Chapitre 35

104 7 0
                                    

******Dans la peau de kadi*******
Lui: Alors t'es là pourquoi ?

Moi: Bah au fait. Je voulais te parler d'un truc.

On venait d'arrivé chez mes parents. Il faisait déjà nuit en fait.

Lui: Vas y parle maintenant.

Moi: Au fait. Concernant nour. Tu sais ce jour là où vous l'avez adopté toi et kadidja.

Lui: Hummm

Je sais vraiment pas si je dois lui dire de cette façon. Mais je crois que je devrais.

Moi: Tu sais quand j'avais 13 ans j'ai été violé par un homme que je ne connais même pas. Je préfère même oublier qu'il existe.

Lui: je suis désolé. Tu méritais pas ça. Je crois que celui qui t'as fait ça il doit regretter.

Moi: Ça n'a aucune importance.

Lui: Je peux te faire un câlin ?

Bahhhh il est si bizarre lui. Pourquoi un câlin ?

Moi: Oui vas y.

Il m'a fait un câlin.

Lui: Je vais pas te mentir kadi. Je t'aime.

Mais qu'est ce qu'il me raconte.

Moi: Mais t'es le mari de kadidja.

Lui: On s'en fou d'elle. T'as juste qu'a me dire que tu m'aime aussi et on partira d'ici avec nour et Salim. Loin super loin. On refera notre vie. Ensemble.

Là il me fait rêvé mais kadidja elle mérite pas ça.

Moi: D'accord. Mais tu sais c'est pas bien.

Lui: Okay okay. Je vais pas te bousculer. Mais je sais qu'un jour tu me telephoneras et tu me diras que tu veux partir avec moi.

Moi: Allé faut qu'on rentre à la maison maintenant.

Luu: Okay.

On a sonné. Et c'est Karim qui nous a ouvert.

Quand je l'ai vu ça m'a fait un choc. Il a tellement grandit karim. Déjà il ressemble à un homme.

Moi: Karim? mais t'as changé. Karim mon petit frère. Mon chéri.

Je lui ai fait un câlin je voulais même pas le laisser.

Lui: Mais c'est bon kadi arrête faut qu'on se lâche maintenant.

Moi: D'accord.

Lui: Allez Red donne les clés je vais chercher ses valises dans le coffre.

Redouane: Je vais t'aider.

Moi je suis allé au salon espérant trouver papa et maman mais j'ai plutôt trouver maman dans la cuisine.

Moi: Maman.

Je vais pas vous mentir elle m'a tellement manqué. Je l'aime tellement. Et je sais qu'elle aussi elle m'aime.

Je m'en veux de ne les avoir ignorés ces dernières années. C'est parce-que j'étais jalouse de l'attention qu'elle et papa accordait à kadidja.

Mais je les aimes.

Maman: Ahhh ma fille. Tu m'a tellement manqué. Mais regarde toi. T'es une vraie femme maintenant. J'aurai tellement aimé te voir grandir.

Moi: Allé maman. Ne t'inquiète pas. Maintenant je vais rester avec vous maman je vais plus partir.

Elle: Mais pourquoi ?

Moi: Promis je t'expliquerais demain.

Elle: Ah dans mes bras ma fille. Tu es si belle.

La GuerriaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant