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scrib: Bonjour toi qui a atterrit dans cette histoire ! avant de débuter ta lecture j'aimerais éclaircir quelques points

je suis en collabo' avec la fantasmabullique -nuageophile et c'est elle qui se charge de la description. ( par contre le prologue je l'ai fais toute seule comme une grande !)

je pense que vous allez, pour les anciens, liliblair on te parle, (peut-être) reconnaître mon style dans les dialogues et les crasses que je vais sûrement faire aux perso (au pire moi c'est bene et elle c'est pouf, on vous mettra au début du chap pour pas vous faire chié)

cette histoire sera sûrement un roman, c'est pour ça que j'ai fais une collaboration.

n'hésitez pas à aller voir son profil (elle aime pas que je fais dla pub pour elle donc chut) parce-qu'elle écrit divinement bien, vous allez voir.

j'espère que tu vas kiffé grave le délire so 90s parce-que c'est le but !

Bonne lecture !

pouf

George Michael à fond tournant sur un vinyle et céréale Soleil s'offrant une baignade dans le lait, c'était un matin normal dans la botte italienne et plus précisément dans la petite région de Naples, où fleurissait le lotissement flambant neuf loué par la famille Dicaprio.

Benedict dormait presque dans son bol fraîchement préparé, encore assommé par la tiédeur de ses draps. Son père observait d'un air dédaigneux sa mère étendre le linge sur le balcon, une pipe aux lèvres. L'adolescent avait tout de suite compris que ses parents s'étaient encore disputé pour les impôts. Il rumina en avalant tout rond une cuillerée de céréale. Et lui qu'il pensait avoir un minimum d'intérêt pour eux maintenant qu'il était majeur.

« Vaisselle » gueula sa mère en entendant sa progéniture balancer son récipient dans l'évier.

Benedict l'évita et courut s'enfermer dans sa chambre, presque en chouinant. Sur son vieux Pc, les pixels se coloraient, affichant une nouvelle bulle de discussion sur MSN. Cela le réconforta un peu, au moins ses amis pensaient à lui. Il quitta la première fenêtre qui s'était ouverte entre-temps, ( sûrement un code erroné, pensa-t-il) et répondit rapidement au message.

Il allait passer l'après-midi au ciné plein air à se gaver de pop corn carbonisé, et la semaine prochaine, aller à son rencart avec la fille qu'il avait fait connaissance sur Caramail dans le super marché de Topco, pour lui acheter la dernière cassette des Rolling Stones.

Il souria un court instant, se voyant collé aux tee-shirts suintant des étés trop chauds de ses potes, les fesses posées sur la vieille Jeep de Camille et, en se projetant plus loin, raccompagnant la charmante lolita01 chez elle en lui prêtant sa veste dans l'intention qu'elle le lui rende dans un deuxième rendez-vous.

« Non Maman, je n'ai pas fait la tarte aux abricots, tout simplement parce qu'ils étaient en rupture de stock. Oui...Roh, arrête avec tes délires de fruits bio, je t'ai déjà dit qu'on n'a pas de jardin ! Je sais... avec Angelo le maître comptable j'aurais sûrement eu un mariage heureux si j'avais accepté ses avances blablabla... E-Et bien sache que ton avis je m'en fiche, et j'aime ma petite famille... Attends, quoi ? Ça coupe maman, j'entends plus très bien...ce n'est pas vrai BENEDICT JUAN GUSTAVO, TU RACCROCHES TON INTERNET IMMÉDIATEMENT ! »

LE DERNIER HOMME SUR TERREWo Geschichten leben. Entdecke jetzt