𝕃𝕖 𝕥𝕣𝕠𝕦𝕓𝕝𝕖 𝕕𝕦 𝕞𝕚𝕝𝕝𝕚𝕒𝕣𝕕𝕒𝕚𝕣𝕖 ⁽ᴿᵘˢˢⁱᵃⁿ ˢᵃᵍᵃ ¹/ᵀᵉʳᵐⁱⁿé⁾

Partie 20

Cole :

Je coupe le contacte de ma nouvelle voiture. Je descends rapidement et entre dans le Springers . Pressé de revoir Tressy, je presse le pas pour le retrouver.

Je ne prends pas le temps de passer à l'acceuille et me mets à chercher la journaliste. Je finis par la retrouver mais pas seule...

Med poings de serrent immédiatement lorsque je la vois , le regard apeuré. Un homme blond la maintien fermement contre le mur . Un grognement sort de la bouche lorsque je l'entends qui insiste pour la ramener chez elle .

- Lâche moi Romain... Supplit-elle tremblante

- Non ! Réponds le garçon.

Je m'avance enfin , bien décidé à intervenir.

- Il me semble qu'elle vous a demandé de la lâcher alors faite le avant que je ne vous démolisse... Intervenait je durement

Le blond lâcha Tressy et de tourna vers moi . Je dévia rapidement mon regard dans celui de Tressy. Ce que je vis renforça ma colère.

Elle avait peur...

- Monsieur Devis quel surprise de vous voir ici , commence nerveusement Romain

- Poussez vous de miss Brooke .

- Mais vous...

- Immédiatement, le coupais-je sèchement.

- Q...

- Je ne me répéterais pas , le coupais je à nouveau.

- Arrêtez de me couper la ...

- Sinon quoi ?

- Je vais vous ...

- Réduire en miette ? M'humilier ? Me ruiner ? Cessez donc de dire des bêtises. Vous ne pouvez rien contre moi , nous le savons tout les deux. Alors je vais vous le dire une dernière fois, éloignez vous de Miss Brooke avant que votre visage ne soit déformé par mon poing . Je réplique faussement calme.

Le jeune Romain pâlit avant de s'éloigner de nous , non sans jeter un bref regard à la journaliste. Je ne le quitte pas des yeux, jusqu'à ce qu'il disparaisse de mon champ de vision. Je tourne ensuite mon regard vers Tressy, qui s'était assise contre le mur , les genoux repliés contre elle même.

Je m'avance vers elle et m'accroupie à son niveau. Je murmure son prénom, la faisant ainsi remonter la tête vers moi .

- Il est parti, tu n'as plus rien à craindre . Dis je d'une voix la plus douce possible.

- Je....j'ai eu peur. Il ne sait jamais montré ainsi avec moi.

- D'où le connais tu ?

- Je l'ai rencontré lors de ma seconde année universitaire. Je ne le craignais pas comme les autres car il était aussi un martyre, il ne se sentait pas bien dans sa peau.

- Un martyre ?

- Oui, il était repoussé par tout le monde. À l'époque, il était en sur poid et ne possédait aucun " style ". On se moquait tous de lui, lui prenait ses affaires où le frappait pour certain. J'ai été la seule à lui parler, il était repoussé par tout le monde comme je l'étais...

- Comment cela se fait il qu'il est autant changé ?

- Je ne sais pas, ce que je sais c'est qu'il a beaucoup changé. Son physique n'est plus le même et son père lui a légué son entreprise alors je supporte qu'il a changé à cause de ça.