2.Ma propre existance

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(partie 2/3)


Ce n'est que deux jours après que je me suis présenté au manoir. Sir Drean semblait vraiment désolé. Son ami a été maladroit et un peu prétentieux, il a pensé que j'étais de « ses filles là » et pour s'excuser il avait laissé des manuelles neuves à mon attention pour la fac. Ma fierté ma poussée. À me montrer peu reconnaissante mais je voulais bien y croire. Pourquoi pas après tout. Par la suite j'ai appris qu'il était le compte le plus riche de la ville, et qu'il avait eu pas mal d'amantes mais que malgré sa fierté et son orgueil il donnait beaucoup dans les actes de charité. Sir Drean me parlait avec beaucoup d'enthousiasme de son ami et de ses bonnes actions de ses voyages et de leur jeunesse, comment ils s'étaient connu, il savait que j'aimais écouté mais plus le temps passé et que je l'écoutais et plus l'envie de lui dire pour son infidélité me brûlait les lèvres.

Mai. Le temps était nuageux et il y avait un peu de brume. Je m'approchais d'un manoir le pas sérieux et un léger sourire sur les lèvres. Je m'avançai devant l'immense portail de fer noir aux courbes gothiques, je m'arrêtai pour regarder les roses rouges qui dépasser du portail, honnêtement je ne savais pas quoi faire. Entré ? Laisser les livres ici .

- « Tu aimes les roses ? Une voix grave et familière me sortit de mes pensées, et sans surprise je me retournai. J'avais l'habitude de ne pas l'entendre arriver et qu'il soit là, surtout depuis qu'il venait de plus en plus chez Sir Drean, habituellement je ne lui parlait pas le snober ou m'assurer de n'être pas en service quand il est. Je l'ignorai donc et regarda le manoir. Il était bien plus grand que tous ceux dans la ville. Le jeune homme en face de moi repris une mine abattu, surprenant qu'il n'ait pas décidé de laisser tomber et se continua sa discussion.

-Non je n'aime pas les roses rouges. Je les trouve vulgaires. Dis-je un léger amusement dans ma voix. Il parut très surpris de me voir agir ainsi.

-Bien sûr, je parle. Vous en doutiez ? 

-Eh bien tu ne me réponds pas habituellement.

-Et c'est surprenant que vous essayiez toujours de me parler malgré ça. Tes yeux parlé pour toi, à moins que ses sourires en coin ne me soient pas attribués.

-S ils le sont mon seigneur. Pour la première fois je lui souris en face, en réalité je trouvé amusant de le voir autant essayer d'ouvrir un dialogue et ses réflexions son tantôt drôle tantôt intelligent. Je ne put m'empêcher de lâcher un petit rire discret que j'étouffai avec ma main.

-Oh que...

-Je viens vous rendre les manuelles que vous m'aviez gracieusement dépanné, j'ai eu mon diplôme et je passe en classe supérieur, ils ne me sont donc plus utiles.

-Ah...félicitation. Monocorde, je lui remets les livres et m'éloigne. Heu tu veux entrer .                       -Non merci seigneur j'ai du travail qui m'attend... Devrai-je lui dire maintenant ? Je me torturai l'esprit. Heum, Seigneur Windell ?

-Je t'écoute .

-En fait. Mon amie Abbygaëlle, qui est la fiancée de Sir Drean est... Elle est volage et trompe Dir Drean avec un autre homme... Vous êtes le meilleur ami de Sir Drean. Vous devez l'aider...

-C'est donc ça... » et il promit de m'aider, ensemble nous nous sommes rendu à la villa Atena ensemble et Windell pris à part son ami. Lorsque Windell parti il ne dit pas un mot. Mais le sort en était jeter, Abbygaëlle était enceinte de son amant et Drean était persuadé qu'il était de lui, elle avait raison, il était fou d'elle au point de renier l'évidence. Pour combler le tout Abbygaëlle dit que c'était moi qui avais lancé cette fausse rumeur de jalousie envers elle et Sir Drean me mis une gifle et m'envoya à la porte. Je venais de perdre mon gagne-pain.

Il pleuvait et j'avais faim et j'avais froid. Et faim. Le rentré des classes n'était que dans 2 mois mais d'ici là je serai morte de faim ou de froid. Désespérer et errante sur la route je m'écroulai épuisé. Lorsque je ne sentis plus les gouttes d'eau au-dessus de ma tête je levai les yeux. Le Seigneur Windell tenait un parapluie au-dessus de moi, il portait son long manteau noir et ses yeux rouges me regardaient. Il a bien vu que je n'avais nulle part ou aller et ma proposé de venir avec lui. J'ai accepté juste épuisé et affamé... Son manoir était immense et très joliment décoré. Il m'a présenté un repas fait par ses servants. j'ai était tout de suite surprise par le manque de présence féminine. Après avoir pu manger à ma faim. Il me demanda de le suivre dans le salon où je lui fis mon récit des dernières semaines et de ce qui s'était passé. Il m'a alors fait la proposition de rester travaillé pour lui.

Je n'avais pas d'autres options de toute façon, mais me laisser le choix étais tout de même galant de sa part.






Ici l''auteur" : Ah me revoilà... hum c'est assez étrange de partager ça cependant j'espère que ça vous plaira sincèrement. Prenez soin de vous tous ! 

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⏰ Last updated: Jul 21, 2019 ⏰

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Récit de la nuitWhere stories live. Discover now