Écrits en pagaille !

Amor

Dans la salle de bain, Haru était entrain de batailler avec son noeud papillon a motif damier, emmêler dans ses cheveux. La jeune fille était tomber de fatigue la nuit précedente et ne l'avait pas retirer ni pour dormir, ni de la journée. Sa vue fût soudainement masquée par deux grande et pâle mains. Elle lâcha un léger hoquet de surprise avant de soupirée, faussement excédée, à demi-voix.

- Kokichi...

Malgré toute les personne encore présente dans la maison et susceptible de venir la taquiner, elle n'avais besoin de rien pour devinée qu'il s'agissait de l'homme avec qui elle partageait sa vie. Que ce soit le léger parfum de lavande du jeune homme, les cheveux ondulés qui cartes sait imperceptiblement sa nuque, le métal froid de la bague à son annulaire, contre sa joue, ou la proximité entre leur deux corps et le souffle chaud du jeune homme s'echouant dans son cou, il n'y avait pour elle aucun doute sur l'identité de cette personne. Elle devinait la moue boudeuse du jeune homme avant que celui-ci ne lâcha son léger rire malicieux si iconique de sa personne.

- Nishishi ! Tout juste.

La pourpre pouffa légèrement et lâcha son noeud pour venir prendre les mains du violet qu'elle entrelaça de ses mains, avant de déposé un doux baiser aux creux de chacune d'elles, sans lâcher le reflet du violet dans le miroir des yeux . Elle lui relâcha ensuite les mains, qu'il vint posés sur les hanches à demi découverte de la jeune femme pour finir par enlacée .

La jeune femme reprit son combat avec son ruban sous l'oeil amusé du menteur. Il nicha doucement sa tête contre la nuque de la jeune adulte et souffla légèrement dessus. Un léger frissons prit la jeune femme qui sourit, désespérée par le comportement joueur du jeune homme. Kokichi continuait son petit manège en déposant des baisers léger sur la nuque et le haut du dos de la jeune femme. La pourpre finit par lui jeter un regard sévère en laissant ses bras retomber. Il n'y avais pas besoin de mot entre eux, c'était une chose qui avait toujours fasciné leurs amis. Un petit rire prit le violet qui relâcha sa femme et l'aida à défaire ce fichu ruban. Il en profita pour chuchoté à son oreille, malicieusement .

- Bien fait.. Ça t'apprends dra à t'épuiser lors de tes entraînements.

Haru ne put retenir un léger sourire.. C'était sa manière à Li de lui montré qu'il n'aimait pas quand elle s'épuisait et qu'il s'inquietait pour sa santé. Quand le violet eu enfin réussi à retirer le ruban, il l'entourage autour de sa main et saisit une brosse que la pourpre lui reprit des mains. Elle se justifia à demi-voix.

- Je me brosse les cheveux.

Le violet affichant une moue amusé. Même à 24 ans, la pourpre resté très sensible des cheveux et n'aimait pas qu'on lui brosse les cheveux quand ceci étaient emmêler. Le violet déposa un dernier baiser sur sa joue et fila hors de la salle de bain.

Après avoir fini sa tâche, la jeune femme posa sa brosse sur le meuble du lavabo et rassembla ses cheveux pour les noué mais ne vit pas son ruban. Elle relâcha ses cheveux en un soupire excédée, comprenant que le violet le lui avait pris.

La jeune femme tressa donc ses longs cheveux dans l'optique de les rendre moins encombrants. Elle attachait sa longue tresse avec un petit ruban blanc et sortit de la salle d'eau pour rejoindre ses amis dans le salon, passant en coup de vent dans la cuisine pour vérifier que Kirumi, qui avait tenue à faire la cuisine, n'avais pas besoin d'aide.

Dans le salon, elle s'affala aux coté de Maki qui, elle reposer sur Kaito. De l'autre coté reposé sur son épaule une petit tignasse rousse emitouflé dans un vieux sweat vert. Yui, sa petite amie. Mars, elle, était assise entre les jambes du détective qui s'était assis au pied du canapé, son dos reposant contre. Et le reste du petit salon était rempli d'autre filles et garçons.

