Chapitre 13: Souterrain

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Je suis assise, regardant le lustre, perdu dans mes pensées, sans savoir quoi faire.

Je me retrouve dans un endroit que je ne connais pas, en pleine purge, avec un homme inconnu, et en apprenant depuis peu de temps qu'à partir de ce soir c'est l'anarchie total, et jusqu'à très longtemps. Le nombre de criminel, ainsi que de meurtre va augmenter. Elijah me force à faire partie de leurs groupe d'assassins, mais je veux pas, je peu pas, j'ai déjà tué deux hommes, mais c'était de la légitime défense. Dans tout les cas je ne veux pas avoir à recommencer, les seuls personne que je pourrais tuer, c'est mon propres ravisseurs et ses amies les tueurs. Pas des innocents !

-« Tu auras ta chambre ici, ton piteux appartement ne te servira dorénavant à rien. »

Je n'est pas mon mot a dire ?

-« Bordel, mais je refuse de faire partie de votre secte de dégénérés, assassins et tueur sans aucune âme.»

-« Mais tu ne comprend pas ma belle, ici c'est moi qui faire la lois, donc, tu n'a absolument rien à dire ! »

Dit-il d'un ton autoritaire.

-« Occuper vous d'elle, je veux qu'elle souffre pour qu'elle n'est plus d'humanité. »

Deux hommes se rapprochèrent dangereusement de moi, c'était impossible de m'échapper, ils pris chacun mon bras et me forcé à avancer.

-« Putains lâchez moi ! Qu'est-ce que tu veux dire par "plus d'humanité" ?! »

L'homme se retourna, un sourire malsain se dessina.

-« Que tu ne ressente plus d'amour, ni de pitié, juste de la haine, je veux te renforcer jusqu'au maximum, tu sera une tueuse sans aucun sentiment. »
Il me fis un clin d'œil, en demandant aux hommes de m'emmener dans un endroit.

En marchant, sans vraiment toucher le sol et sans vraiment avoir le choix d'ailleurs, vue que les deux colosses me tenais fermement en se dirigeant vers l'endroit, je distinguer plusieurs personnes armées, qui me regardais sans émotions, des jeunes filles, des jeunes garçons, qui tracer leurs chemins dans cette énorme pavillons.

On descendaient les escaliers, puis pris un ascenseur qui prenais un temps fou a descendre les nombreuses étages. En sortant, une odeur de moisissure me fit un haut le coeur. Mais peu après avoir passais une grande entrée qui était caché derrière une fausse bibliothèque, les locaux était neuf, propre, ça ressemblais à immense laboratoire où même hôpital souterrain, dans le genre long couloir blanc ou pièce s'en suivais et de longue vitre se tenais contre les murs, on se trouvais à plusieurs mètres sous terre. Il y avais des centaines de porte, où chacune pouvais être ouverte grâce à un code, ou un badge.
L'une des portes s'ouvrit dans une immense salle beaucoup trop lumineuse, blanc et propre. Une chaise métallique se tenais au milieu. Il y avais quelque machine tout autour, et une genre de douche au dessus de la chaise. Ensuite sur la droite, une énorme vitre teinté, et sur le cotés une petite caméra qui bouger. Je devine que des personnes se tenais de l'autre côtés de la vitrine, et attendais bien sagement qu'un événement se produis par la suite, et qui d'ailleurs va moyennement me plaire. Quelqu'un donna un coup contre la vitre, bien-sur impossible de distinguer la personne.

L'un d'eux mis un gant et l'autre me tenais fortement. Il pris une seringue, et sans même avoir le temps de demander ce que c'était, il me l'a planta dans le coup, ce qui m'arrache un crie.

-« Mais putains de merde c'est quoi ce truc ?! »

-« Écoute petite, regarde, je tiens ma petite télécommande, et toi tu a une micro puce au coup. C'est simple, deux boutons, un vert et un rouge, le vert te fera souffrir en te donnant des gros coup de jus, et le rouge, et bien, il fait le même job qu'une grenade, alors je te laisse imaginer le dégâts que cela puisse faire.»

Il secoue sa télécommande, l'air satisfait.
Mes lèvres s'entrouvrent, la, je suis carrément dans la merde.
Aucun mot ne sort, c'est trop tard, je ne peu ni partir d'ici, ni parlais, au risque d'avoir la cervelle exploser.

-« Maintenant, déshabille toi, et jette les affaires au sol. »

C'est une blague ?

-« Euh pardon ? »

Il soupire.

-« Ta bien entendu. »

Je déteste qu'on me donne des ordres non de dieu.

-« Alors non, je garde mes affaires, je sais pas combien vous êtes à me regarder bande de pervers derrière votre putains de vitrine hein ?! Vous appréciez d'être tranquillement ici j'espère ?! » dit-je en tapant mon doigt contre l'énorme miroir teinté. Soudain, une voix de femme résonna dans un micro.

-« Mademoiselle, faite ce qu'il dit. »

Je lui montre mon plus beau doigt d'honneur, mais par la suite, je regrette mon geste, car une douleur vive me monte jusqu'au cerveaux, comme si mon corps prenais feux.
Je hurle de tout mon être, en écrasant mes mains contre ma tête, recroquevillés contre le sol.

-« STOP, STOP, ARRÊTEZ ! »

J'ai jamais sentis la mort si proche de moi, tellement la douleur était insoutenable.

-« J'ai pas de temps à perdre. »

C'est ce fumier avec sa télécommande. Je me lève en essayant d'enlever cette fin de souffrance.

Je pense qu'il n'y a rien à faire.
J'enlève mes habilles, et les rassembles en boules pour les envoyer aux hommes présent dans cette pièces.

-« Les sous- vêtement aussi. » dit-il d'un air moqueur.

Je souffle, et enlève mon soutien gorge et ma culotte. Et bah, cette purge prend une tournure extrêmement embarrassante.

Les hommes me regardent avec insistance.

-« Je vous dérange la ? »

L'un ce racle la gorge:

-« Assis toi sur la chaise. »

Je le fis pendant que l'autre pris des cordes et m'attacher fermement, j'avais les bras derrière mon dos, les pieds contre la chaise, la tête coller contre mes genoux, un peu recroquevillé, ce qui cacher ma nudité. J'avais froid, et j'avais mal à cause des cordes qui me tiraillées la peau. Ensuite, on me mis un chiffons dans la bouche. L'homme fit un signe vers le miroir, tout était bon, mais...

Bon pourquoi ?

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⏰ Last updated: Aug 28, 2018 ⏰

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Night Of PurgeWhere stories live. Discover now