Le NⓄuveαu MⓄnɗe - [EreRiren]

C'est qui cette pétasse ?!

Année humaine 2027.

Quand ma bouche fut totalement ouverte, un des scientifique me fit gober de force une petite bille verte. Le goût était amer et désagréable, mais je fus obligé de l'avalé.

Petit à petit, les visages au dessus de moi devinrent flous, un comme lorsque l'on regarde quelqu'un sous l'eau. Puisse fut les couleurs elles mêmes qui commencèrent à disparaître, jusqu'à ne laisser que le noir...

Plus rien à part du noir.

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Je me réveille doucement.

Mes paupières se soulèvent lentement, fatiguées et ankylosées. Et le soleil éblouit et brûle mes pauvres yeux que je m'empresse de refermer en geignant de douleur. Je mets une bonne minute à m'adapter à la trop forte luminosité et pouvoir regarder correctement ce qui m'entour.
Je pousse un hoquet de stupeur en découvrant la pièce où je me trouve.

Je ne suis ni chez moi, ni dans le sorte de laboratoire remplit de scientifiques fous... Mais dans une immense pièce qui transpire le luxe.
Il n'y a pas beaucoup de meubles mais ils sont tous somptueux.
Je suis allongé dans gigantesque lit à baldaquin rouge qui trône au milieu de la chambre. Un chevet sculpté dans une étrange pierre rose est placé à coté. A ma droite se trouve une immense fenêtre grande ouverte, de très grands rideaux aussi rouge que le lit flottent près d'elle.

Je me rends compte que je ne porte plus un pull à col roulé, mais une longue chemise blanche qui doit s'arrête à mi-cuisse. Je ne porte pas de pantalon, ni autre chose d'ailleurs.

Complètement déboussolé par ce changement d'environnement, je me redresse lentement sur le lit et m'y assois. Je passe une main légèrement tremblante dans mes cheveux et me demande avec angoisse où je me trouve.

Les images des scientifiques fous et des humains drogués sont encore très claire dans mon esprit. Je suis certain de ne pas avoir rêvé ! Alors, qu'est-ce que c'est incompréhensible de se retrouver ici...

Je repousse les draps rouges qui recouvrent mon corps et me lève. Après de longues secondes d'hésitations, je me dirige lentement vers la fenêtre et me penche par dessus pour voire l'extérieur.

J'ouvre de grands yeux admiratifs et ravis devant le paysage splendide qui s'étale devant moi.
Un jardin des plus exotiques avec de nombreuse fontaines et bassins parsemés de pétales de fleurs ou de feuilles se trouvent dehors. Il y a aussi de majestueux palmiers, ainsi que d'autres arbres, fruitiers ou fleuris. Le sol est tapissé de divers fleurs aux couleurs vives. Le levé de soleil donne au jardin des allures féeriques.

Émerveille, je contemple ce paradis tropical un long moment, sans faire attention à ce qui m'entour. C'est pour quoi que, lorsque qu'une poitrine se presse contre mon dos et que des bras mince viennent enlacer ma taille, je manque de faire un arrêt cardiaque.

- Qu'est-ce que- ? je m'exclame, complètement pris au dépourvu.

- Je-.... je voulais vous dire, monsieur..., commence une voix féminine provenant de derrière moi, Cela fait longtemps déjà mais... enfin, je pense- Oh ! Et puis zut ! Aux diable les conséquences ! Ce que je voulais vous dire, c'est que... je vous aime...

Elle a chuchoté les derniers mots contre mon oreille. La fille déplace ses mains et pose l'une d'elle sous ma chemise, tandis que l'autre passe doucement et timidement sur ma cuisse droite. Je la sens ensuite se coller un peu plus contre mon dos.