Chapitre 56: Harry Potter est mort !

1.4K 58 6
                                        

Long Chapitre ! Bonne lecture

Je retourne avec Harry dans la grande salle, il tourne la tête vers moi et je compris que se serais peut être la dernière fois que je le vois vivant.
-Fait attention à toi. Fait ta vie comme tu le décides, ne laisse personne te dire se que tu dois faire. Je t'aime Aria.
-Toi aussi fait attention. Je t'aime Harry.
Je le prend dans mes bras et me sépare de lui pour le laisser partir. Sa me brise le cœur de la laisser partir sans rien pouvoir faire. Je me tourne vers la salle où toute les personnes encore vivantes pleures là morts de leurs amis ou leurs famille. George est assis sur un banc et je le rejoins.
-Ça va ?
Il lève la tête et il me pris dans ses bras.
-Oui...Désolé pour ton père.
Je baisse la tête et une larme coule sur ma joue.
-Mon père était quelqu'uns de bien...
Il m'embrasse et je pose mon front sur le siens.
Une heure et passer depuis que Harry m'a quitter et la peur dans mon ventre ne fait que de grandir.
-Venez dans la cour !
Un élève de Poufsouffle cria et partie sans attendre. Je me lève et court presque dans la cours qui se trouve devant l'école. Des mangemorts, ils sont tous là. Je regarder un peu plus sur la gauche et vois Hagrid et dans ses bras le corps sans vie de Harry. Ma main pars devant ma bouche et les larmes coules sur mes joues.
-Harry Potter est mort !
Voldemort rigole.
-Non !
Ginny cours pour retrouver les bras de son bien aimé mes son père là retiens.
-Non !
-NON !
Les voix de Hermione et Ron était pris que celle de Ginny. La foule prit le relais, hurlant, vociférant des injures à l'adresse des Mangemorts jusqu'à ce que...
-TAISEZ-VOUS ! s'exclama Voldemort.
Il y eut un bang !, un eclair de lumière brillante et ils furent réduits par la force au silence.
-C'est fini. Pose-le par terre, Hagrid, a mes pieds, c'est la qu'est sa place !
Hagrid se dirigea vers Voldemort et posa Harry à ses pieds.
-Vous voyez ? continua Voldemort.
Il recula et se remis à coter de Harry.
-Harry Potter est mort ! Comprenez-vous maintenant, vous qui vous êtes bercés d'illusions ? Il n'était rien, n'a jamais rien été, qu'un jeune garçon qui voulait voir les autres se sacrifier pour lui !
-Il vous a battu ! s'écria Ron
Les défenseurs de Poudlard se remirent à hurler, a vociféré jusqu'à ce qu'un deuxième bang! plus puissant que le premier étouffe à nouveaux leurs voix.
-Il a été tué en tentant de s'enfuir subrepticement par le parc du château , repris Voldemort-on sentait dans sa voix qu'il délectait de son mensonge-, il a été tué en essayant de sauver sa propre vie.
Neuville failli de la foule.
-Qui est-ce ? demanda Voldemort de sa voix douce semblable à un sifflement de serpent. Qui s'est porté volontaire pour montrer à quel sort doivent s'attendre ceux qui poursuivent le combat lorsque la bataille est perdue ?
Bellatrix eut un rire ravi.
-C'est Neuville Londubat, Maître ! Le garçon qui a causé tant d'ennuis aux Carrow ! Le fils des Aurors, vous vous souvenez ?
-Ah oui, je me souviens, dit voldemort en regardant Neuville. Mais tu es un Sang-Pur, n'est-ce pas, mon garçon, toi qui es si courageux ? demanda Voldemort à Neuville qui lui fessait face en serrant ses poings vides.
-Et alors ? répliqua Neuville d'une vois sonore.
-Tu as montré du caractère et de la bravoure et tu es issu d'une noble lignée. Tu fera un précieux Mangemort. Nous avons besoin de gens comme toi, Neuville Londubat.
-Je le rallierai à vous quand il gèlera en enfer ! répondît Neville. L'armée de Dumbeldore ! s'écria-y-il.
En réponse, nos acclamations s'élevèrent même les sorts de Voldemort ne peut faire taire.
-Tres bien, dit Voldemort. Si tel est ton choix, Londubat,  nous allons revenir au plan d'origine. Ce sera sur ta tête, dit-il a mis voix, que ça se passera.
