Partie10: LUI

81 12 12
                                    

Je devais être vigilant dès maintenant. Trainé avec Gkheïma et son amie ne sera pas à mon côté. J'ai peur que Farida me reconnaît, en tout cas on ne sait jamais.

Je ne sais pas pourquoi je ne fais que penser à Gkheïma. Malgré ses excès de colères perpétuels au début, son agressivité constante envers moi au paravant, ou même sa manière de me pousser à bout qui n'est en réalité qu'une manière de se protéger contre les hommes m'attirent de plus en plus . J'ai constaté qu'elle déteste les hommes, Comme si ces derniers ne sont que des diables humains à ses yeux, comme s'ils sont les principaux responsables de son malheur. Un malheur caché au plus profond de son cœur.

Cette fille a des beaux yeux qui te fait tomber sous son charme dès le premier regard. Un corps en bombe qui te pousse de la croquée dès le premier contact. Son corps, son charme, son comportement... Oh merde pourquoi je dis tout cela. Je commence à perdre ma tête. Je suis aujourd'hui avec elle que pour le pari. Je ne dois en aucun cas avoir des sentiments pour elle. Pourtant mes lèvres ne veulent que ses lèvres.

Je reçois un message de Leon me disant que Gkheïma est dans la boîte de Frienship. Je fonce et vais directement me diriger vers cette putain de boîte. Pourquoi ne peut-elle pas rester sur place à la maison? Ouf et si quelqu'un essaie de la violé comme la fois dernière? A la moindre pensé sur ce qui allait se passer à cette fragile fille, mon coeur se crispe, je ne veux en aucun cas penser de Gkheïma avec une autre personne. Suis jaloux? Je ne sais pas.

J'entre dans la boîte et cherche Gkheïma du regard. Je vérifie le grand salon, j'entre dans toutes les chambres sans m'hasarder sur les débats qui s'y déroulent. Je crois vous m'avez compris. Mais je ne la retrouve pas. Où est ce qu'elle doit être? Je me dirige vers le balcon au fond , et là,choc total. J'aperçois Gkheïma en sous vêtement et la robe en main. Et de loin je vois Rodriguo par terre, j'ai tout compris. Il voulait abuser d'elle.

Rien qu'a cette idée, je tremble comme un volcan. J'ignore comment je fais pour que mon corps ne flanche pas à cet instant. Ma gorge est tellement nouée que je ressens la boule à chaque fois que j'avale ma salive. Mes mots se bloquent, qu'est ce que je suis sensé dire? Que je ne veux pas encore la voir dans les boîtes ou bien que je suis content de la voir en soutif?

Et quand je vois ses bras m'entourés , je ressens des milles papillons dans le ventre. Je sais c'est louche, c'est un truc féminin mais voillah je les ressentis moi aussi.
A l'entende de cette phrase sortie de sa belle bouche me suppliant de l'embrasser, je n'hasarde même pas une seconde et pose mes lèvres sur les siennes comme si ma vie en dépendait.

Je la traine dans la chambre. Mon corps la réclame, je la veux maintenant, toute de suite. Je commence à la piloter de partout, je vois le désire dans ses yeux mais une fois ma main flotte sur son intimité voulant arracher toute sorte de barrière , la jeune fille se lève me laissant en plan. Merde, j'ai été trop loin.
¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥
Coucou mes chéries. Je suis vraiment vraiment désolée de ce grand retard. La fac m'a bcp prise mais désormais je ferrai tout pour vous écrire au moins une fois tous les 10jours.
Allez bonne lecture même si c'est une toute petite partie, la prochaine sera bcp plus que ça.

AU DEBUT,CE N'ÉTAIT QU'UN PARI (en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant