaou.

J'essaye de contenir un rire. Voir Plagg imiter les manières d'un chat c'est assez hilarant.

- Il est très mignon. Comment là-tu trouvé ?

Comment ? Difficile de lui dire la vérité.

- Euh... A la rentrée ! Oui, voilà à la rentrée. Sur le chemin du retour je l'ai trouvé, j'ai donc décidé de le ramener chez moi. Il avait un aire perdu et totalement affamé.

Plagg émet un grognement pour montrer sa frustration.

- Ton père n'a pas eu de mal à ce que tu es un chat avec la nourriture à fournir plus tout les soins à y apporter.

- Mo-mon père ? Quoi ? Bien-sûr qu'il est d'accord !

Je commence à paniquer et le sourire que me lance Marinette n'est pas plus rassurant.

- Dans ton dernier message, c'était tout le contraire.

Je prends en main mon téléphone et inspecte la conversation.

Adrien:
Ça y est, j'ai enfin terminé mes cours !

Marinette:
Cool ! J'arrive alors.

Adrien:
Oui mais j'ai une chose à te demander.

Marinette:
Qui est ?

Adrien:
Tu peux cacher Plagg ? Je ne voudrais pas que Natalie où mon père le remarque.

Marinette:
Oui. D'accord y'a pas de problème.

Ah oui c'est vrai.

- Oui je... Allergique ! Mon père y est allergies ! C'est pour cela que je t'es demandé ce service.

Je crois que le stress me fait dire n'importe quoi.

- Je vois. Je crois que je vais y aller. A demain ! Et tâche de ne pas t'embrouiller.

Elle dit ces mots en se dirigeant vers la porte mais s'arrête dans l'encadrement.

- Ça pourrais être suspect.

La beauté d'une rose [Réécritures]Where stories live. Discover now