Voldemort brandis sa baguette. Quelques secondes plus tard, surgissant de l'une des fenêtres fracassé du château, quelque chose qui avait l'air d'un oiseau difforme vola dans la demie obscurité et atterrit sur la main de Voldemort. Le tenant par son extrémité pointu, il secoua l'objet moisi qui se déplie et pendît au bout de ses doigts, vide et effilochée : le choixpeau magique.
-Il n'y aura plus de répartition au collège Poudlard, annonça Voldemort. Il n'y aura plus de maison. L'emblème, le blason et les couleurs de mon noble ancêtres, Salazar serpentard, suffiront à chacun, n'est-ce pas, Neville Londubats ?
Il pointa sa baguette sur Neville qui se raidit , immobile, puis il lui enfonça le choixpeau sur la tête jusqu'au dessous des yeux.
-Neville va maintenant nous montrer ce qui arrive aux gens suffisamment sots pour s'opposer à moi, dit Voldemort.
Et d'un coup de baguette,il mis le feu au choixpeau magique. Neville était en flammes, incapable de bouger. beaucoup de choses se produisirent alors en même temps. Ils entendirent au loin un grand tumulte, en provenance du mur d'enceinte de l'école. À en juger par le bruit, des centaines de personnes escaladèrent les murailles qu'on ne pouvait voir d'ici, et se précipitèrent vers le château en lançant des cris de guerre. Au même moment, Graup, de sa démarche pesante apparu au cours du château et hurla
-HAGGER !
Des rugissements des géants de Voldemort le répondirent. Il courait vers Graup comme des éléphants, en faisant trembler la terre. Puis des bruits de sabots et des claquement d'arcs résonnèrent  et des flèches ça bâtir soudain parmi les mangemorts qui rompirent les rangs, poussant des cris de surprises. Je regarde alors le corps de Harry et le vis se lève d'un coup. Neville s'était libéré du maléfice. Le choixpeau enflammer tomba de sa tête et il tira de ses profondeurs un objet argenté, avec une pointe incrusté de rugby étincelant...
D'un coup unique Neville trancha la tête du serpent. Elle tournoya haut dans les airs, luisants dans la lumière qui déversait le hall d'entrée. La bouche de Voldemort s'ouvrît dans un cri de fureur que personne ne put entendre et le corps de serpent s'abattit lourdement à ses pieds...
Le chaos total. Le sang couler à flot et les corps tomber à la chaîne. Ma baguette lança des sorts à n'en plus pouvoir et ma tête tourner dans Ron les sens en évitant les sorts qui mettait lancer. Je vis alors McGonagall affronter Voldemort. J'étais dos à Georges et sa main me tenait fermement. Bellatrix se battre contre Hermione, Ginny et Luna. Un sortilège de mort passe à deux centimètre de Ginny et faillit la tuer...
-PAS MA FILLE, ESPÈCE DE GARCE !
Tout en courant, Mrs Weasley se débarrassa de sa cape pour avoir les mains plus livré. Bellatrix pivota sur ses talons et éclata d'un grand rire en voyant sa nouvelle adversaire.
-ÉCARTEZ-VOUS ! cria Molly au trois filles.
Dans un grand mouvement de baguette, elle engagea le combat. Le sourir de Bellatrix s'évanouit, se transformant en rictus. Des traits de lumière jaillissaient des deux baguettes, le sol autour des deux sorcière était brûlant, craquelé. Les deux femmes se livraient un duel à mort. Je m'avance pour l'aider mes me stoppa.
-Non ! s'exclama Molly. Reculez ! Reculez ! Elle est à moi !
-Qu'arrivera-t-il à tes enfants quand je t'aurais tuée ? railla Bellatrix, aussi démente que son maître, faisant des bonds pour éviter les maléfices qui dansaient autour d'elle. Quand maman sera partie de la même manière que Freddie ?
-Tu...ne...toucheras...plus jamais...à nos...enfants ! hurla Molly
Bellatrix éclata de rire, du même rire exultant qu'avait eu son cousin Sirius avant de basculer en arrière à travers le voile. Le maléfice de Molly passa sous Le Bras tendu de Bellatrix et la frappa en pleine poitrine, juste en dessous du cœur. Le sourire jubilant de Bellatrix se figea, ses yeux semblèrent sortir de leurs orbites. En une fraction de seconde, elle comprit ce qui était arrivé, avant de basculer et de s'abatte sur le sol. Ses rugissement s'élèvent de la foule Voldemort poussa un cri. McGonagall, Kingsley et Slughorn furent projetés en arrière, le corps tendu, battant l'air de leurs bras. La fureur de Voldemort en voyant tomber son dernier et meilleure lieutenant avait explosé avec la puissance d'une bombe. Voldemort lève sa baguette et la pointa droit sur Molly Weasley.