Les discutions allaient de bon train et l'ambiance était assez posée et familiale. Haru avait fermée les yeux, se reposant dans la berceuse des bavardages de ses amis.

Pourtant la jeune fille rouvrit les yeux en entendant le despote rentrer dans la pièce et s'assoir aux pieds de la pourpre. Celle ci remarqua presque aussitôt son ruban autour du poignet. Elle poussa un long soupir, sachant pertinemment qu'il ne le lui rendrait pas, tandis que celui ci vint embrassé tendrement le sommet de sa tête avant de s'assoir au coté de Shuichi.

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Et puis la soirée se termina est les amis du couples partirent, l'ame euphorique. Cela leur avait fait du bien à tous de se retrouver tous ensemble, de parler de tout et de rien, de se souvenir du passé, de bons moments, d'oublier les problèmes d'adulte et les travail plutôt sombre de certains. C'est donc le coeur léger que chacun repart de la maison Ouma. Le couples fard du groupe les salua tous avant de fermé la porte de leur chez eux et tandis que Kokichi partit éteindre et ranger brièvement le rez-de-chaussée, Haru monta directement dans leur chambre à l'étage pour se changer. Elle retira sa tenue du jour, comprendre une joli robe noir avec pour motif des écritures blanches cursives, et détacha soigneusement ses longs cheveux pourpres tressés, assise en tailleurs sur les couverture de leur lit, dos au bord. À peine eût-elle finit qu'elle eu un léger sursaut, sa vue soudainement masqué par un doux tissus légèrement délavé. Elle afficha une moue interrogatrice, se demandant bien ce que pouvais fabriquer l'homme de sa vie. Le violet, debout derrière elle nous doucement le ruban long autour de la tête de la tueuse à gage, lui masquant la vue. Elle sentit les grandes mains pâles se saisir délicatement de ses cheveux et les passer sur le devant, puis passer doucement sur la peau nu de son dos descendant sur ses hanches qu'il caressait de manière assez appuyés. La pourpre sourie, les yeux toujours cachés , en sentant le front brulant du menteur reposant entre ses homoplates, les pointes violette du despote chatouillant doucement sa peau. Puis quelque minute après, le jeune adulte remplaça son front par ses lèvres brûlantes, embrassant doucement, l'un puis l'autre homoplates, de manière répéter. La pourpre e sentit ensuite arrêter et bouger. Elle le sentit s'assoir derrière elle, les jambes du despote de chaque côté des siennes , puis elle le sentit deposés des baisers chaud le long de sa colone vertébral, lui provoquant quelque frissons, tandis que ses mains stoppèrent ses caresses pour encerclé sa taille, une de ses main caressant doucement son ventre du pouce. Il posa un dernier baiser dans sa nuque avant de poser sa tête contre l'épaule de la femme de vie. Elle posa ses mains sur celle du garçon et tourna la tête vers lui qui déposa affectueusement ses lèvres sur celle de la pourpre. Il décrocha ensuite de sa main le ruban et le rendit à sa propriétaire qui sourit, le reprenant dans sa main. Elle profita qu'il l'ai lâchée pour se tourner face à lui, en tailleurs, souriante. Le jeune homme s'allongea sur le ventre, sa tête reposant sur les cuisses de la fille aux longs cheveux. Tout deux avaient un grand sourire au lèvres et dans la chambre régnait une ambiance douce et chaleureuses. Le violet finit par rompre le silence reposant de la pièce, tandis que la pourpre jouait tranquillement, doucement, avec ses cheveux noirs violacés.

- Dis, pourquoi ne leur as-tu rien dit ?

Avait-il chuchoté. Sa question resta en suspend quelque minutes. Minutes durant lesquelles Kokichi posa sa main sur le ventre de sa future femme. Haru sourit devant son comportement un peu enfantin et reprit elle-même la main du garçon dans sa main, jouant avec la bague au doigt du violet.

« Je voulais le gardez encore un peu pour nous...»

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