One-Shots Undertale x Reader [Fermer]

One-shots N°4.

Fell Papyrus x Neko Reader (Lemon)

{ NDA : Attention : C'est OS contient un Lemon soit un scène de sexe qui pourrait choquer les personnes sensibles, si c'est le cas, il y aura un signal pour vous prévenir du début du lemon qui est ceci  « /!\ ».
Cordialement la direction. }

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PDV Narrateur.

Ça va faire environ trois ans que les monstre se sont montré au grand jour, depuis que Frisk à briser la barrière, ils vivent avec nous.

Cela a été dur au début, les humains ne les acceptaient pas, ils avaient trop peur d'eux, de leurs pouvoirs, mais maintenant, ces histoires appartenait au passé. Les monstres étaient intégrer, et toi dans le lots, tu avais enfin pus t'assumer au grand jours, car oui, tu n'étais pas humaine comme beaucoup le penser, mais une Neko, un monstre moitié humain, moitié chat, ça aussi ça avait été dur à faire avaler à tes amies, pour eux, lorsque tu leurs avaient révéler ton secret, tu n'était plus là même, tu n'étais plus leurs [ Ton prénom ], tu étais une étrangère mais, comme dit précédemment, tout cela appartenait au passé.

Aujourd'hui était une belle journée et tu étais heureuse, car aujourd'hui, c'était jours de fête ! Plus précisément un anniversaire, et, pas n'importe lequel, l'anniversaire de ton couple avec l'homme de ta vie. Ou plutôt, le squelette de ta vie, en effet, tu sortait avec un squelette se prénommant Papyrus, c'était un grand squelette avec un sale caractère mais ton cœur avait chavirer pour lui et étrangement, tu avais réussi à l'apprivoiser.

Cela faisait donc un ans à partir d'autour que vous êtes ensemble, et d'ailleurs, ta tête d'os d'amour t'avais donné rendez-vous dans un restaurant en précisant bien, ou plutôt en t'obligeant à te faire belle, tu avais donc revêtu un robe bustier [ couleurs ] avec une veste de tailleurs noir et des escarpins [couleurs] tu t'étais faite une légère touche de maquillage et avais laisser tes [ longueur de cheveux + couleur ] lâché.

En ce moment même, tu étais dans un taxi te menant vers le resto qu'avait choisis Papyrus.

C'était un resto plutôt chic en centre ville.

En rentrant dans celui-ci, tu remarqua rapidement Papyrus de part sa grande taille dans un coin assez reculer.

Tu t'avança vers lui, celui-ci releva la tête en entendant tes talons claquer sur le sol, tu pus voir la légère rougeurs qui pris place sur ses pommette quand il te vis.

« Bonsoir Papyrus. » Fit en prenant place, face à lui.
« BONSOIR [ Ton Prénom ]. TU ES TRÈS BELLE SE SOIR. » Fit-il avec gène.

Tu ris légèrement face à cela, ce que ton amant pris mal, celui-ci te disputa légèrement pour oser te moquer du "Terrible Papyrus".

Tu retint donc un rire pour ne pas le vexer encore plus.

-Time Skip-

Le repas étant terminé, Papyrus t'avais proposé de te ramener chez toi en bon gentleman. Ce que tu avais accepté avec joie.

Vous étiez dès à présents devant ton appartement, tu avais laissé ton petit amie rentrer, et lui avais proposé de "prendre du bon temps." Malheureusement, en disant cette phrase, tu n'avais pas fait attention au double sens assez....pervers de celle-ci mais Papyrus, lui, n'y avais pas échapper.

/!\

« TU VEUX PASSER DU BON TEMPS HEIN ? » Fit-il d'une voix pleine de sous-entendus.

C'est en entendant Papyrus le dire que tu compris ton erreur, mais c'était déjà trop tard pour reculer, celui-ci t'avais pris dans ses bras et te portait désormais en style nuptial.

« Papyrus ! Qu'est-ce que tu fait ?! Repose moi ! » Lui criais tu, mais celui-ci ne voulais rien entendre.

Entrant dans ta chambre, le grand squelette te balança littéralement sur le lit et vint se mettre à califourchon sur toi.

« Papyrus arrêt..Hmph ! »

Te coupant dans tes dire, Papyrus vint t'embrasse passionnément, introduisant sa langue dans ta bouche, venant la passer dans chaque recoins de celle-ci.

Coupant le baisé afin de respirer, tu tourna ta tête vers la droite, prenant de grande bouffer d'air avant qu'un cris mélangeant douleurs et plaisir ne s'échappe de ta bouche, ton amant venait tout juste de te mordre la nuque, passant maintenant sa langue sur la marque qu'il venait de laisser, celui-ci continua sa descente vers ton décolleté.

Il vint glisser ses mains dans ton dos, défaisant la fermeture de ta robe et la faisant lentement glisser sur ta peau, te procurant ainsi de doux frisson.

Quand tu fus débarrasser de ta robe, le squelette vint prendre possession de ta poitrine, la malaxant violemment, te faisant pousser de long gémissement. Venant prendre ton seins droit en bouche, il continua de malaxer ton sein gauche de son autre main, il descendit sa main libre vers ta queu, venant la caresser doucement, te procurant encore plus de sensation, tu te mis même à ronronner sans tant rendre compte.

Ta respiration était devenue saccadée pendant que Papyrus, qui avait cessé de malmener ta poitrine, parcourait ton ventre de sa langue, passant un doigt sous l'élastique de ta culotte, celui-ci te jeta un regard, te demandant à travers celui-ci si tu étais sur de vouloir continuer, tu lui répondis d'un léger hochement de tête.

Le squelette retira alors ton dernier sous-vêtement, enlevant par la suite, ses propres affaires et se plaçant mieux entre tes cuisse, il rentra en toi d'un violent coup de hanche te faisant hurler de douleur, tu était toujours vierge après tout.

Papyrus fut légèrement paniquer de voir des larmes sortir de tes beau yeux [ couleur des yeux ], celui-ci se pencha vers toi, t'embrassant la bouche et les joues, venant aussi caresser tes oreilles [ couleur oreilles ] en te chuchotant des mots doux, au bouts de quelque minutes, tu donnas un coup de hanche mais ne ressentant aucune douleurs, tu fis signe à Papyrus d'y aller, celui-ci commença avec des coups de hanches assez doux mais très vites ils se transformèrent ou coups brutaux te faisant gémir bruyamment, tu poussais soudain un hurlement de plaisir, tandis qu'un immense sourire venait paraître sur les lèvres de ton chérie.

« TROUVÉ~. » Fit-il.

Il continua de pilonner ce point en toi qui te faisait hurler à chaque fois.

Mais après quelque minutes, les coups de ton amant commencer à devenir irrégulier, montrant qu'il arrivait à sa fin, sans prévenir, il se libéra en toi en même tant que tu jouie.

Le grand squelette s'écroula à tes côtés, venant placer la couverture sur toi et caresser doucement ta tête, te faisant ronronner une fois de plus.

/!\

« JE T'AIME MON AMOUR. » Te chuchota t-il.
« Je t'aime aussi. » Dis-tu.

Et c'est enlacer dans les bras de l'autre que vous vous endormir.

Fin.