-Protego !
Je tourne la tête et vois Harry.
-Harry ! IL EST VIVANT ! hurle de toute pars de la salle. La foule avait peur et le silence tomba brusquement, un silence total, lorsque Voldemort et Harry s'observèrent et commencèrent à tourner l'un autour de l'autre.
-Que personne n'essaye de m'aider, lança Harry avec force.
Je le regarde et nos yeux se rencontre une micro seconde.
Dans le silence complet, sa voix résonna comme la sonnerie d'un clairon.
-Il faut qu'il en soit ainsi. Il faut que ce soit moi.
Voldemort émit un sifflement.
-Ce n'est pas ce que veut dire Potter, répliqua-t-il, ses yeux rouges grands ouverts. Ce n'est pas comme ça qu'il se comporte. Qui vas-tu utiliser comme bouclier, aujourd'hui, Potter ?
-Personne, repondit simplement Harry. Il n'y a plus d'Horcruxes. Il n'y a plus que vous et moi. Aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit, et l'un de nous vas partir pour de bon...
-L'un de nous ? ricana Voldemort.
Tous son corps était tendu, ses yeux rouges avaient le regard fixé, on aurait dit un serpent prêt à frapper.
-Tu penses que c'est toi qui vas l'emporter, n'est-ce pas, celui qui a survécu par hasard et parce que Dumbelodore tirait les ficelles ?
-C'était un hasard quand ma mère est morte pour me sauver ? rétorqua Harry.
Tous deux continuaient de se déplacer de côté, décrivant un cercle parfait qui maintenait toujours la même distance entre eux.
-Un hasard lorsque j'ai décidé de combattre dans le cimetières ? Un hasard lorsque, ce soir, j'ai renoncé à me défendre et que j'ai quand même survécu pour revenir me battre ?
-Des hasard ! s'écria Voldemort.
J'étais pétrifié.
-Le hasard et la chance et aussi le fait que tu te réfugiais et pleurnichais dans les robes de sorcières et de sorcier plus grand que toi, des hommes et des femmes que tu me laissais tuer à ta place !
-Vous ne tuerez plus personne, cette nuit, assura Harry.
Ils continuaient de tourner en cercle, face à face.
-Vous ne tuerez plus personnes, plus jamais. Vous ne comprenez donc pas ? J'étais prêts à mourir pour vous empêcher de faire mal à ceux qui sont ici...
-Maïs tu n'es pas mort !
-J'en avait l'intention et c'est cela qui a tout déterminé. J'ai fait ce que ma mère avait fait. Ils sont protégés, vous ne pouvez plus les atteindre. N'avez vous pas remarqué qu'aucun des sortilèges que vous leurs avez jetés n'a eu d'effet ? Vous ne pouvez pas les torturer. Vous ne pouvez pas les toucher. Vous n'avez rien appris de vos erreur, Jedusoe, n'est ce pas ?
-Tu oses...
-Oui, j'ose, affirma Harry. Je sais des choses que vous ne savez pas, Tom Jedusoe. Je sais des choses très importantes que vous ignorez complètement. Vous voulez que je vous en dise plus, avant que vous ne commettiez une autre grande erreur ?
Voldemort ne repondit rien, il continua simplement de tourner en cercle.
-S'agit-il d'amour, encore une fois ? demanda Voldemort. La solution préférée de Dumbledore, l'amour, dont il prétendait qu'il était plus fort que la mort. Mais l'amour ne l'a pas empêcher de tomber de la tour et de se briser comme une vieille figure de cire. L'amour, qui ne m'a pas non plus empêcher d'écraser ta Moldue de mère comme un cafard, Potter...mais cette fois, personne ne semble t'aimer suffisamment pour courir à ton secours et recevoir mon sortilège à ta place. Alors, qu'est-ce qui te protègera de la mort lorsque je frapperai ?
Faux je peux mourir pour Harry.
-Une simple chose, dit Harry.
Ils tournaient toujours en cercle, absorbés l'un par l'autre.
-Aujourd'hui, ce n'est pas l'amour qui te sauvera, reprit Voldemort. Tu dois croire que tu possèdes une magie dont je serais dépourvu, ou peut être une agile plus puissante que la mienne ?
-Les deux, je pense, réplique Harry.
