CHAPITRE 37

163 12 4
                                    

COUCOU MES COURGETTES !!!!!!!! Je vois que mon histoire vous plait et ça me fait plaisir et que vous détestez attendre le prochain chapitre mais bon on ne mange pas les courgettes cru, il faut qu'elles cuisent avant alors maintenant que que j'ais finit mon chapitre je vous souhaite un bonne lecture !!!!!


PDV Harold:

Ma mère et moi avions terminer de manger jusqu'à ce quelle me pose une question a propos de la prophétie que je lui avait dit:

<<Hum, Harold c'est tu qui est la Mère Des Dragon ?

- Non, mais je cherche encore, la prophétie dit que seul son fils pourras la trouvée.

- Hé bien tu na plus a chercher maintenant.

- Pourquoi ?

- Je suis la Mère Des Dragons, enfin c'est ce que disent les Chasseurs De Dragons et les hommes de Drago.

-....Ho c'est trop géniale ! Mais je comprends pas un truc,...Astrid !!?

- Présente !!

- Est ce que tu as protégés les dragons récemment ?

- Heu, elle m'a aidée a les secourir et a les soignés, pourquoi ?

- Donc tu as finit ta mission ?

- J'en sais rien moi ont verra bien.

- Maman, c'est qui ce Drago ?

- Un ennemi de longue date, au dernière nouvelle il a tuer Alvin Le Traitre avec son armé de dragons c'est pour ça qu'il faut que je l'arrête et Astrid et toi pourrais m'aider si vous le voulais.

- Maman c'est-tu ou il vas attaqué ?

- Ici normalement, enfin quand il auras trouvé ma cachette, mais les dragons qui s'y trouvent sont pour la plupart blessés et ne peuvent pas se battre, et l'Alpha ne doit pas tombé entre ces mains.

- Et si ont les déplaçaient !

- Oui mais ou ?

PDV Astrid:

- Astrid tu pense a la même chose que moi ?

- A cent pour cent mon Dragonnier !!

- Hey !

- Désoler Krok, c'est un surnom.

- Ha OK.

- Maman, nous partons pour Beurk !

- Harold, tu es sur ? Et qu'est ce que ton père vas penser de tout les dragons qui vont arrivés, et tu te souvient de ce que tu m'a dit: il ne veut plus aucun dragons dans le village.

- Je vais le convaincre.

- Harold, j'aime ton idée mais j'ai bien peur qu'elle ne tienne pas.

- Maman, je suis doué pour ça, et si je l'ais fait une fois, alors je pourrais le faire un deuxième fois.

- J'espère que tu a raison, bon préparons nous.>>

Je sortie dehors accompagné de Krokmou et Jumper pour aller voir notre chef et lui annoncé les plans de Valka.

Tous le monde était fin près pour prendre la direction de Beurk, je volais a coté de Krokmou et Harold, Valka (qui avait mis son armure) et Jumper était juste derrière nous.

Étant donné que nous étions partis hier en fin d'après-midi, nous avions volés de nuit puis nous vîmes enfin l'ile de Beurk. Krokmou commençais a accéléré donc je fis de même, enfin nous nous posâmes sur la terre ferme. Le village était désert, soudain une personne que je reconnaissais bien de loin: Geulfor sorti de la Grande Salle puis y rentra et ressorti avec le chef du village et avança vers nous a grand pas.

<<HAROLD !!!!

- Salut papa.

- C'EST QUOI TOUT CES DRAGONS TU AS OUBLIE LE RÈGLEMENT OU QUOI !!!!???

- Papa, s'il te plait calme-toi.

Tout les dragons de Valka c'était posés près de la falaise de l'ile puis Jumper atterrit avec Valka qui descendit avec son bâton et n'avait pas enlever son masque.

- VOUS, QUI ÊTES VOUS ET QU'EST CE QUE VOUS VENAIT FAIRE SUR MON ILE AVEC VOS DRAGONS !!!??

- Papa, calme-toi, et, Geulfor apporte une chaise pour mon père s'il te plait !

- NON !!! Dit moi qui est-tu toi !?

Valka soupira au-travers de son masque et l'enleva. Pour Stoick ce fut le choque car il laissa tomber son épée qu'il venait de sortir de son fourraut.

- Je sais ce que tu vas dire, Stoick, je le sais: comment j'ai pus faire ça ? Pourquoi je ne suis pas revenue pour toi, pour notre fils ? Et bien, quel preuve j'avais que tu pouvais changé Stoick, que quiconque sur Beurk pouvaient changés, je vous ais implorée tellement de fois d'arrêtés de vous battre mais est ce que quelqu'un m'as écouter ?

- C'est pour ça que je me suis jamais marié, ça et puis une autre raison.

Harold et moi nous jetions un regard interrogateur sur ce que venait de dire Geulfor, mais n'y pétèrent pas attention, nous reportant sur Valka et Stoick

- Je sais que je t'es laissé élever Harold tout seul, mais j'ais eu tors et je le sais maintenant, mais arrête d'être aussi stoïque, stoïque, allons hurle si tu le veux mais dit moi quelque chose !

-...Tu es aussi magnifique que le jour ou je t'aie perdue.

Alors que tout le village étaient présent et restaient muet, Soick embrassa Valka comme pour lui montrer qu'il ne l'avait jamais oublié.

A SUIVRE....

À la vie, À la mort [Terminée]Where stories live. Discover now