Un amour mouvementé(1)

PARTIE40

PDV DE RACHID
Nous étions en voiture, Amyn conduisait. Sonia devant et Amir Hackim et moi à l'arrière. Je me rends compte que j'ai fait tant de mal à cet enfant qui était innocent et c'est mon propre sang. Je n'arrive pas y croire que je me suis laissé manipuler par une femme.

Hackim: c'est pas ta faute.

Il a dû me remarquer.

Moi: j'ai ma part là dedans, si je ne m'étais pas laissé faire par cette femme tout ça n'arriverait peut-être pas.

Sonia: c'est pas de ta faute si ces psychopathes sont rentrés dans nos vies.

Amir: et puis elle avait déjà réussi à faire amie amie avec Sanaa. Ne te prends pas la tête.

Hackim: ils ont raison.

Maman m'appelle. Je réponds et mets sur HP.
*conversation*
Elle: on est pas arrivé, la distance est vraiment longue. Ils ont du choisir leur endroit.

Moi: okay, pourvu qu'on les trouve sains et saufs.

Elle: t'inquiète.
*fin*

PDV DE SANAA
Jawad: sortez moi de là et je vous promets que je vous donnerai tout ce que j'ai.

Ines: n'es-tu pas un homme? Alors comportes-toi en tant que tel.

Moi: tu n'as pas honte. T'es là à pleurnicher alors qu'il y a ton petit fils qui n'ouvre même pas la bouche.

Jawad: s'il vous plait. J'ai passé plus d'un mois ici.

Moi: raison pour laquelle la police n'a pas réussi à te coffrer.

Jawad: je vous en supplie, je sais que vous pouvez me sortir de là.

Ines: si t'as peur de mourir, pourquoi t'es devenu mafieu? Pourquoi t'as passé tout ton temps à enlever des vies pour un rien? Tu vas mourir ici je t'assures. Personne ne te tuera mais tu finiras par t'etouffer avec ta méchanceté et tout ce qui suit.

Ilhan: maman je veux voir Amir et Rachid.

Moi: Rachid?

Ilhan: oui c'est mon papa et j'ai passé une journée avec lui et Amir. Il m'a demandé pardon et de tout recommencer en tant que père et fils et Amir m'a dit de lui pardonner.

Moi: tu le verras très vite*sourire*

Ines: pour un gosse de 2 ans il parle bien et comprend vite.

Moi: telle mère tel fils.

Ines: qui t'a dit que t'étais comme ça petite?*rire*

Moi: bien-sûr que j'étais comme lui, maman me l'a dit.

Jawad: vous vous rendez compte qu'on est entre la vie et la mort et vous, vous riez.

Ines et moi: ta gueule!

Ines: mais quand on y pense bien il a raison.

Moi: pas faux, on ne sait pas si nous allons vivre ou pas et on s'amuse mais ce dont je suis sûre c'est que je me battrai jusqu'à mon dernier souffle pour vous.

Et là il y a Idiriss qui arrive. Il va vers Ines et remarque que ses mains sont détachées.

Idriss: tant mieux.

Ines: comment?

Idriss: vous êtes libres et nous allons nous rendre à la police une bonne fois pour toutes.

Moi: je suis heureuse que tu aies pris conscience de tes actes.

Lui: tu ne sais pas à quel point je me sens soulagé de m'avoir enlevé ce poids. Mais ce ne serait que si tu me pardonnais Ines.