CE MARIAGE ARRANGÉ. TOME I [ REECRITURE]

6.

Je me fais réveillé par Aymen...très bizarre que fait il ici...ne devrait t'il pas être au travail ?

Moi: tu n'es pas au travail ?
Aymen: si mais je suis revenu
Moi: pourquoi ? Il est 11h siham est à l'école je l'ai déposer ce matin
Aymen: jsuis revenue pour te dire quelque chose...
Moi: ça ne pouvez pas attendre au point que tu quittes le travail ? Tu sais tu m'inquiètes la
Aymen: Sanaa c'est au sujet de...
Moi: de quoi ? Siham va bien hyn ?
Aymen: oui oui ne t'en fais pas pour elle
Moi: je ne comprend pas la
Aymen: c'est au sujet de ta maman
Moi: que ce passe t'il avec ma mère
Aymen: elle est à l'hôpital
Moi: comment sa ? Mais pourquoi ?
Aymen: elle a une maladie très grave qui s'attaque à ses poumons...elle veut à tout pris que tu ailles la voir
Moi: c'est si grave *larmes au yeux*
Il s'est contenter de baisser la tête...
Moi: elle ne voudra pas me voir...elle me haie
Aymen: elle te réclame
Moi: emmène moi je t'en prie...
Aymen: oui prépare toi on y va...

J'ai foncé sous la douche puis je me suis habillé avec une combinaison une paire d'escarpin une veste et je ne me suis pas maquiller...ce n'étais pas priorité pour le moment

Moi: je suis assez bien là?
Aymen: oui t'inquiètes

Puis on s'est on rendu à l'hôpital

[...]
Elle était là fixant le plafond...comme si ce n'étais la seule chose qui lui restait à faire

Aymen: je vais à la cafétéria nous prendre un petit truc occupé toi delle *chuchote*

Je me contente de lui faire un signe d'acquiescement...

Yemma: Sanaa ma fille chérie
Moi: je suis là yemma
Yemma: je suis désolé pour tout le mal que je t'ai fais...je ne te détestait pas c'est juste que la mort de ton père m'a beaucoup affecter...il est mort sur le chemin du retour lorsqu'il venait de t'accompagner à la natation...alors je t'es prise pour responsable de la disparition de mon mari...je m'en voulais quand tu pleurais lorsque je levais la main sur toi...du coup je te frappais encore plus...benthi je suis désolé...tu es la seule chose qui me reste dans ce monde...je ne veux pas partir sans avoir fait la paix pardonne moi hefeck

Je me suis mise à pleurer....les larmes coulaient à flot...bien sûre que je la pardonne...malgredtiut ce qu'elle me faisait subir je n'ai jamais cesser de l'aimer et la respecter comme ma mère

Au même moment Aymen entre dans la pièce...

Aymen: bonjour madame
Yemma: appel moi khelti Bouchra
Aymen: okay
Yemma: alors tu rend ma fille heureuse ?
Aymen: eh bien
Moi: oui c'est un homme bon avec moi...mais c'est que le début hynnnn
Yemma: si tes heureuse je suis heureuse

Sauf que je ne suis pour heureuse

Aymen: tiens je tes pris deux muffins au pépites de chocolat un flan et une limonade

Moi: comment ta su ?
Aymen: su quoi ?
Moi: ce que j'aimais
Aymen: j'ai juste pris ce que je prendrai a ta place
Moi: peu importe merci
Aymen: je t'en pris

Yemma: que vous êtes mignon...je me revois avec ton père Allah y rahmo dans les débuts...il m'aimait mais il faisait le dure
Moi: vous vous aimiez beaucoup
Yemma: a la folie

Aymen: je vous laisse
Moi: nan reste
Aymen: vous avez besoin d'intimité je reviens après t'inquiètes

Puis il s'en est allé...

J'ai beaucoup parler avec ma mère...je lui ai pardonné je n'ai aucune rancoeur envers elle...

Il est exactement 19h45 lorsqu'on sort de l'hôpital...l'heure des visites est terminé

Je suis en voiture avec Aymen...je suis plongée dans mes pensées je pense et repense à ma mere...je ne veux pas qu'elle meurt...je l'aime tellement malgré tout

J'étais mal et angoisser...les larmes étaient proches...lorsque je sens une main sur ma cuisse

Aymen: t'inquiètes pas ça va aller

Je me suis contenter de lui faire une petit sourire puis on a rouler jusqu'à la maison.

Après être descendu je suis directement monter prendre un bain...puis j'ai enfiler un peignoir pendant que je brossais mes cheveux devant la coiffeuse...

Je me regardais...j'observais mon visage dans le miroir...je réfléchissais à ma vie...du début jusqu'à aujourd'hui...je suis pas heureuse et je ne suis pas non plus malheureuse...je respire c'est  l'important...

Au même moment la porte s'ouvre sur Siham...

Siham: coucou Sanaa
Moi: coucou Siham ça va ?
Siham: oui je suis venu te faire un câlin parce que j'ai senti que tu étais triste
Moi: viens par la

Je lui ai ouvert mes bras et je l'ai serrée très fort...Sur cette terre c'est bien la seule qui m'a aimée dès les premier coup d'œil...

Moi: je t'aime Siham
Siham: moi aussi maman

Mon cœur s'est serré à l'entente de ce mot...elle m'a appeler maman...Je ne sais pas si vous vous en rendez compte...elle me considère comme sa mère....

Moi: tu as dit quoi ?
Siham: ça te dérange que je t'appelle comme ça ? Parce que tu es la mère que je n'ai jamais eu tu m'autorises à t'appeler comme ça ?
Mo: mais bien sure que je t'autorise mon coeur

Je l'ai serrée dans mes bras à nouveau...je l'aime comme si c'est moi qui l'avait mise au monde...c'est ma petite fierté...

Siham: on doit descendre c'est l'heure du dîner
Moi: allons y