CHAPITRE 8 : VENGEANCE

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Bashir, une fois arrivé cache le couteau à l'arrière de son pantalon, crache sur ses mains et les passe sur ses cheveux afin de les plaquer en arrière. Il arrive face à la secrétaire et dit en portugais approximatif : "Moi chercher Hamid, moi être ami patron", la secretaire se crispa et lui indiqua le chemin du bureau de Hamid en tremblant.

Bashir avance donc lentement vers le bureau, se met à trottiner, puis à courir, et enfin effectue un saut tout en levant sa jambe droite à quatre-vingt-dix degré afin d'ouvrir la porte avec force et détermination. Hamid surprit s'écria : "Q-Qu'est ce que tu fais ici !! Bashir je peux tout t'expliquer ! ", Bashir passe sa main à l'arrière de son pantalon, saisit le couteau et dit à Hamid : "Pourquoi t'as fait ça, je pensais que nous étions amis toi et moi. Pour venir ici j'ai vendu tous les moutons de ton père, celui-ci dois être à la rue maintenant et toi tu vas mourir sale traître !" après cette phrase, Bashir fit tournoyer le couteau dans sa main et le lança sur Hamid, celui-ci atterit entre les deux yeux d'Hamid, il mourût sur le coup.

La vengeance de Bashir était donc accomplie mais il avait du sang sur les mains, en effet il avait tué trois personnes depuis le début de son périple. La secrétaire quant à elle, avait appelé la police dès l'arrivée de Bashir car une fois Hamid ayant prit ses précautions lui dit : "Si un jour un homme se crache dans les mains puis les passe dans ses cheveux afin de les lisser et cherche à me voir, indiques lui mon bureau et appelles la police." avant de se réconforter en ajoutant : "Mais bon sa n'arrivera jamais car cet imbécile est trop pauvre."

Bashir, à sa sortie des locaux, se fait arreter par la police brésilienne, ces derniers le mettent à l'arrière du véhicule et l'embarque au poste. Durant le trajet il reste pensif sur sa vie et se dit qu'elle a été gachée à cause de son "ami".

LE DESTIN HORS DU COMMUN D'UN JEUNE IRAKIENOn viuen les histories. Descobreix ara