[Newtmas] Tu es mon prisonnier...

Chapitre 11

Les deux hommes s'avancèrent dans un sombre couloir, éclairé par de faibles lumières bleues. Plus ça allait, plus Newt ralentissait, intimidé par se long couloir dont il discernait une porte au fond. 

Thomas se retourna, le regard froid, visage partiellement éclairé d'un côté. 

-Plus vite, on y est presque. 

Newt baissa la tête et Thomas lui empoigna le bras en marchant à un rythme rapide. Une fois arrivé à la porte, ils entrèrent dans une salle parfaitement éclairée ou des gens les attendaient. Il y avait un mur de vitre qui montrait derrière lui des sortes de lits verticaux avec des ceintures pour maintenir les gens ainsi qu'il casque. Dans la pièce dans laquelle ils se situaient se trouvaient plein d'ordinateur et de boutons sur un tableau de bord. 

-Edison, un homme pencha la tête en guise de bonjour que Thomas lui rendit. 

-Alby. On peut y aller ? Demanda le brun sans lâcher le blondinet. 

-Oui monsieur, suivez-moi. Ils entrèrent dans la pièce de l'autre côté de vitre.

-Installez-vous. Ordonna ledit Alby en regardant le blond.

Thomas poussa Newt sur le lit horizontal, le blond mit ses pieds sur la marche et se cala tendit que Thomas lui tenait les épaules pour éviter qu'il tombe et que l'autre homme black puisse mettre les ceintures sans risque de se prendre un coup de la part d'Isaac. Alby s'assura que tout était bien serrer et interrogea Newt du regard. A5 le regarda méchamment et l'homme haussa les sourcils. 

-On peut y aller. Alby prit un document et Thomas posa le casque sur la tête du blond. 

-Allons-y alors. Souffla Thomas en attrapant son carnet. 

Les deux hommes quittèrent la pièce et le sujet commença à panique, une boule se forma dans son ventre et tenta donc de se défaire en s'agitant comme il pouvait. 

<< -Cela ne sert à rien. >> Fit Thomas à travers le micro. 

<< -N'essai pas de te débattre. C'est ridicule... >> 

Newt planta ses yeux charbon dans le regard ambré de Thomas en continuant de s'agiter pour essayer de se sortir de là. Le brun hocha les sourcils et annonça aux hommes de commencer. 

<< -Très bien, sujet. Dans une dizaine de secondes tu vas te retrouver dans la dimension Maze. Il fit une courte pause. Fait de beau cauchemars.. >>

Newt écarquilla les yeux avant de soudainement les fermer contre sa volonté. Il se réveilla ensuite dans un champs, ne se rendant pas compte que c'était une simulation. Un champs entourés de murs de pierres formant un carré avec quatres entrées ou sorti au milieux de ses quatres murs. Newt se leva précipitamment et regarda autour de lui, l'herbe sous ses pieds était sèche, jaune. Il voyait des cabanes en bois abîmées et des forêts. Se respiration s'accéléra, il déteste cet endroit. 

-Oh bordel.. Souffla-t-il en passant une main sur son front bouillant. Mais où je suis moi..

Il tourna sous lui même, passant du lierre sur les murs aux cabanes détruites. L'endroit était sale. Très sale. Sans compter les bruits chelou qu'il entendait. Il se sentait oppressée, mal et cet endroit lui inspirait la peur. Des choses étranges sortirent de la porte nord, c'était de grosses créatures, immenses. Newt se mit à hurler, attirant la créature vers lui. Le sujet, apeuré se mit à courir aussi vite qu'il pu vers la porte sud entrant alors dans le Labyrinthe. Les pattes métallique de la créature résonnait presque entre ces épais murs de pierres. Il courait, tombant sans arrêt dans des culs de sacs, faisant demi-tour, recroisant la bête, prenait d'autre chemins et ainsi de suite. Puis d'un coup, il senti un pression le faire reculer, collant ses deux bras au mur, pareil pour son torse et ses jambes. Newton tentait du mieux qu'il pouvait de se tirer de là mais rien y fait, la pression était trop forte. Beaucoup trop forte. Et il entendait la grosse bête arriver, se sentant de plus en plus effrayé, il criait, se débattant aussi fort qu'il pouvait mais sa tête aussi reçut la pression, la collant au mur contre son gré. Puis il vit la créature arriver, son pouls s'accélérait. Il avait peur. Il n'avait jamais eu aussi peur.  Des sanglots éclatèrent tendit que la créature commençait à poser une patte sur le mur, puis la seconde. Le blond hurlait à s'en décrocher la mâchoire, hurlait à s'en déchirer les poumons. La tête de la créature arriva en face de la sienne. 

Elle s'arrêta à le tuer quand Newt se réveilla en hurlant, le corps trempé de sueur. Il avait l'impression que tout ses muscles l'avaient lâcher, sa respiration était haletante. 

<< -Alors ? >> Demanda le brun en souriant.

Newt ne put répondre, sa gorge était nouée par le stress... 

<< -On se retrouvera tout à l'heure en salle d'interrogatoire, sujet A5. J'espère que cela t'aura servit de leçon. >>