Particulière -Tome 2

Partie 39

-Lise: J'ai appris que tu étais enceinte. C'est vrai ?

Sa voix était claire et hautaine. Mes yeux deviennent noir.

-Lise: Apparemment oui.

-Moi: Touche à mon enfant et je te jure que je te brise les os un par un avant de t'égorger comme un porc et de te donner en pâture vivante aux cochons.

-Lise: Pour ça il faudrait déjà que tu puisse bouger.

Elle appuya sur ma cage thoracique ce qui a eu pour but d'appuyer sur ma colonne vertébrale. La douleur provoqué par son geste m'électrisa. Elle arrête la pression et je me met à tousser.

Merde...

-Lise: Tu vois, tu ne peux rien faire. 

Elle a raison, la douleur dans mon dos m'empêche tous mouvements... Si je bouge je risque de me paralyser ou d'aggraver la situation... Mais si je ne fais rien elle va faire du mal au bébé et ça c'est hors de question !

Je me met subitement à rire.

-Lise: Je peux savoir ce qu'il y a de drôle ?

Je m'arrête peu à peu avant de donner un coup de pied à Lise, de me lever et d'attraper les deux armes posé sur la table de chevet. Avec l'une je vise Lise, avec l'autre les filles qui tiennes Castiel.

-Castiel: Ly...

Le produit fait encore effet.

-Moi: Lâchez-le.

Elven pointa son arme vers moi.

-Elven: Fais pas de bêtise ma grande.

-Moi: Tire moi dessus vas-y, mais j'abattrais Lise à l'instant ou tu appuieras sur la gâchette.

Il baissa son arme vers la nuque de Castiel.

-Elven: Peut être qu'avec lui tu changera d'avis.

La douleur de mon dos est insupportable et je grimace. Il faut que je tienne...

-Lise: Sois raisonnable Lyssa. 

-Moi: Oh la ferme, ne me parle pas d'être raisonnable. 

-Lise: On peut marchander ?

-Moi: ... Lâchez-le et mettez-le dans le couloir.

-Lise: Et en échange tu me diras ce qu'est la clef et si ton enfant l'a.

Je réfléchis, si elle apprend ce qu'est la clef elle me tuera, mais je ne peux pas prendre le risque de perdre Castiel avec ce que je vais faire...

-Moi: D'accord.

Elle fit signe à Elven de baisser son arme et les trois filles emmenèrent Castiel dehors. 

Quand elles sont revenus, elles ferment la portes.

-Lise: Bien, dis-moi.

Je sers la crosse de mes armes et je tente de calmer la malice dans mes yeux.

-Moi: Ça tu peux toujours courir.

Je souris, en une seconde je tire dans la tête de deux des filles, elles s'écroulent au sol et la troisième fonce sur moi, dans son élan, elle l'entraîna dans les toilettes de la chambre. Dos au mur, j'attrapais sa tête et la claquait à plusieurs reprises contre le lavabo, le sang giclait et je fus arrêté par Elven qui me maintenait. Il allait me jeter quand Lise l'arrêta.

-Lise: J'ai besoin d'elle et du bébé.

Il me maintien simplement les bras pour m'empêcher de bouger. Lise s'approche de moi et regarde la fille étendu par terre.