Chapitre 77

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*******Dans la peau de Kadira**********

_____Le Lundi matin  a 8h

Je me suis réveillé en trombe. Je viens de me rendre compte qu'il fait jour et je suis pas prête pour le boulot. Putain.

Moi: Ichaaaammmm.

Il s'est réveillé en sursaut.

Lui: Quoi? Quoi?

Moi: Pourquoi tu m'a pas réveillé. Il est déjà 8h et je suis très en retard.

Lui: Je ne suis pas du tout une alarme.

Il s'est recouché et à recommencer à dormir.
Il m'énerve là.

Moi: Flemard vaaa. C'est normal que tu sois pas une alarme. Tu fais rien de tes journées.

Quand il a entendu ça il m'a regardé avec un œil et il l'a refermé.

J'étais debout entrain de m'habillé vite fait. Pas le temps de me doucher.

Pfffff. C'est sa faute si hier j'ai pas réglé l'alarme de mon phone. C'est sa faute. Il me laisse jamais tranquille. Mais merde.

C'est impossible que je me fasse pas remarquer.

Mon patron et moi on se partage la même unité. Nos bureaux sont côte à côte. Il est sans doute venue me chercher il m'a pas trouvé.

Merde merde. Ichaaaaaam.

Moi: Espèce de gros lard qui fait rien que manger manger manger.

Il s'est levé et il m'a mise à la porte de la chambre.

J'ai mis mes chaussures au salon et avant de partir je lui ai crié " Gros paresseux"

J'ai pris ma voiture Nour et Salim sont venue m'ouvrir le garage. Je leur ai dit d'être sage que je reviendrait à 18h.

Je me suis barré à toute vitesse.

En pensant à comment on allait se débrouiller la semaine prochaine. Les enfants recommence l'école. Normalement c'est aujourd'hui la rentré mais à cause de tonton icham nous n'avons pas eu le temps de nous organiser.

Il avait promit d'inscrire les enfants à l'école mais il l'a pas fait. Y'a rien pour les enfants. Putain. Je peux pas tout faire moi.

Bref Icham devient très paresseux.

Lorsque je suis arrivé au boulot je me suis rendu compte que j'avais oublier mon dossier. Merde encore une fois merci Icham.

Hummmm. J'ai quitté le parking en courant. À l'accueil y'avait Alima.

Elle: Dépêche toi Dépêche toi. Le PDG est là .

Moi: Merde.

le PDG c'est le père à mon patron. Il vient pas souvent au boulot mais quand il vient c'est pour faire chier tout le monde.

Et là je suis en retard prions pour pas qu'il ai déjà remarqué.

Dans mon couloir Dieu merci y'avait personne.

Mais bizarrement la porte de mon bureau était ouverte.

Je me suis arrêté un moment parce que je me rappelle pas l'avoir laissé ouverte.

Je me suis approché doucement pour voir qui était à l'intérieur. J'avais peur un peu. Imaginez c'est Rédouane qui revient me faire la peau.

Et merde. Celui que je voulais à tout prix éviter.

C'était mon patron.

Il me regardait avec un visage. Sérieux je savais pas quoi faire. Je sais vraiment pas c'est quoi son humeur du jour. J'arrive pas à voir s'il est énervé ou heureux ou bien s'il s'en fou de tout.

La GuerriaOnde histórias criam vida. Descubra agora