Mon enfance

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J'étais né dans un quartier dénommé Bassadji pas très chic mais bien à notre niveau de vie. La vie était paisible surtout quand on descendait de l'école sous les arbres qui nous procuraient de l'ombre en abondance. Lomé était frais, ma mère commença à s'y habituee, savait préparer et apprenais la langue par exemple va qui veut dire viens, des trucs élementaires surtout qu'elle n'a pas étudié aussi, elle n'avait pas le choix.
On m'inscrit tout d'abord dans une coranique, j'étais l'ami des filles, que c'est fou, elle me déguisait à leur semblable, j'apprenais à marché comme elle, avec des petits rouges à lèvres. C'était beau, mais l'islam nous l'interdisais donc j'ai dû cesser.
J'avais deux cousins Djabiri et Bilali qui se sont inscrits récemment au cours primaire de notre quartier, l'école s'appelait Espoir c'était dans les années de 2001 à 2002. On m'a inscrit, j'étais en avance sur les élèves, je savais écrire les alphabet a,b,c et les chiffres 1,2,3 c'était un exploit pour moi. Personne ne pouvait me concurrencier en tout cas, pas au primaire. J'étais toujours le premier, et mon cousin Bilali était le deuxième. Mais l'autre qui s'appelait Djabiri, on dirait qu'il n'est pas issu de ma famille, il était nul, très nul comme un tchadien qui apprenais l'anglais. Il trouvait une excuse d'après chaque échec
Aÿ voisine no go ga tablo zindji (c'est ma voisine qui reste pas tranquille lors des composition. Djabiri était un escroc aussi.
Après l'obtention de nos certificats d'étude mon père devint très riche et m'inscrit dans une grande école de la ville, une école catholique dénommé Notre Dame des Apôtres (NDA).

C'est ici l'histoire qui a chambouler ma vie allait commencer à la rencontre de Diane, Diane mon âme sœur, restez à l'écoute

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