5

583 15 0
                                    

Anna !

Je me lève assez tard à ma grande surprise dans la salle à manger il y a un grand brunch. Je m'assoie et mange, Gina fait sont apparition dans la pièces.
Gina-Alors t'aime ?
Moi- C'est trop bon !
Gina- J'ai pas réussi à dormir de toute la nuit, je n'arrête pas d'avoir des brûlures d'estomac qui me ronge.
Moi-Prend du gaviscon.
Gina-J'aime pas.
Moi-Ah beh t'a pas le choix là, elle et où ma mère ?
Gina-A la douche.

Cette journée a était tout à fait banale j'ai passé quelques heures à réviser, pendant que les deux était au salon entrain de regarder leur serie turc.
J'ai pris un petit sachet ou j'ai mis toute les affaires de Ines, je compte bien aller lui déposer.
J'enfile une paires de claquettes, une veste de survêtement et prend la route.
Je sonne et tombe nez à nez sur elle, je lui tend le sachet.
Moi-Je ne sais pas ce que tu as, et je n'ai pas envie de savoir ton comportement de gamine et juste ridicule.
Je pars sans attendre, je rentre chez moi et me jette dans mon lit j'ai besoin d'une sieste.

Ma porte s'ouvre et laisse apparaître Gina dans une tenue plus que sublime.
Moi-Wouah mais est ce que c'est légal d'être aussi belle ?
Gina- T'aime vraiment ?
Moi- Non t'es trop laide, tu va ou ?
Gina- J'ai un date.
Moi-Omg c'est qui dit moi !
Gina-Pas maintenant.
Moi-T'es sérieuse ?
Elle rie, sauf que je suis sérieuse.
Gina-Anna fait moi confiance, je te promets de tout de raconter quand je serais sur de moi.
Moi-Ok.
Gina-Arrête de bouder.
Moi- M'en bats les couilles.
Elle sort de la pièce.
Je crie d'une belle voix.
Moi-AMUSE TOI BIEN.

Je suis partie dormir avec ma mère dans sont lit, je dors tellement bien à ces côtés c'est incroyable.

Je suis entrain de terminer ma valise avec Gina, on descend à Marseille on va passer 2 semaines chez mon père.
Je vous passe le longs trajets en train moi j'ai fait ma nuit de sommeil dedans, pendant que Gina partais vomir c'est tripes.
Une fois arrivé à la gare saint Charles, j'appelle un uber, par la fenêtre je regardais ma ville, avec son beau soleil, je suis nostalgique à chaque fois que je pose un pied ici.
Le uber nous a déposé, je suis actuellement devant les portails, je sonne et la porte s'ouvre et laissant apparaître mon père, je suis pas sensible mais je ne peut m'empêcher de pleurer, l'amour, le manque, que j'ai pour lui ressorte à la surface.
Après ces instant de retrouvailles, Gina et moi partons s'installer dans ma chambre.
On a commander des pizza pour ce soir, je ne peut m'empêcher de fixer à chaque fois qu'il se touche le côté gauche du poumon, il y a 1 ans il a appris qu'il avait un cancer des poumons, la chirurgie a était la solution mais je m'inquiète tellement, mes parents ne se sont pas aimés pour rien, malgré qu'il est un fort caractère, il ont un cœur bourré d'amour mais à leur manières.
On a eu une éducation stricte avec ma sœur, pour que l'on puissent voir le vrai monde qui nous entoure et pas une illusion, j'ai peut être grandis trop vite sans profiter d'une enfance ordinaire mais cela a était bénéfique.
Avec Gina ainsi que mon père et ma belle-mère nous sortons régulièrement manger à Cassis ou bien la Ciotat.
Mon père c'est tellement un exemple, je veut devenir la même personne que lui dans mon futur.
Mon père- J'allais oublier ton visage, tu n'es pas venue depuis très longtemps.
Moi- Désolé je vais venir plus souvent tu me manque trop.
Je profite des derniers instant avec mon père, on est à la gare je lui dit en revoir après avoir passé plus d'une semaine, si sa ne tenais que à moi je serais resté.
Mon père- Je t'aime ma fille, fait attention à toi.
Moi- Papa je t'aime dit moi si tu a besoin je descend, ne me cache rien au sujets de tes poumons tien moi au courants, je t'aime merci pour tout.
Je lui fait un gros câlin suivie d'un bisous puis prends mon train, j'étais assise avec mes AirPods avec les larmes qui coules. Gina dormais.