Je vis alors passe sur le visage de serpent une expression de stupeur qui se dissipa aussitôt. Voldemort se mis à rire et son rire était plus effrayant que ses cris, un rire sans humour, un rire de fou, qui résonna en écho dans me Grande Salle silencieuse.
-Toi, tu pense connaître davantage de magie que moi ? lanca-t-il. Que moi, Lord Voldemort, moi au accompli des aces de sorcellerie dont Dumbledore lui même n'aurait jamais rêvé ?
-Oh si, il en a rêvé, repondit Harry, mais il en savait plus que vous, il en savait suffisamment pour ne pas faire ce que vous avez fait.
-Tu veux dire qu'il était faible ! s'écria Voldemort. Trop faible pour oser, trop faible pour s'emparer de ce qui aurait pu être pour lui, de ce qui sera à moi !
-Non, il était plus intelligent que vous, dit Harry, meilleure que vous, comme sorcier, et comme homme.
-C'est moi qui a provoqué la mort d'Albus Dumbledore !
-Vous croyez cela, mais vous vous trompez, affirma Harry.
-Dumbledore et mort !
Voldemort jeta ces mots à la tête de Harry comme s'ils avaient pu lui infliger une douleur insupportable.
-Son corps de décompose dans sa tombe en marbre, dans le parc de ce château, je l'ai vu, Potter, et il ne reviendra pas !
-Oui, Dumbledore est mort, dit Harry d'une voix calme, mais ce n'est pas de votre fait. Il a choisi sa propre façon de mourir, il l'a choisie des mois avant le jour de sa mort, il a tout arrangé avec l'homme dont vous pensiez qu'il était votre serviteur.
-Quel est encore ce rêve puéril ? interrogea Voldemort.
-Severus Rogue n'était pas des vôtres, reprit Harry. Rogue était dans le camp de Dumbledore, dans son camp depuis le moment où vous avez commencé à traquer la mère. Vous ne vous en êtes jamais rendu compte, à cause de cette chose que vous ne pouvez comprendre. Vous n'avez jamais vu Rogue produire un Patronus, n'est ce pas, Jedusor ?
Les larmes coules sur mes joues, Harry parle de mon père comme a héros et je lui en remercie.
-Le Patronus de Rogue était une biche, poursuivit Harry, la même que celle de ma mère et ma demi sœur, parce qu'il les a aimées pendant presque toute sa vie. Vous auriez dû vous en apercevoir.
Les narines de Voldemort frémir.
-Il vous a demandé d'épargner la vie de ma mère, n'est ce pas ?
-Il la désirait, voilà tout, lança Voldemort d'un ton méprisant, mais quand elle est morte, il a admis qu'il existait d'autre femmes, et d'un sang plus pur, plus digne de lui...
-Bien sur, c'est ce qu'il vous a dit, répliqua Harry, mais il restait toujours liée a la mère grâce à sa fille, il est devenu l'espion pour le compte de Dumbledore dès le moment où vous avez menacé ma mère et depuis ce temps, il a toujours travaillé contre vous ! Dumbledore était déjà mourant lorsque Rogue l'a achevé !
-Cela n'a aucune importance ! s'écria Voldemort d'une voix aiguë.
Il gloussa.
-Cela n'a aucune importance de savoir si Rogue était dans mon camps ou dans celui de Dumbledore, ou quels médiocres obstacles ils sont essaye de placer sur mon chemin ! Je l'es ai écrasés comme j'ai écrasé ta mère, la prétendu grand amour de Rogue ! Mais tout cela est très logique, Potter, et dans un sens que tu ne peux pas comprendre !
« Dumbledore a essayé d'empêcher que je m'empare de la Baguette de Sureau ! Il voulait que Rogue devienne le vrai maître de la baguette ! Mais je suis arrivé avant toi, petit bonhomme...Je me suis procuré la baguette avant que tu me rattrapes. J'ai tué Rogue il y a trois heures et la Baguette de Sureau, le Bâton de la Mort, le Baguette de la Destinée, m'appartient véritablement, désormais ! Le dernier plan de Dumbledore a échoué, Harry Potter !
-En effet, reconnu Harry. Vous avez raison. Mais avant que vous ne rentier de tuer, je vous conseillerais de réfléchir à ce que vous avez fait...Réfléchissez et essayez d'éprouver un peu de remords, Jedusor....

Chapitre long ! Je sais mais dite moi si vous aimez cette confrontation ? Je continue ou je passe directement à la mort de Voldemort ?

La fille de Severus RogueWhere stories live. Discover now