Princesse un Jour, Princesse Toujours

chapitre 2

A ces moments la j’étais tellement heureuse. Quand je jouer avec mon frère dans ce petit jardin dernière notre maison. Mais comme d’habitude la cloche qui annoncée sept heure sonna. Il fallait partir pour arriver à l’heure au collège. Aujourd’hui dans chaque école, collège et lycées de France aucun retard pouvais être accepté sous peine d’être renvoyé. Quand mes parents avait entendu ça il c’était mis à crier « on ne peux pas renvoyé un élève pour un simple retard ». Surtout mon père qui avait pour habitude d’être en retard. Le pire c'est qu'il s'en fichait d’être en retard ! Mais bon à ce qui paraît les professeurs on quelque chose de très important à nous montrer.
Aujourd’hui je suis arrivé avec trente minutes d’avance. Grande première. Tout le monde était déjà regroupés au centre de la cours. On était tous mis pas classe. Je ne voyais pas bien mais je me souviens qu'il y avait un immense écran télévisé. A huit heurs l’écran s’alluma. J’avais réussi à me rapprochait quand je vie un homme vêtu de bleu. Près de lui ce tenais plusieurs femme. On pouvait voir qu'il ce trouver juste devant les grilles de Versailles. Quand il commença à parler tout mon collège ce tue. Il n'y avait plus un bruit.
« -Bonjour à tous, bonjour à la France. Comme vous le savez la France a pendant un temps était sous la monarchie. Et bien j'ai le plaisir qu'elle revient aujourd’hui et que maintenant ces moi le roi. Mais je n'est pas organisée tout ça pour vous parlez deux secondes à peine. Non ! J’ai aussi fait ça pour retrouver mes filles qui mon état volait…
-… Aucune de nos filles n’a était volait. Rappelez vous mon cher ces vous-même qui les avait confié à différentes famille. (C’était une des femme à côté de lui qui venez de prendre la parole. Elle était resplendissante. Elle avait un visage blanc mais légèrement bronzé. Elle avait une longue robe bleue avec à certain endroit des petites touches d'or. Elle devait sûrement être très proche du roi)
-Oh ça revient au même après tout. Oui donc j'ai était contraint d’ordonner à ce que tout le monde regarder pour êtres sur que soit mes filles soit leur famille entende ce que j'ai à dire… Enfaite j'ai rien à dire mais ces pas grave. Je connais leur nom et leur école, collège ou bien lycées. Elle recevrons donc une lettre. Malheureusement nous n’avons pas assez de personnelle donc nous vous proposons de venir vous inscrire à un endroit que vos directeur vous désigneront pour travailler dans le château. Euh par contre on veux pas de bébé dans le château donc les inscriptions ces pour tout le monde sauf ceux qui sont encore à l’école. Merci de votre attention.»
Une doit que la télévision fut éteinte le directeur ce mis à nous appeler par ordre alphabétique. En fonction de notre sexe on était amenée dans des salle différente. La salle des filles était peinte en rose avec les meuble… rose. Quand j’arrivais devant Mme Reding elle me dit.
-Annie, Annie. Oh Annie ça fait longtemps que je ne tes pas vue. Comment va tu ? Oh lala je m'embrouille. Pardonne moi ! Alors ! Annie tu veux t’inscrire ou pas ! Oh mais entend j’ai failli oublier ! Quelle gourde je fait ! Tien c'est un mots que le directeur ma donner pour toi. Donc tu t’inscris ou pas ! Oh lis la lettre avant. Si sa ce trouve ca va te dire que tu est la princesse, même si sa m’étonnerait. Oh lala se serai super. Pardon je me calme tout de suite. Hiiiiiiiiiiiiiii.
Je pris la lettre avec des yeux amuser en sa direction. J’adorais Mme Reding. J’étais suis ici depuis la petite section et à ce moment la de ma vie j’étais en troisième. Je lis la lettre avec la plus grand attention :
Chère Mademoiselle Annie
Nous avons le plaisir de vous annoncer que vous êtes convoqué chez le roi pour affaire urgente. Le roi pense que vous êtes sa fille aînée. La fille qu'il n'a pas eu avec la reine. Dans deux jour une voiture viendra vous cherchez devant chez vous a huit heur. Vous partirez en même temps que les domestiques choisi mais bien évidemment dans une autre voiture.
Cordialement
Le secrétaire du roi.
-Et bien, je crois que vous avez trouvé vous-même ce qui était dans la lettre Mme. Mais s'il vous-plaît ne dites rien à personne.
-Oh lala. Je vais devenir folle ! Je ne dirais rien promis sur la tête du roi. Euh non pas sur celle du roi. Sur la mienne tien.