Sa me déchire le cœur de le voir prendre de l'âge, mais bon c'est la vie.
Une fois arrivé à la gare Tarik est venue nous récupérer, il avait envoyé un message à Gina, qui a accepté sa promo
Il nous aide avec nos valises, quand ma mère au meme moment passe.
Ma mère- Mais je suis désolé, je sais pas où elle a était éduquer celle la, rentrée voyons.
Tarik-C'est gentil mais je doit y allé.
Ma mère- Allez ça va, vous n'avez pas une casserole sur le feu non, alors rentrer.
Ma mère a servie Tarik elle venait tout juste de faire des pâtes au sauces tunisienne.
L'ambiance était marrante au départ Tarik était hyper gêné mais heureusement que ma mère c'est Jeanette, en quelque instant elle l'a mis à alaise.
Il lui faisait écouter ces sons avec Nabil, lui a raconté sont parcours il se sont même échangés leur numéros de téléphones.
Je ne savait pas qu'il fait de la prison et que Nabil a dû prendre le rôle de grand frère quand Tarik ses retrouvés enfermé.
Ma mère et Tarik s'entendent tellement bien, que Gina et moi je pense que l'on était de trop dans la pièce mdrr.
Ma mère- Et votre mère alors elle en pensent quoi ?
Tarik- On a pas de mère, elle nous a abandonner quand Nabil était petit, on a vécu avec notre grand-mère durant notre enfance, notre père a purgé une peine de 8 ans, une fois sortie il nous a ramené à Corbeil.
Ma mère- Je suis désolé, je ne me serait jamais permise.
Tarik-C'est rien grâce à Dieu on a réussie sans elle.
Ma mère- L'es filles sortais de la pièce j'aimerais lui parler seul à seul.
L'ambiance était particulière en général j'aurais dit une connerie pour rire mais je sort accompagné de Gina.
On était dans ma chambre quand j'entends la porte claquer, je me dirige au salon.
Moi- Il est partie ?
Ma mère- Oui il doit enregistrer au studio.

Abdel- LE SEL
Lucas-NON DONNE MOI UNE MERGUEZ.
Il y a avait un barbecue que les frères avait organisé, il avait fini d'enregistrer leur nouveau sons, il manquer plus que le clips et tout était nickel.
Nabil s'occuper de cuire la viande, Tarik lui était à table en plein débat de foot, les tables était installer dehors à la bonne franquette, le soleil était entrain de se coucher laissant une couleur or, tout le quartier était heureux, je regardais cette scène sans comprendre pourquoi cela me mettais du baume au cœur.
Mais le problème ici c'est que l'on ne peut pas se posé 5 secondes, j'étais entrain de me faire secouer par Mâcha.
Mâcha-HEHO.
Il me secouait comme un arbre.
Moi-Sayer stop.
Mâcha-Mayo ou ketchup.
Moi-Mayo.
Mâcha- Voilaaaa j'avais dit quoi elle a bon goût votre vieux ketchup la.
Je pars en direction de Nabil pour pouvoir récupérer les viandes cuites, et les poser sur la table.
Moi-Tu pourrais me mettre ce qui et cuit s'il te plaît.
Nabil- Arrête toi.
Moi- De quoi ?
Il ne répond rien et me sert, je pars avec mon assiette pleine.
Si ce mec et clairement 1 minutes il se passe quoi tout et toujours flou, depuis le bisous au toilette, j'avais grave pris mes distances.
C'est vrai que physiquement il et beau je ne peut pas le nier, mais sa m'énerve car ce soir la j'ai sentie un truc, comme une décharge électrique qui parsemée mon corps, nos lèvres ne sont restés collé que quelques secondes et je ne peut m'empêcher de me faire une série netflix, dans ma tête. Sa m'énerve parce que je l'aime pas, mais pourtant il me fait cogitée.

Le barbecue se finit, les gars on tout ranger, tout le monde était entrain de rentré la nuit était tomber dans le 91. Je me suis éclipsé de tous, je suis assis sur un banc en repensant à tout mes anciens moment du passé j'essaye de les oublier mais il sont coller à ma peau, ce ne sont pas des cicatrices visibles et pourtant, elle sont vif, comme si les points de sutures avait mal était cousu.
Ma tête était penchée en arrière, je contempler la lune et toute ces étoiles autour, qui sont mortes depuis des années lumière mais qui pourtant continue toujours de briller.
Je sent une présence prendre place sur le banc, je ne bouge pas, car je sais que ces lui sont parfum frappe mes narines comme un ko mis par myke tyson.
Personne ne parle, pourtant à travers cette énorme silence, on dirait qu'il y a une conversation, quand les mots ne suffisent pas le silence prend le relais.
Je relève ma tête, il allume son joint. C'était tellement paisible comme moment, mais chaque choses a une fin.
Je me lève puis commence à marcher, en me souvenant que je suis venue avec Tarik à l'allée, je me retourne, et croisent sont regard il me regarder haha je l'ai cramé, il marche dans ma direction dans le plus grand des calme.
Le trajets en voiture se fait sans musique mais ce n'est pas gênant, c'est reposant.
On est devant chez moi, il déverrouille la porte pour que je puissent sortir, mais je tourne ma tête dans sa direction en le regardant.
Ces yeux sont si profond qu'il raconte sont histoire mais sont regards et si vide qu'il montre sont désespoirs, ces sourcils sont naturellement froncés, sont nez et juste parfait, ces lèvre sont tellement bien dessiné et pulpeuse.
J'approche ma tête et le smack, il mets sa main derrière ma tête pour transformer ce simple smack en baiser.
On s'écarte l'un de l'autre, pour reprendre notre souffle, j'ouvre la portière et décide de briser le silence en lui disant.
Moi-Bonne nuit Andrieu.

Je suis sous la douche, et je ne cesse de me remémorer la scène qui ces déroulait il y a moins de 15 minutes.
Tout cela ces produits de manières naturels, sa peut paraître fou mais laisser le silence prendre place quand les mots ne veulent plus rien dire, sa ma apaisait je ne me suis jamais sentie autant détendu que à cette instant.
Je m'allonge et trouve le sommeil facilement.

Anna&Nabil ( réécriture )Nơi câu chuyện tồn tại. Hãy khám phá bây giờ